Un périodique intitulé La lettre du Melhoun Algérien sera prochainement lancé pour faire connaître l'œuvre poétique de Lakhdar Benkhlouf, a annoncé mercredi le commissaire du festival national de la poésie melhoun, Abdelkader Bendamèche. Un périodique intitulé La lettre du Melhoun Algérien sera prochainement lancé pour faire connaître l'œuvre poétique de Lakhdar Benkhlouf, a annoncé mercredi le commissaire du festival national de la poésie melhoun, Abdelkader Bendamèche. "La nouvelle publication constituera une source d'informations sur la période de l'histoire qui a vu la naissance du genre poétique du Melhoun ainsi que son évolution. Cette période doit être connue sous toutes ses facettes", a-t-il ajouté en marge d'un colloque consacré à ce genre de poésie ouvert mercredi à Mostagamen. "Il s'agit surtout d'expliquer l'oeuvre de Lakhdar Benkhelouf, un homme qui s'est consacré et attaché à la fois à la dévotion et à la lutte pour porter haut le message divin dans ses qacidate, mais aussi dans ses chroniques et épopées, à l'exemple des oeuvres consacrées aux batailles de Mazagran (1558), de Mers El Kébir (1505)", a expliqué le Commissaire du festival. "C'est un homme qui est reconnu comme un laudateur du prophète Mohamed (QSSSL) pour l'avoir glorifié dans tous ses écrits", a-t-il ajouté, estimant encore que le Melhoun "doit être analysé dans sa véritable dimension pour porter une réflexion scientifique et universitaire aussi bien sur les plans du discours, de l'esthétique que des portées poétique, sociologique, religieuse et historique". Dans son intervention, le journaliste et historien, Amar Belkhodja, a estimé que Lakhdar Benkhlouf doit être considéré comme "le Prince des poètes du melhoun, au même titre que Abdelkader Khaldi pour le genre dit ghazal". Le conférencier a rappelé que de nombreux chanteurs châabi ont puisé dans l'œuvre de Benkhelouf, notamment pour le "medh", un genre qui favorise les louanges aux prophètes. "Nul autre que lui n'a glorifié le prophète Mohamed (QSSSL) que Sidi Lakhdar Benkhlouf dans son diwan", a-t-il expliqué. La journée d'étude sur le melhoun a été marquée par nombre d'intervenants qui ont apporté des éclairages sur cette poésie populaire dont le verbe et les vers sont en perpétuel mouvement. Tous les intervenants étaient unanimes à souligner la nécessité de mettre en exergue ce genre poétique, de le faire connaître davantage auprès du public et d'entreprendre des recherches et des travaux universitaires dans ce domaine. "La nouvelle publication constituera une source d'informations sur la période de l'histoire qui a vu la naissance du genre poétique du Melhoun ainsi que son évolution. Cette période doit être connue sous toutes ses facettes", a-t-il ajouté en marge d'un colloque consacré à ce genre de poésie ouvert mercredi à Mostagamen. "Il s'agit surtout d'expliquer l'oeuvre de Lakhdar Benkhelouf, un homme qui s'est consacré et attaché à la fois à la dévotion et à la lutte pour porter haut le message divin dans ses qacidate, mais aussi dans ses chroniques et épopées, à l'exemple des oeuvres consacrées aux batailles de Mazagran (1558), de Mers El Kébir (1505)", a expliqué le Commissaire du festival. "C'est un homme qui est reconnu comme un laudateur du prophète Mohamed (QSSSL) pour l'avoir glorifié dans tous ses écrits", a-t-il ajouté, estimant encore que le Melhoun "doit être analysé dans sa véritable dimension pour porter une réflexion scientifique et universitaire aussi bien sur les plans du discours, de l'esthétique que des portées poétique, sociologique, religieuse et historique". Dans son intervention, le journaliste et historien, Amar Belkhodja, a estimé que Lakhdar Benkhlouf doit être considéré comme "le Prince des poètes du melhoun, au même titre que Abdelkader Khaldi pour le genre dit ghazal". Le conférencier a rappelé que de nombreux chanteurs châabi ont puisé dans l'œuvre de Benkhelouf, notamment pour le "medh", un genre qui favorise les louanges aux prophètes. "Nul autre que lui n'a glorifié le prophète Mohamed (QSSSL) que Sidi Lakhdar Benkhlouf dans son diwan", a-t-il expliqué. La journée d'étude sur le melhoun a été marquée par nombre d'intervenants qui ont apporté des éclairages sur cette poésie populaire dont le verbe et les vers sont en perpétuel mouvement. Tous les intervenants étaient unanimes à souligner la nécessité de mettre en exergue ce genre poétique, de le faire connaître davantage auprès du public et d'entreprendre des recherches et des travaux universitaires dans ce domaine.