L'entraîneur "intérimaire" de la sélection algérienne de handball (messieurs), Rabah Gherbi, a regretté l'annulation des deux stages en Slovénie et Croatie, prévus du 25 août au 5 septembre, ce qui représente un "manque à gagner" en termes de compétition pour certains joueurs à court physiquement. L'entraîneur "intérimaire" de la sélection algérienne de handball (messieurs), Rabah Gherbi, a regretté l'annulation des deux stages en Slovénie et Croatie, prévus du 25 août au 5 septembre, ce qui représente un "manque à gagner" en termes de compétition pour certains joueurs à court physiquement. "C'est vraiment embêtant que ces stages aient été annulés. Nous avions quatre matches au programme et ce n'est pas facile de trouver des équipes qui sont championnes dans leurs pays, comme nous l'avions fait. Cela représente un manque à gagner pour certains joueurs en manque de compétition", a déclaré Rabah Gherbi à l'APS. Le technicien algérien a expliqué que ce programme avait été établi sur la base de la date du début du championnat d'Algérie, le 14 septembre prochain puis de la date IHF fin octobre, ajoutant que ce n'était pas possible de remplacer maintenant les stages de Slovénie et de Croatie par d'autres regroupements en Algérie, surtout avec le début prochainement des championnats européens. "Il y a eu un problème d'organisation qui n'avait pas lieu d'être. Ce qui me fait le plus mal dans cette histoire c'est qu'on a perdu nos relations avec la fédération slovène, avec laquelle nous étions en collaboration pour organiser un tournoi international à Alger le 1er novembre, histoire d'habituer les joueurs à évoluer devant le public algérien en prévision de la coupe d'Afrique des nations 2014 (CAN-2014) en Algérie. Malheureusement, tout ça est tombé à l'eau", a-t-il regretté. La Fédération algérienne de handball (FAHB) a été secouée par une crise qui a duré plus de deux ans et n'a connu son dénouement que le 17 août dernier avec l'élection de Saïd Bouamra à la tête de l'instance fédérale. Cette situation s'est répercutée négativement sur la petite balle algérienne dont le championnat a été fortement perturbé. L'ex-international algérien a reconnu que la préparation des "Verts" à la CAN était dans le flou et qu'il était impossible de savoir quand le prochain regroupement de l'équipe nationale sera organisé. "Je ne sais pas si la fédération va arrêter le championnat pendant une semaine pour disputer des matches amicaux, c'est ce dont nous avons besoin car nous sommes compétitifs", a ajouté Gherbi en déplorant que "certains n'aient pas encore compris que la coupe d'Afrique aura lieu en 2014, mais en janvier et non pas en décembre". Interrogé sur les dernières critiques du président du GS Pétroliers, Djaffar Belhocine, qui a refusé de laisser partir ses joueurs aux derniers stages de l'équipe nationale en raison du caractère "intérimaire" de la mission de Rabah Gherbi, le sélectionneur national a dit ne pas vouloir entrer dans une "polémique stérile". "Dans la vie tout le monde est intérimaire. J'étais l'adjoint de l'ex-sélectionneur Salah Bouchekriou et quand ce dernier est parti, on m'a confié la tâche de diriger la sélection. L'équipe est reconnue, l'ancien président de la cellule de gestion transitoire de la FAHB, Rabah Bouarifi, est venu nous voir, le nouveau président de la fédération, Saïd Bouamra est au courant de notre mission et tout ça s'est fait avec l'aval de la tutelle", a expliqué l'ancien joueur de Montpellier. "J'ai fait ce que j'avais à faire en mon âme et conscience, j'ai la conscience tranquille. J'ai voulu rattraper le retard qu'on accuse sur nos voisins tunisiens et égyptiens en prévision de la coupe d'Afrique. Le travail d'une année je voulais le faire en six mois, malheureusement ça n'a pas été possible", a-t-il regretté.A la fin, le patron du Sept national, vice-champion