Le communiqué final du G20 aura tout de même fait parler de lui. D'abord parce qu'il n'évoque pas du tout la crise en Syrie. Le communiqué final du G20 aura tout de même fait parler de lui. D'abord parce qu'il n'évoque pas du tout la crise en Syrie. Mais les pays membres ont fixé une date pour l'échange automatique de données fiscales, qui doit débuter en pratique fin 2015. "Nous soutenons pleinement la proposition de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) de mettre en place un modèle réellement international pour des échanges bilatéraux et multilatéraux automatiques d'information" fiscale, selon le texte. Dans le communiqué final, les chefs d'Etat et de gouvernement déclarent que "la reprise est trop faible et les risques persistent". Ils assurent que "le besoin le plus urgent est de renforcer la reprise mondiale et de générer une croissance plus forte et de meilleurs emplois". Ce communiqué final vient valider une nouvelle fois la priorité donnée à la croissance par rapport à la discipline budgétaire. Ils citent notamment parmi les risques "la croissance ralentie dans les économies émergentes, qui reflète dans certains cas l'effet d'une volatilité des flux de capitaux, de conditions financières plus difficiles et d'une volatilité des prix des matières premières". Les pays émergents, Chine en tête, subissent actuellement un tassement de leur croissance, alors qu'ils ont constitué le moteur de l'économie mondiale ces dernières années. Mais les pays membres ont fixé une date pour l'échange automatique de données fiscales, qui doit débuter en pratique fin 2015. "Nous soutenons pleinement la proposition de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) de mettre en place un modèle réellement international pour des échanges bilatéraux et multilatéraux automatiques d'information" fiscale, selon le texte. Dans le communiqué final, les chefs d'Etat et de gouvernement déclarent que "la reprise est trop faible et les risques persistent". Ils assurent que "le besoin le plus urgent est de renforcer la reprise mondiale et de générer une croissance plus forte et de meilleurs emplois". Ce communiqué final vient valider une nouvelle fois la priorité donnée à la croissance par rapport à la discipline budgétaire. Ils citent notamment parmi les risques "la croissance ralentie dans les économies émergentes, qui reflète dans certains cas l'effet d'une volatilité des flux de capitaux, de conditions financières plus difficiles et d'une volatilité des prix des matières premières". Les pays émergents, Chine en tête, subissent actuellement un tassement de leur croissance, alors qu'ils ont constitué le moteur de l'économie mondiale ces dernières années.