Le président russe, Vladimir Poutine, a déclaré mercredi que la Russie n'avait pas l'intention d'extrader l'ancien employé de l'agence de renseignements américaine (NSA) Edward Snowden, en asile temporaire en Russie, à cause de l'inexistence d'accord d'extradition mutuelle des criminels entre les deux pays. Le président russe, Vladimir Poutine, a déclaré mercredi que la Russie n'avait pas l'intention d'extrader l'ancien employé de l'agence de renseignements américaine (NSA) Edward Snowden, en asile temporaire en Russie, à cause de l'inexistence d'accord d'extradition mutuelle des criminels entre les deux pays. "Le problème n'est pas que nous défendons M. Snowden. Nous ne le défendons aucunement", a déclaré M. Poutine dans une déclaration à la chaîne de télévision Channel 1 à la veille du sommet du G20 prévu pour jeudi et vendredi à Saint-Pétersbourg. "Le problème est que les Etats-Unis et nous, nous n'avons pas d'accord sur l'extradition mutuelle des criminels", a déclaré le président russe. "Nous ne sommes pas en mesure de juger si M. Snowden a commis un crime aux Etats-Unis ou non... Mais nous, en tant que pays souverain qui n'a pas d'accord de ce type avec les Etats-Unis, ne pouvons rien faire d'autre que de lui donner la possibilité de rester ici", a-t-il ajouté. La Russie n'a pas reçu d'informations secrètes de M. Snowden et ne cherche pas à en obtenir, a-t-il souligné. Edward Snowden est actuellement en Russie où il a reçu l'asile temporaire. Ses documents, récupérés lorsqu'il travaillait pour la NSA comme administrateur systèmes, ont été exploités graduellement par les quotidiens The Guardian et le Washington Post depuis les premières révélations de juin. "Le problème n'est pas que nous défendons M. Snowden. Nous ne le défendons aucunement", a déclaré M. Poutine dans une déclaration à la chaîne de télévision Channel 1 à la veille du sommet du G20 prévu pour jeudi et vendredi à Saint-Pétersbourg. "Le problème est que les Etats-Unis et nous, nous n'avons pas d'accord sur l'extradition mutuelle des criminels", a déclaré le président russe. "Nous ne sommes pas en mesure de juger si M. Snowden a commis un crime aux Etats-Unis ou non... Mais nous, en tant que pays souverain qui n'a pas d'accord de ce type avec les Etats-Unis, ne pouvons rien faire d'autre que de lui donner la possibilité de rester ici", a-t-il ajouté. La Russie n'a pas reçu d'informations secrètes de M. Snowden et ne cherche pas à en obtenir, a-t-il souligné. Edward Snowden est actuellement en Russie où il a reçu l'asile temporaire. Ses documents, récupérés lorsqu'il travaillait pour la NSA comme administrateur systèmes, ont été exploités graduellement par les quotidiens The Guardian et le Washington Post depuis les premières révélations de juin.