Une nouvelle politique se dessine dans le domaine de l'habitat et des équipements publics. Les pouvoirs publics affichent une volonté certaine d'impliquer davantage les entreprises nationales, publiques et privées, dans les programmes de construction de logements et d'équipements publics. Une nouvelle politique se dessine dans le domaine de l'habitat et des équipements publics. Les pouvoirs publics affichent une volonté certaine d'impliquer davantage les entreprises nationales, publiques et privées, dans les programmes de construction de logements et d'équipements publics. Le ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme, Abdelmadjid Tebboune, a rassuré les chefs d'entreprisez algériennes dans ce sens. «Il y a eu beaucoup de mesures qui ont été prises par le Premier ministre et le ministère de l'Habitat afin d'engager de plus en plus d'entreprises algériennes (à) dans la réalisation du programme national de logements et d'équipements publics», a-t-il affirmé lors d'une réunion avec des représentantsd'organisations patronales. Il ne sera plus question à l'avenir de confier aux entreprises étrangères tout ou partie de la demande publique de réalisation de logements ou d'équipements. La préférence nationale sera l'axe d'une nouvelle politique dans le secteur où un important plan de charge est mis en route chaque année. Cependant, pour le court terme, les opérateurs nationaux publics ou privés sont encouragés à établir des partenariats avec des entreprises étrangères au lieu de travailler avec celles-ci sous forme de sous-traitance. Le temps pour ces entreprises d'acquérir le savoir-faire dans le management des projets ou pour la main d'œuvre de se familiariser avec les techniques propres aux métiers du bâtiment. Mieux, les entreprises étrangères titulaires de marchés dans le secteur de l'habitat et de la construction sont sommées d'intégrer cette donnée à l'avenir. « Certaines entreprises étrangères ont l'habitude de prendre en sous-traitants les entreprises algériennes. On a élaboré une circulaire qui oblige nos entreprises à travailler avec les sociétés étrangères en partenariat et non pas comme sous-traitants », a précisé le ministre durant cette réunion qui avait pour but « l'intégration de l'outil national de réalisation dans les programmes du secteur ». Tout un programme auquel il convient de donner des moyens humains et professionnels pour réussir l'objectif fixé à fin 2014, qui est celui d'arriver à augmenter les capacités de réalisation de logements à 120.000 unités/an, ce qui permettra de couvrir la demande sur les différentes formules de logement. Même les PME créées dans le cadre du dispositif Ansej (Agence nationale de soutien à l'emploi de jeunes) auront des parts de travaux dans le cadre des projets de logements et d'équipements publics (écoles, hôpitaux), a assuré le ministre au cours de cette réunion. Cependant, les ambitions du ministre se heurtent, selon les représentants des entreprises sur les problèmes auxquels les PME font face, comme l'accès aux marchés, la formation de la main d'œuvre ainsi que sur les obstacles rencontrés au niveau des directions de wilayas. Une nouvelle fois, Abdelmadjid Tebboune rassure, affirmant que son département a élaboré une quarantaine de textes législatifs et réglementaires afin, entre autres, de mieux appuyer et accompagner les entreprises nationales pour qu'elles contribuent davantage à la réalisation des projets du secteur et aplanir les obstacles auxquels elles font face. La série de textes de loi qui a permis aux entreprises privées de réaliser, certifie le ministre de l'Habitat, « 90% du programme du secteur ». Il reste que la volonté du département de Tebboune est d'arriver à confier la totalité des projets du secteur aux entreprises nationales, avec une certitude. « Ma conviction est que la contribution des sociétés étrangères (aux programmes de logements) est une période conjoncturelle», a indiqué Abdelmadjid Tebboune. Le ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme, Abdelmadjid Tebboune, a rassuré les chefs d'entreprisez algériennes dans ce sens. «Il y a eu beaucoup de mesures qui ont été prises par le Premier ministre et le ministère de l'Habitat afin d'engager de plus en plus d'entreprises algériennes (à) dans la réalisation du programme national de logements et d'équipements publics», a-t-il affirmé lors d'une réunion avec des représentantsd'organisations patronales. Il ne sera plus question à l'avenir de confier aux entreprises étrangères tout ou partie de la demande publique de réalisation de logements ou d'équipements. La préférence nationale sera l'axe d'une nouvelle politique dans le secteur où un important plan de charge est mis en route chaque année. Cependant, pour le court terme, les opérateurs nationaux publics ou privés sont encouragés à établir des partenariats avec des entreprises étrangères au lieu de travailler avec celles-ci sous forme de sous-traitance. Le temps pour ces entreprises d'acquérir le savoir-faire dans le management des projets ou pour la main d'œuvre de se familiariser avec les techniques propres aux métiers du bâtiment. Mieux, les entreprises étrangères titulaires de marchés dans le secteur de l'habitat et de la construction sont sommées d'intégrer cette donnée à l'avenir. « Certaines entreprises étrangères ont l'habitude de prendre en sous-traitants les entreprises algériennes. On a élaboré une circulaire qui oblige nos entreprises à travailler avec les sociétés étrangères en partenariat et non pas comme sous-traitants », a précisé le ministre durant cette réunion qui avait pour but « l'intégration de l'outil national de réalisation dans les programmes du secteur ». Tout un programme auquel il convient de donner des moyens humains et professionnels pour réussir l'objectif fixé à fin 2014, qui est celui d'arriver à augmenter les capacités de réalisation de logements à 120.000 unités/an, ce qui permettra de couvrir la demande sur les différentes formules de logement. Même les PME créées dans le cadre du dispositif Ansej (Agence nationale de soutien à l'emploi de jeunes) auront des parts de travaux dans le cadre des projets de logements et d'équipements publics (écoles, hôpitaux), a assuré le ministre au cours de cette réunion. Cependant, les ambitions du ministre se heurtent, selon les représentants des entreprises sur les problèmes auxquels les PME font face, comme l'accès aux marchés, la formation de la main d'œuvre ainsi que sur les obstacles rencontrés au niveau des directions de wilayas. Une nouvelle fois, Abdelmadjid Tebboune rassure, affirmant que son département a élaboré une quarantaine de textes législatifs et réglementaires afin, entre autres, de mieux appuyer et accompagner les entreprises nationales pour qu'elles contribuent davantage à la réalisation des projets du secteur et aplanir les obstacles auxquels elles font face. La série de textes de loi qui a permis aux entreprises privées de réaliser, certifie le ministre de l'Habitat, « 90% du programme du secteur ». Il reste que la volonté du département de Tebboune est d'arriver à confier la totalité des projets du secteur aux entreprises nationales, avec une certitude. « Ma conviction est que la contribution des sociétés étrangères (aux programmes de logements) est une période conjoncturelle», a indiqué Abdelmadjid Tebboune.