Le site Web (inscription.aadl.dz.) de l'Agence nationale de l'amélioration et du développement du logement, (AADL) explosera sans nul doute dès sa mise en service lundi. Ça redémarre pour le logement AADL. Le site Web (inscription.aadl.dz.) de l'Agence nationale de l'amélioration et du développement du logement, (AADL) explosera sans nul doute dès sa mise en service lundi. Ça redémarre pour le logement AADL. Une formule qui a connu un grand succès auprès des demandeurs de logements. Et aussi beaucoup de disfonctionnements, avant d'être «arrêté» sur injonction des pouvoirs publics pour, a-t-on avancé à l'époque, le manque d'assiettes foncières pour construire les milliers de logements qui entrent dans le cadre de ce programme. Ça redémarre et beaucoup d'interrogations sont soulevées, notamment sur le sort des anciennes demandes. C'est après-demain lundi, le grand jour pour les nouveaux postulants à l'acquisition d'un logement de type location-vente (programme AADL). C'est en effet ce lundi que les nouvelles souscriptions au programme d'acquisition de logements de type location-vente seront ouvertes à travers un site Web spécialement consacré à cette opération. C'est l'annonce faite jeudi par l'Agence nationale de l'amélioration et du développement du logement (AADL) qui donne des détails précis sur la démarche à suivre pour les nouveaux souscripteurs. Ces derniers sont invités à consulter le site Web (inscription.aadl.dz.), créé au niveau de la direction générale de l'AADL spécialement pour cette opération afin de prendre connaissance de l'ensemble des informations relatives à l'éligibilité et aux modalités d'accès à cette formule de logement et pour le téléchargement de «l'accusé de réception» ainsi que les «conditions d'éligibilité, les pièces à fournir et le modèle de déclaration sur l'honneur». L'AADL précise que «chaque demande de souscription recevra un numéro d'enregistrement et un mot de passe spécifique qui s'afficheront sur le formulaire d'enregistrement et reportés sur l'accusé de réception qui resteront comme liens pour la réponse à donner aux citoyens ou pour une demande d'information complémentaire». L'Agence prend en outre les devants et avertit les éventuels fraudeurs que « les informations fournies par les souscripteurs feront l'objet de vérifications systématiques et que toute fausse déclaration entraînera l'annulation automatique de la demande de souscription et exposera son auteur à des poursuites pénales ». Il est précisé que les vérifications de l'AADL porteront notamment sur les pièces suivantes: le relevé des émoluments, le numéro de sécurité sociale, le document prouvant la retraite, le certificat de résidence, l'attestation de revenu pour les non-salariés ainsi que sur le fichier du logement et de l'aide de l'Etat. Il est précisé également que les demandes doivent être introduites exclusivement pour les programmes implantés dans la wilaya de résidence du souscripteur, précisant qu'il ne sera tenu compte que d'une seule demande par couple. Pour rappel, les logements location-vente sont destinés surtout aux cadres moyens qui ont un salaire ne dépassant pas 6 fois le SNMG (108.000 DA) et ne pouvant pas bénéficier d'un logement social ou d'un logement public promotionnel (LPP). Pour rappel aussi, les dossiers déposés en 2001 et 2002 ont été dernièrement apurés. Les souscripteurs vont bénéficier des logements tant attendus après avoir finalisé et actualisé leurs dossiers qui datent pour la plupart de plus d'une décennie. Pour certains, leur situation sociale à changé. D'autres ne sont plus de ce monde. Et d'autres encore, ont dépassé l'âge de travailler. En somme, beaucoup se sont, du coup, vus «inéligibles» à ce programme, après avoir patiemment attendu des années en rêvant à ce logement. Beaucoup ont attendu ce moment. Leurs demandes datent des années 2003 et 2004. L'AADL ne dit mot cependant sur le sort des anciennes demandes déposées durant ces années. Des rumeurs laissent entendre qu'ils doivent déposer de nouveaux dossiers pour pouvoir prétendre à un logement AADL. Comme tous les nouveaux postulants. Triste sort pour les « anciens » qui espéraient une « faveur » pour avoir stoïquement accepté la décision des pouvoirs publics, décidant l'arrêt du programme pour les raisons invoquées. Les postulants des années 2003-2004 s'insurgent et estiment «discriminatoire» cette décision les privant de leur «droit» à un logement qu'ils ont souhaité depuis des années. Une injustice qu'ils dénoncent et espèrent que les