Le blocage que connaissait l'Assemblée populaire nationale (APN) a finalement pris fin. L'APN a en effet procédé hier à l'installation de ses nouvelles structures, à savoir le bureau et les commissions permanentes. Le blocage que connaissait l'Assemblée populaire nationale (APN) a finalement pris fin. L'APN a en effet procédé hier à l'installation de ses nouvelles structures, à savoir le bureau et les commissions permanentes. La séance plénière s'est déroulée sous la présidence du président de la Chambre basse du Parlement, Mohamed Larbi Ould Khelifa, qui marque ainsi son retour après une absence pour maladie. Sa maladie et son hospitalisation en France ne lui ont pas permis d'assister, le 2 septembre dernier, à la séance d'ouverture de la session d'automne de l'APN. La séance plénière d'hier a vu la présence, selon Ould Khelifa, de pas moins de 241 députés, ce qui veut dire que le quorum a été atteint. Un chiffre que met en doute l'ex-président du groupe parlementaire de l'alliance de l'Algerie verte, Naamane Laouar. Cela dit, la plénière a adopté la nouvelle composition du bureau de l'assemblée qui est composé de 9 membres dont 5 affiliés au FLN, 3 au RND et 1 au groupe parlementaire des indépendants. Les membres du bureau ont, après avoir reçu l'aval des députés lors de la séance plénière, procédé à l'installation des 12 commissions permanentes. Des commissions que dominent aussi le FLN qui dispose, est-il besoin de le rappeler, du plus grand nombre de députés à l'assemblée. Le groupe parlementaire du FLN, avec 220 députés sinon un peu plus, se place en effet loin devant les autres groupes, comme le RND ou l'Alliance de l'Algerie verte. Il faut dire que les groupes parlementaires de l'opposition, comme ce fut le cas pour l'Alliance verte et le Parti des travailleurs, se sont distingués hier par le boycott de la séance plénière. Selon Khebaba, le président du groupe parlementaire de l'Alliance de l'Algerie verte, cette attitude s'expliquerait par leur non présence dans les structures de l'assemblée. "Nous ne sommes pas alors concernés par cette séance plénière et notre position vis-à-vis de cette assemblée n'a pas changé", dira Khebaba dans une déclaration de presse à la presse. L'Alliance verte, qui regroupe les trois partis islamistes le MSP, Enahda et El Islah, ainsi que le FFS et le Parti des travailleurs, ne participe pas aux structures de l'assemblée. Une position adoptée l'année dernière et qui a été reconduite cette année encore pour la deuxième fois. Les trois partis considèrent en effet, que cette assemblée est illégitime puisque elle est issue d'élections législatives entachées d'irrégularités. En somme, pour ces trois partis "l'APN est la résultante de la fraude électorale". D'où le boycott de ses structures. Mais malgré cela, le chef du groupe parlementaire du FFS, Chafaa Bouaiche, n'a pas suivi l'exemple des ses pairs du Parti des travailleurs et de l'Alliance de l'Algerie verte. Le chef du groupe parlementaire du FFS a en effet été présent à la séance plénière. Cela dit, avec cette installation, la paralysie de l'assemblée fait désormais partie du passé. L'APN était dans une situation de blocage à cause de la crise que connaissait le groupe parlementaire du FLN. Cette crise, elle-même issue de la crise du parti, a pris fin depuis l'élection du nouveau secrétaire général du parti, Amar Saadani, qui a de suite invité les deputés du parti à élire leurs représentants dans les structures de l'APN. Saïdani a aussi renouvelé la confiance du parti au chef du groupe parlementaire, Tahar Khaoua. La séance plénière s'est déroulée sous la présidence du président de la Chambre basse du Parlement, Mohamed Larbi Ould Khelifa, qui marque ainsi son retour après une absence pour maladie. Sa maladie et son hospitalisation en France ne lui ont pas permis d'assister, le 2 septembre dernier, à la séance d'ouverture de la session d'automne de l'APN. La séance plénière d'hier a vu la présence, selon Ould Khelifa, de pas moins de 241 députés, ce qui veut dire que le quorum a été atteint. Un chiffre que met en doute l'ex-président du groupe parlementaire de l'alliance de l'Algerie verte, Naamane Laouar. Cela dit, la plénière a adopté la nouvelle composition du bureau de l'assemblée qui est composé de 9 membres dont 5 affiliés au FLN, 3 au RND et 1 au groupe parlementaire des indépendants. Les membres du bureau ont, après avoir reçu l'aval des députés lors de la séance plénière, procédé à l'installation des 12 commissions permanentes. Des commissions que dominent aussi le FLN qui dispose, est-il besoin de le rappeler, du plus grand nombre de députés à l'assemblée. Le groupe parlementaire du FLN, avec 220 députés sinon un peu plus, se place en effet loin devant les autres groupes, comme le RND ou l'Alliance de l'Algerie verte. Il faut dire que les groupes parlementaires de l'opposition, comme ce fut le cas pour l'Alliance verte et le Parti des travailleurs, se sont distingués hier par le boycott de la séance plénière. Selon Khebaba, le président du groupe parlementaire de l'Alliance de l'Algerie verte, cette attitude s'expliquerait par leur non présence dans les structures de l'assemblée. "Nous ne sommes pas alors concernés par cette séance plénière et notre position vis-à-vis de cette assemblée n'a pas changé", dira Khebaba dans une déclaration de presse à la presse. L'Alliance verte, qui regroupe les trois partis islamistes le MSP, Enahda et El Islah, ainsi que le FFS et le Parti des travailleurs, ne participe pas aux structures de l'assemblée. Une position adoptée l'année dernière et qui a été reconduite cette année encore pour la deuxième fois. Les trois partis considèrent en effet, que cette assemblée est illégitime puisque elle est issue d'élections législatives entachées d'irrégularités. En somme, pour ces trois partis "l'APN est la résultante de la fraude électorale". D'où le boycott de ses structures. Mais malgré cela, le chef du groupe parlementaire du FFS, Chafaa Bouaiche, n'a pas suivi l'exemple des ses pairs du Parti des travailleurs et de l'Alliance de l'Algerie verte. Le chef du groupe parlementaire du FFS a en effet été présent à la séance plénière. Cela dit, avec cette installation, la paralysie de l'assemblée fait désormais partie du passé. L'APN était dans une situation de blocage à cause de la crise que connaissait le groupe parlementaire du FLN. Cette crise, elle-même issue de la crise du parti, a pris fin depuis l'élection du nouveau secrétaire général du parti, Amar Saadani, qui a de suite invité les deputés du parti à élire leurs représentants dans les structures de l'APN. Saïdani a aussi renouvelé la confiance du parti au chef du groupe parlementaire, Tahar Khaoua.