La construction d'un consensus mondial très large par les Conseils économiques et sociaux des différents pays est nécessaire pour pouvoir consacrer une stabilité, indispensable à tout développement, selon le président du Conseil national économique et social (Cnes), Mohamed-Seghir Babes. La construction d'un consensus mondial très large par les Conseils économiques et sociaux des différents pays est nécessaire pour pouvoir consacrer une stabilité, indispensable à tout développement, selon le président du Conseil national économique et social (Cnes), Mohamed-Seghir Babes. Le développement socioéconomique et la résorption du problème du chômage dans le monde nécessite la construction d'un "large consensus" international, a-t-il affirmé hier à Alger dans l'allocution à l'ouverture de la 13e rencontre internationale de l'Association internationale des conseils économiques et sociaux et institutions similaires (AICESIS). L'emploi des jeunes est une préoccupation partagée par les participants à cette rencontre qui confirment que cela nécessite un travail de synergie pour aboutir à des solutions concrètes. Ils ont, à cet égard, souligné l'importance de renforcer les capacités des CES par l'échange d'expériences afin de trouver des solutions au problème du chômage qui affecte particulièrement les jeunes et leur permettre une insertion professionnelle. Les participants à cette rencontre, de deux jours, ont mis l'accent sur l'impératif d'assurer une prise en charge "effective" du problème du chômage des jeunes, qu'ils ont qualifié de "phénomène en progression constante" à travers le monde et conséquence directe de la crise économique mondiale. Ils ont, dans ce sens, mis en garde contre les "effets néfastes" de l'inactivité des jeunes sur la stabilité et la paix sociales. Babes a relevé dans le même sens que "les temps sont actuellement délicats". Il a estimé que seul ce consensus mondial était "à même de permettre la création de nouveaux emplois et de lutter contre le chômage", faisant observer, dans ce sens, que "les nombreux conflits et les zones de friction, que connaissent plusieurs pays, sont aggravés par le problème de chômage, qui risque d'être récupéré et exploité". Le président du Conseil italien pour le travail et l'économie, Antonio Marzano, également président d'honneur de l'AICESIS, a estimé que l'impulsion d'une nouvelle croissance économique était nécessaire pour la création d'emplois. "Les jeunes ne doivent pas être tristes. Le chômage ne doit pas leur voler l'espoir. Il faut qu'ils sortent de l'état de solitude et de l'inactivité", a-t-il ajouté, soulignant la nécessité d'un engagement commun entre les CES pour régler ce problème tout en restant attentifs aux réoccupations du citoyen. Il a, estimé, que la dialogue social était utile pour amortir l'impact du chômage sur les conditions de vie des jeunes, appelant les CES et les acteurs de la société civile à "rester à l'avant-garde pour parer à tous genres de dangers qui menaceraient la cohésion social" dans leurs pays respectifs. dans un autre chapitre, M. Babes s'est félicité de la coopération "prospère" entre l'AICESIS et l'Organisation internationale du travail (OIT), liées par un accord qui prévoit, entre autres, d'organiser une conférence commune en décembre prochain en Espagne. Cette conférence mondiale traitera, a-t-il dit, de "l'impact du rôle des Conseils économiques et sociaux et institutions similaires en réponse à la crise économique et financière mondiale et de l'emploi", a-t-il ajouté. Pour M. Babes, le partenariat avec l'OIT s'articule autour de l'emploi et la réinsertion socioprofessionnelle des jeunes, ce qui a amené l'AICESIS et l'OIT à mettre en place un groupe de travail coordonné par le Cnes. Le thème retenu pour la rencontre d'Alger porte sur "Le rôle de la société civile dans la promotion de l'emploi et la lutte contre la pauvreté et la corruption". Le développement socioéconomique et la résorption du problème du chômage dans le monde nécessite la construction d'un "large consensus" international, a-t-il affirmé hier à Alger dans l'allocution à l'ouverture de la 13e rencontre internationale de l'Association internationale des conseils économiques et sociaux et institutions similaires (AICESIS). L'emploi des jeunes est une préoccupation partagée par les participants à cette rencontre qui confirment que cela nécessite un travail de synergie pour aboutir à des solutions concrètes. Ils ont, à cet égard, souligné l'importance de renforcer les capacités des CES par l'échange d'expériences afin de trouver des solutions au problème du chômage qui affecte particulièrement les jeunes et leur permettre une insertion professionnelle. Les participants à cette rencontre, de deux jours, ont mis l'accent sur l'impératif d'assurer une prise en charge "effective" du problème du chômage des jeunes, qu'ils ont qualifié de "phénomène en progression constante" à travers le monde et conséquence directe de la crise économique mondiale. Ils ont, dans ce sens, mis en garde contre les "effets néfastes" de l'inactivité des jeunes sur la stabilité et la paix sociales. Babes a relevé dans le même sens que "les temps sont actuellement délicats". Il a estimé que seul ce consensus mondial était "à même de permettre la création de nouveaux emplois et de lutter contre le chômage", faisant observer, dans ce sens, que "les nombreux conflits et les zones de friction, que connaissent plusieurs pays, sont aggravés par le problème de chômage, qui risque d'être récupéré et exploité". Le président du Conseil italien pour le travail et l'économie, Antonio Marzano, également président d'honneur de l'AICESIS, a estimé que l'impulsion d'une nouvelle croissance économique était nécessaire pour la création d'emplois. "Les jeunes ne doivent pas être tristes. Le chômage ne doit pas leur voler l'espoir. Il faut qu'ils sortent de l'état de solitude et de l'inactivité", a-t-il ajouté, soulignant la nécessité d'un engagement commun entre les CES pour régler ce problème tout en restant attentifs aux réoccupations du citoyen. Il a, estimé, que la dialogue social était utile pour amortir l'impact du chômage sur les conditions de vie des jeunes, appelant les CES et les acteurs de la société civile à "rester à l'avant-garde pour parer à tous genres de dangers qui menaceraient la cohésion social" dans leurs pays respectifs. dans un autre chapitre, M. Babes s'est félicité de la coopération "prospère" entre l'AICESIS et l'Organisation internationale du travail (OIT), liées par un accord qui prévoit, entre autres, d'organiser une conférence commune en décembre prochain en Espagne. Cette conférence mondiale traitera, a-t-il dit, de "l'impact du rôle des Conseils économiques et sociaux et institutions similaires en réponse à la crise économique et financière mondiale et de l'emploi", a-t-il ajouté. Pour M. Babes, le partenariat avec l'OIT s'articule autour de l'emploi et la réinsertion socioprofessionnelle des jeunes, ce qui a amené l'AICESIS et l'OIT à mettre en place un groupe de travail coordonné par le Cnes. Le thème retenu pour la rencontre d'Alger porte sur "Le rôle de la société civile dans la promotion de l'emploi et la lutte contre la pauvreté et la corruption".