d'Afrique, a affirmé qu'il comptait sur le public algérien pour "faire une belle prestation en janvier prochain et pourquoi pas être champion". "Mais il faut se donner les moyens. Si tu te prépares, tu gagnes, si ce n'est pas le cas, tu prends une raclée. C'est ça le haut niveau", a-t-il conclu. "C'est vraiment embêtant que ces stages aient été annulés. Nous avions quatre matches au programme et ce n'est pas facile de trouver des équipes qui sont championnes dans leurs pays, comme nous l'avions fait. Cela représente un manque à gagner pour certains joueurs en manque de compétition", a déclaré Rabah Gherbi à l'APS. Le technicien algérien a expliqué que ce programme avait été établi sur la base de la date du début du championnat d'Algérie, le 14 septembre prochain puis de la date IHF fin octobre, ajoutant que ce n'était pas possible de remplacer maintenant les stages de Slovénie et de Croatie par d'autres regroupements en Algérie, surtout avec le début prochainement des championnats européens. "Il y a eu un problème d'organisation qui n'avait pas lieu d'être. Ce qui me fait le plus mal dans cette histoire c'est qu'on a perdu nos relations avec la fédération slovène, avec laquelle nous étions en collaboration pour organiser un tournoi international à Alger le 1er novembre, histoire d'habituer les joueurs à évoluer devant le public algérien en prévision de la coupe d'Afrique des nations 2014 (CAN-2014) en Algérie. Malheureusement, tout ça est tombé à l'eau", a-t-il regretté. La Fédération algérienne de handball (FAHB) a été secouée par une crise qui a duré plus de deux ans et n'a connu son dénouement que le 17 août dernier avec l'élection de Saïd Bouamra à la tête de l'instance fédérale. Cette situation s'est répercutée négativement sur la petite balle algérienne dont le championnat a été fortement perturbé. L'ex-international algérien a reconnu que la préparation des "Verts" à la CAN était dans le flou et qu'il était impossible de savoir quand le prochain regroupement de l'équipe nationale sera organisé. "Je ne sais pas si la fédération va arrêter le championnat pendant une semaine pour disputer des matches amicaux, c'est ce dont nous avons besoin car nous sommes compétitifs", a ajouté Gherbi en déplorant que "certains n'aient pas encore compris que la coupe d'Afrique aura lieu en 2014, mais en janvier et non pas en décembre". Interrogé sur les dernières critiques du président du GS Pétroliers, Djaffar Belhocine, qui a refusé de laisser partir ses joueurs aux derniers stages de l'équipe nationale en raison du caractère "intérimaire" de la mission de Rabah Gherbi, le sélectionneur national a dit ne pas vouloir entrer dans une "polémique stérile". "Dans la vie tout le monde est intérimaire. J'étais l'adjoint de l'ex-sélectionneur Salah Bouchekriou et quand ce dernier est parti, on m'a confié la tâche de diriger la sélection. L'équipe est reconnue, l'ancien président de la cellule de gestion transitoire de la FAHB, Rabah Bouarifi, est venu nous voir, le nouveau président de la fédération, Saïd Bouamra est au courant de notre mission et tout ça s'est fait avec l'aval de la tutelle", a expliqué l'ancien joueur de Montpellier. "J'ai fait ce que j'avais à faire en mon âme et conscience, j'ai la conscience tranquille. J'ai voulu rattraper le retard qu'on accuse sur nos voisins tunisiens et égyptiens en prévision de la coupe d'Afrique. Le travail d'une année je voulais le faire en six mois, malheureusement ça n'a pas été possible", a-t-il regretté.A la fin, le patron du Sept national, vice-champion d'Afrique, a affirmé qu'il comptait sur le public algérien pour "faire une belle prestation en janvier prochain et pourquoi pas être champion". "Mais il faut se donner les moyens. Si tu te prépares, tu gagnes, si ce n'est pas le cas, tu prends une raclée. C'est ça le haut niveau", a-t-il conclu.