La ministre de la Culture, Khalida Toumi, a souligné, vendredi à Tamanrasset, que de grands efforts sont déployés par son département ministériel pour la préservation du patrimoine dans les régions du Sud. La ministre de la Culture, Khalida Toumi, a souligné, vendredi à Tamanrasset, que de grands efforts sont déployés par son département ministériel pour la préservation du patrimoine dans les régions du Sud. Dans une allocution lue en son nom par Mourad Betrouni, directeur de la protection juridique des biens culturels et de la valorisation du patrimoine culturel au ministère, Mme Toumi a précisé que de "grands efforts sont déployés par son département ministériel dans le but de sensibiliser à la nécessaire préservation du patrimoine dans les régions du Sud". A l'ouverture des travaux à Tamanrasset d'un atelier sur le projet de préservation de la biodiversité et l'utilisation durable des services des systèmes écologiques dans les parcs culturels, Mme Toumi a indiqué que la "première étape du projet a porté sur les outils de gestion des parcs de l'Ahaggar et du Tassili sur les plans juridique et institutionnel, mis en œuvre selon les objectifs stratégiques de l'Algérie". "Les résultats de la première étape du projet ont été positifs, ce qui nous a poussé à lancer la deuxième étape pour en faire bénéficier l'ensemble des parcs culturels (les parcs de l'Atlas saharien, Tindouf, Touat, Gourara, Tidikelt)", a fait savoir la ministre. Mme Toumi, a souligné dans son allocution que le "développement économique ne peut se faire sans la préservation du patrimoine culturel afin de mieux contribuer à la réalisation du développement durable". Pour sa part, le représentant du ministère des Affaires étrangères, Mahmoudi Belkacem, a précisé que le lancement de la deuxième étape du projet s'inscrit dans le cadre d'une convention signée par le ministère des Affaires étrangères et l'Onu en 2003, ce qui traduit, a-t-il ajouté, un partenariat réel entre l'Algérie et l'Onu, notamment en matière de préservation de la biodiversité. La représentante résidente du programme de l'Onu pour le développement (Pnud) en Algérie Cristina Amaral a salué les réalisations accomplies par l'Algérie en matière de préservation du patrimoine et de la biodiversité. "L'Algérie a déployé des efforts considérables dans le domaine du développement durable, notamment ce qui a trait à la préservation du patrimoine et de la biodiversité. Cela s'est traduit par la signature de plusieurs conventions internationales, dont RAMSAR sur la protection des zones humides et celles sur les changements climatiques et la lutte contre la désertification". La responsable a fait savoir que le Pnud œuvrait à la mise en place d'une politique sur la gestion des parcs culturels en vue de contribuer à la protection de la biodiversité. Mme Amaral a indiqué que la création et la classification des parcs culturels permettront de préserver la culture et le mode de vie local des habitants des régions concernées. Les travaux de l'atelier de deux jours devraient se poursuivre sous forme d'interventions suivies de débat ayant trait à plusieurs aspects du projet. Parmi les points qui seront soulevés l'on cite la préservation et le suivi de la biodiversité, la faune et la flore, la population des parcs de l'Ahaggar et du Tassili, le renforcement des capacités humaines pour la prise en charge de la biodiversité. Les travaux se déroulent en présence des directeurs des parcs culturels de l'Atlas saharien, Tindouf, Touat, Gourara, Tidikelt, l'Ahaggar et le Tassili. Dans une allocution lue en son nom par Mourad Betrouni, directeur de la protection juridique des biens culturels et de la valorisation du patrimoine culturel au ministère, Mme Toumi a précisé que de "grands efforts sont déployés par son département ministériel dans le but de sensibiliser à la nécessaire préservation du patrimoine dans les régions du Sud". A l'ouverture des travaux à Tamanrasset d'un atelier sur le projet de préservation de la biodiversité et l'utilisation durable des services des systèmes écologiques dans les parcs culturels, Mme Toumi a indiqué que la "première étape du projet a porté sur les outils de gestion des parcs de l'Ahaggar et du Tassili sur les plans juridique et institutionnel, mis en œuvre selon les objectifs stratégiques de l'Algérie". "Les résultats de la première étape du projet ont été positifs, ce qui nous a poussé à lancer la deuxième étape pour en faire bénéficier l'ensemble des parcs culturels (les parcs de l'Atlas saharien, Tindouf, Touat, Gourara, Tidikelt)", a fait savoir la ministre. Mme Toumi, a souligné dans son allocution que le "développement économique ne peut se faire sans la préservation du patrimoine culturel afin de mieux contribuer à la réalisation du développement durable". Pour sa part, le représentant du ministère des Affaires étrangères, Mahmoudi Belkacem, a précisé que le lancement de la deuxième étape du projet s'inscrit dans le cadre d'une convention signée par le ministère des Affaires étrangères et l'Onu en 2003, ce qui traduit, a-t-il ajouté, un partenariat réel entre l'Algérie et l'Onu, notamment en matière de préservation de la biodiversité. La représentante résidente du programme de l'Onu pour le développement (Pnud) en Algérie Cristina Amaral a salué les réalisations accomplies par l'Algérie en matière de préservation du patrimoine et de la biodiversité. "L'Algérie a déployé des efforts considérables dans le domaine du développement durable, notamment ce qui a trait à la préservation du patrimoine et de la biodiversité. Cela s'est traduit par la signature de plusieurs conventions internationales, dont RAMSAR sur la protection des zones humides et celles sur les changements climatiques et la lutte contre la désertification". La responsable a fait savoir que le Pnud œuvrait à la mise en place d'une politique sur la gestion des parcs culturels en vue de contribuer à la protection de la biodiversité. Mme Amaral a indiqué que la création et la classification des parcs culturels permettront de préserver la culture et le mode de vie local des habitants des régions concernées. Les travaux de l'atelier de deux jours devraient se poursuivre sous forme d'interventions suivies de débat ayant trait à plusieurs aspects du projet. Parmi les points qui seront soulevés l'on cite la préservation et le suivi de la biodiversité, la faune et la flore, la population des parcs de l'Ahaggar et du Tassili, le renforcement des capacités humaines pour la prise en charge de la biodiversité. Les travaux se déroulent en présence des directeurs des parcs culturels de l'Atlas saharien, Tindouf, Touat, Gourara, Tidikelt, l'Ahaggar et le Tassili.