pouvoirs publics prennent en compte leur «patience» qui a trop duré. Ils leurs demandent tout simplement de suivre l'ordre chronologique des dépôts de dossiers pour le nouveau programme en remontant le temps. Une formule qui a connu un grand succès auprès des demandeurs de logements. Et aussi beaucoup de disfonctionnements, avant d'être «arrêté» sur injonction des pouvoirs publics pour, a-t-on avancé à l'époque, le manque d'assiettes foncières pour construire les milliers de logements qui entrent dans le cadre de ce programme. Ça redémarre et beaucoup d'interrogations sont soulevées, notamment sur le sort des anciennes demandes. C'est après-demain lundi, le grand jour pour les nouveaux postulants à l'acquisition d'un logement de type location-vente (programme AADL). C'est en effet ce lundi que les nouvelles souscriptions au programme d'acquisition de logements de type location-vente seront ouvertes à travers un site Web spécialement consacré à cette opération. C'est l'annonce faite jeudi par l'Agence nationale de l'amélioration et du développement du logement (AADL) qui donne des détails précis sur la démarche à suivre pour les nouveaux souscripteurs. Ces derniers sont invités à consulter le site Web (inscription.aadl.dz.), créé au niveau de la direction générale de l'AADL spécialement pour cette opération afin de prendre connaissance de l'ensemble des informations relatives à l'éligibilité et aux modalités d'accès à cette formule de logement et pour le téléchargement de «l'accusé de réception» ainsi que les «conditions d'éligibilité, les pièces à fournir et le modèle de déclaration sur l'honneur». L'AADL précise que «chaque demande de souscription recevra un numéro d'enregistrement et un mot de passe spécifique qui s'afficheront sur le formulaire d'enregistrement et reportés sur l'accusé de réception qui resteront comme liens pour la réponse à donner aux citoyens ou pour une demande d'information complémentaire». L'Agence prend en outre les devants et avertit les éventuels fraudeurs que « les informations fournies par les souscripteurs feront l'objet de vérifications systématiques et que toute fausse déclaration entraînera l'annulation automatique de la demande de souscription et exposera son auteur à des poursuites pénales ». Il est précisé que les vérifications de l'AADL porteront notamment sur les pièces suivantes: le relevé des émoluments, le numéro de sécurité sociale, le document prouvant la retraite, le certificat de résidence, l'attestation de revenu pour les non-salariés ainsi que sur le fichier du logement et de l'aide de l'Etat. Il est précisé également que les demandes doivent être introduites exclusivement pour les programmes implantés dans la wilaya de résidence du souscripteur, précisant qu'il ne sera tenu compte que d'une seule demande par couple. Pour rappel, les logements location-vente sont destinés surtout aux cadres moyens qui ont un salaire ne dépassant pas 6 fois le SNMG (108.000 DA) et ne pouvant pas bénéficier d'un logement social ou d'un logement public promotionnel (LPP). Pour rappel aussi, les dossiers déposés en 2001 et 2002 ont été dernièrement apurés. Les souscripteurs vont bénéficier des logements tant attendus après avoir finalisé et actualisé leurs dossiers qui datent pour la plupart de plus d'une décennie. Pour certains, leur situation sociale à changé. D'autres ne sont plus de ce monde. Et d'autres encore, ont dépassé l'âge de travailler. En somme, beaucoup se sont, du coup, vus «inéligibles» à ce programme, après avoir patiemment attendu des années en rêvant à ce logement. Beaucoup ont attendu ce moment. Leurs demandes datent des années 2003 et 2004. L'AADL ne dit mot cependant sur le sort des anciennes demandes déposées durant ces années. Des rumeurs laissent entendre qu'ils doivent déposer de nouveaux dossiers pour pouvoir prétendre à un logement AADL. Comme tous les nouveaux postulants. Triste sort pour les « anciens » qui espéraient une « faveur » pour avoir stoïquement accepté la décision des pouvoirs publics, décidant l'arrêt du programme pour les raisons invoquées. Les postulants des années 2003-2004 s'insurgent et estiment «discriminatoire» cette décision les privant de leur «droit» à un logement qu'ils ont souhaité depuis des années. Une injustice qu'ils dénoncent et espèrent que les pouvoirs publics prennent en compte leur «patience» qui a trop duré. Ils leurs demandent tout simplement de suivre l'ordre chronologique des dépôts de dossiers pour le nouveau programme en remontant le temps.