Les autorités égyptiennes, qui ont averti qu'elles ne toléreraient aucun nouveau sit-in, ont dépêché l'armée et la police en renfort sur les lieux. Les autorités égyptiennes, qui ont averti qu'elles ne toléreraient aucun nouveau sit-in, ont dépêché l'armée et la police en renfort sur les lieux. Des heurts ont éclaté vendredi au Caire et dans plusieurs autres villes d'Egypte lors de manifestations de partisans du président islamiste Mohamed Morsi, déposé par l'armée le 3 juillet, rapportent les services de sécurité et la presse officielle. Dans la capitale, les manifestants ont affronté les forces de l'ordre sur la route menant aux pyramides de Gizeh. Un correspondant de Reuters signale en outre des heurts entre partisans et opposants du président déchu place Tahrir. La police a eu recours aux gaz lacrymogènes pour les disperser. Alexandrie et deux villes du delta du Nil sont également touchées. Par ailleurs, plusieurs milliers de partisans des Frères musulmans ont pris la direction de la place Rabaa al-Adaouia, dans les faubourgs du Caire, d'où ils avaient été délogés par la force en août, rapporte un correspondant de Reuters sur place. Les manifestants agitaient des drapeaux égyptiens et scandaient des slogans hostiles au général Abdel Fattah al Sissi, chef d'état-major de l'armée. Les autorités égyptiennes, qui avaient averti qu'elles ne toléreraient aucun nouveau sit-in, ont dépêché l'armée et la police en renfort sur les lieux. La place Rabaa al-Adaouia a été cet été le principal campement des manifestants pro-Morsi, qui souhaitaient le rétablissement du président issu des Frères musulmans et premier président égyptien démocratiquement élu. Ils en avaient été délogés le 14 août au terme d'une journée sanglante. Un autre sit-in, moins important, sur la place Al Nahda, à Gizeh, avait été évacué le même jour. Des centaines de personnes avaient trouvé la mort dans ces opérations. La répression en cours contre les Frères musulmans est l'une des plus violentes subie par la confrérie depuis sa création il y a 85 ans. Des centaines de ses partisans ont été tués par les forces de l'ordre et nombre de ses dirigeants sont en prison. Malgré tout, de petites manifestations ont encore lieu de temps à autre. Un autre groupe de manifestants se dirigerait vers la place Tahrir, selon le site internet des Frères musulmans. Au sein des forces de l'ordre, on indique qu'environ 2.000 manifestants se dirigent de Maadi, dans la banlieue sud du Caire, vers la place Tahrir, mais qu'ils en sont encore éloignés de plusieurs kilomètres. Des heurts ont éclaté vendredi au Caire et dans plusieurs autres villes d'Egypte lors de manifestations de partisans du président islamiste Mohamed Morsi, déposé par l'armée le 3 juillet, rapportent les services de sécurité et la presse officielle. Dans la capitale, les manifestants ont affronté les forces de l'ordre sur la route menant aux pyramides de Gizeh. Un correspondant de Reuters signale en outre des heurts entre partisans et opposants du président déchu place Tahrir. La police a eu recours aux gaz lacrymogènes pour les disperser. Alexandrie et deux villes du delta du Nil sont également touchées. Par ailleurs, plusieurs milliers de partisans des Frères musulmans ont pris la direction de la place Rabaa al-Adaouia, dans les faubourgs du Caire, d'où ils avaient été délogés par la force en août, rapporte un correspondant de Reuters sur place. Les manifestants agitaient des drapeaux égyptiens et scandaient des slogans hostiles au général Abdel Fattah al Sissi, chef d'état-major de l'armée. Les autorités égyptiennes, qui avaient averti qu'elles ne toléreraient aucun nouveau sit-in, ont dépêché l'armée et la police en renfort sur les lieux. La place Rabaa al-Adaouia a été cet été le principal campement des manifestants pro-Morsi, qui souhaitaient le rétablissement du président issu des Frères musulmans et premier président égyptien démocratiquement élu. Ils en avaient été délogés le 14 août au terme d'une journée sanglante. Un autre sit-in, moins important, sur la place Al Nahda, à Gizeh, avait été évacué le même jour. Des centaines de personnes avaient trouvé la mort dans ces opérations. La répression en cours contre les Frères musulmans est l'une des plus violentes subie par la confrérie depuis sa création il y a 85 ans. Des centaines de ses partisans ont été tués par les forces de l'ordre et nombre de ses dirigeants sont en prison. Malgré tout, de petites manifestations ont encore lieu de temps à autre. Un autre groupe de manifestants se dirigerait vers la place Tahrir, selon le site internet des Frères musulmans. Au sein des forces de l'ordre, on indique qu'environ 2.000 manifestants se dirigent de Maadi, dans la banlieue sud du Caire, vers la place Tahrir, mais qu'ils en sont encore éloignés de plusieurs kilomètres.