Le président de l'Union des écrivains algériens (UEA), Youcef Chagra, a évoqué dimanche à Souk Ahras l'apport de la littérature de l'enfance dans la construction d'une société développé et équilibrée, appelant les écrivains spécialisés, les éditeurs et bibliothécaires, "à donner tout l'intérêt nécessaire à ce genre littéraire". Le président de l'Union des écrivains algériens (UEA), Youcef Chagra, a évoqué dimanche à Souk Ahras l'apport de la littérature de l'enfance dans la construction d'une société développé et équilibrée, appelant les écrivains spécialisés, les éditeurs et bibliothécaires, "à donner tout l'intérêt nécessaire à ce genre littéraire". Au cours de son intervention, dans le cadre de la deuxième édition du colloque national "L'enfant et la créativité", tenu à la cinémathèque de la ville, M. Chagra, également membre de l'Union des écrivains arabes, a souligné la nécessité de prévoir, aux profits des enfants, "des concours dans les différents volets de la créativité" et de réserver pour les lauréats des "prix conséquents", de manière, a-t-il soutenu, "à encourager l'enfant à s'exprimer et s'épanouir". Attestant de l'intérêt accordé sur le plan national ou international à la littérature de l'enfant, M. Chagra a indiqué que "la littérature nourrit l'âme, l'esprit et l'imagination" et contribue, de l'avis du conférencier, à "renforcer les capacités de l'enfant et à créer en lui le sens de la responsabilité". Le même intervenant a invité les hommes de lettres présents, les responsables des structures de jeunes et ceux des établissements culturels à "intensifier les efforts dans le domaine de la recherche et de l'exploration et enrichir", de ce fait, a-t-il poursuivi, "un domaine primordial dans l'élaboration de la personnalité de l'enfant". La première journée de ce colloque auquel plusieurs hommes de lettres spécialisés dans la littérature de l'enfant ont pris part, a été caractérisée par la lecture des textes de poésie et de prose pour enfants, accompagnée par des récitals de luth et de violon. De son côté, l'universitaire Baha Bennouar, de l'université de Souk Ahras, a estimé que "l'enfant est un des thèmes dominants en matière de réflexion sur la créativité", présentant des extraits de légendes, de romans ou d'œuvres plastiques, pour appuyer ses propos. Mme Amel Benchoumeissa, de l'université de Souk Ahras, a pour sa part, mis en exergue dans son intervention intitulée, "La sociologie de la créativité dans la littérature de l'enfant, l'apport des conditions sociales dans la créativité et leur impact dans le développement de l'esprit de l'enfant". Les travaux de ce colloque ouvert en présence des autorités locales de la wilaya, qui sera clôturé par des recommandations, se poursuivront jusqu'à lundi. Au cours de son intervention, dans le cadre de la deuxième édition du colloque national "L'enfant et la créativité", tenu à la cinémathèque de la ville, M. Chagra, également membre de l'Union des écrivains arabes, a souligné la nécessité de prévoir, aux profits des enfants, "des concours dans les différents volets de la créativité" et de réserver pour les lauréats des "prix conséquents", de manière, a-t-il soutenu, "à encourager l'enfant à s'exprimer et s'épanouir". Attestant de l'intérêt accordé sur le plan national ou international à la littérature de l'enfant, M. Chagra a indiqué que "la littérature nourrit l'âme, l'esprit et l'imagination" et contribue, de l'avis du conférencier, à "renforcer les capacités de l'enfant et à créer en lui le sens de la responsabilité". Le même intervenant a invité les hommes de lettres présents, les responsables des structures de jeunes et ceux des établissements culturels à "intensifier les efforts dans le domaine de la recherche et de l'exploration et enrichir", de ce fait, a-t-il poursuivi, "un domaine primordial dans l'élaboration de la personnalité de l'enfant". La première journée de ce colloque auquel plusieurs hommes de lettres spécialisés dans la littérature de l'enfant ont pris part, a été caractérisée par la lecture des textes de poésie et de prose pour enfants, accompagnée par des récitals de luth et de violon. De son côté, l'universitaire Baha Bennouar, de l'université de Souk Ahras, a estimé que "l'enfant est un des thèmes dominants en matière de réflexion sur la créativité", présentant des extraits de légendes, de romans ou d'œuvres plastiques, pour appuyer ses propos. Mme Amel Benchoumeissa, de l'université de Souk Ahras, a pour sa part, mis en exergue dans son intervention intitulée, "La sociologie de la créativité dans la littérature de l'enfant, l'apport des conditions sociales dans la créativité et leur impact dans le développement de l'esprit de l'enfant". Les travaux de ce colloque ouvert en présence des autorités locales de la wilaya, qui sera clôturé par des recommandations, se poursuivront jusqu'à lundi.
