Le salon du tapis a ouvert ses portes, hier, à Khenchela avec la participation de nombreux artisans. Le ministre du Tourisme et de l'artisanat, Mohamed-Amine Hadj-Saïd, a appelé, à la valorisation et à la promotion du produit de l'artisanat, compte tenu de sa dimension culturelle et économique. Le salon du tapis a ouvert ses portes, hier, à Khenchela avec la participation de nombreux artisans. Le ministre du Tourisme et de l'artisanat, Mohamed-Amine Hadj-Saïd, a appelé, à la valorisation et à la promotion du produit de l'artisanat, compte tenu de sa dimension culturelle et économique. Hadj Saïd a estimé à cet égard, lors de l'inauguration de la seconde édition du Salon national du tapis et du tissage traditionnel, à la maison de la culture Ali-Souaï, que le fruit du savoir-faire des artisans algériens "n'est plus seulement un patrimoine matériel". En visitant les stands dressés par des artisans-tapissiers de 13 wilayas du pays, sélectionnés par une commission mise en place à cet effet par le ministère du Tourisme et de l'Artisanat, le ministre a également plaidé, s'agissant du tapis traditionnel, pour "le respect des caractéristiques propres à chaque région du pays" car, a-t-il souligné, il s'agit du "tapis algérien". M. Hadj Saïd a exhorté les artisans du pays à "promouvoir davantage le tapis algérien à la fabrication duquel il est nécessaire d'intéresser les jeunes des deux sexes pour développer cette activité", et à "donner toute son importance au cachet propre de ce produit afin de le rendre compétitif sur le marché national et même international". La promotion de l'artisanat traditionnel, qu'il s'agisse du tapis et de tout autre produit authentique, permettra d'attirer sur le terrain et d'intégrer des centaines de professionnels, a ajouté le ministre, faisant part de l'entière disponibilité de son département à aider, en coordination avec la chambre nationale de l'artisanat et des métiers, les artisans afin qu'ils puissent bénéficier des mécanismes de soutien mis en place par le fonds national de promotion des activités de l'artisanat traditionnel. Le fabricant du meilleur tapis traditionnel que désignera une commission ministérielle à l'issue de la manifestation, sera honoré le 9 novembre prochain à l'occasion de la journée nationale de l'artisanat et des métiers traditionnels, selon les, organisateurs. Le ministre du Tourisme et de l'artisanat avait entamé sa visite de travail dans la wilaya de Khenchela par une visite de la station thermale de Hammam El Knif en voie de réhabilitation, unique dans son genre, où les vapeurs jaillissant à une température de 70° sur un site de nature rocheuse sont indiquées pour soigner, notamment, les rhumatismes et l'insuffisance respiratoire. L'opération de réhabilitation de ce hammam construit en 1928, moyennant un investissement public de 40 millions de dinars, sera entamée, selon les explications fournies au ministre, dans le courant de l'année 2014. Hadj Saïd a souligné, sur place, la nécessité d'élargir le champ des possibilités d'investissement dans cette région aux panoramas splendides en réfléchissant à l'inscription d'une zone d'expansion touristique dans cette zone. Le ministre du Tourisme et de l'artisanat devait également se rendre, dans le cadre de cette visite de travail, sur le site de la station thermale de Hammam Essalihine dont l'exploitation remonte à l'époque romaine, pour s'enquérir des services touristiques proposés, avant d'inspecter, à Tabergda, au sud de la commune de Chechar, la station climatique du mont Chélia. Hadj Saïd a estimé à cet égard, lors de l'inauguration de la seconde édition du Salon national du tapis et du tissage traditionnel, à la maison de la culture Ali-Souaï, que le fruit du savoir-faire des artisans algériens "n'est plus seulement un patrimoine matériel". En visitant les stands dressés par des artisans-tapissiers de 13 wilayas du pays, sélectionnés par une commission mise en place à cet effet par le ministère du Tourisme et de l'Artisanat, le ministre a également plaidé, s'agissant du tapis traditionnel, pour "le respect des caractéristiques propres à chaque région du pays" car, a-t-il souligné, il s'agit du "tapis algérien". M. Hadj Saïd a exhorté les artisans du pays à "promouvoir davantage le tapis algérien à la fabrication duquel il est nécessaire d'intéresser les jeunes des deux sexes pour développer cette activité", et à "donner toute son importance au cachet propre de ce produit afin de le rendre compétitif sur le marché national et même international". La promotion de l'artisanat traditionnel, qu'il s'agisse du tapis et de tout autre produit authentique, permettra d'attirer sur le terrain et d'intégrer des centaines de professionnels, a ajouté le ministre, faisant part de l'entière disponibilité de son département à aider, en coordination avec la chambre nationale de l'artisanat et des métiers, les artisans afin qu'ils puissent bénéficier des mécanismes de soutien mis en place par le fonds national de promotion des activités de l'artisanat traditionnel. Le fabricant du meilleur tapis traditionnel que désignera une commission ministérielle à l'issue de la manifestation, sera honoré le 9 novembre prochain à l'occasion de la journée nationale de l'artisanat et des métiers traditionnels, selon les, organisateurs. Le ministre du Tourisme et de l'artisanat avait entamé sa visite de travail dans la wilaya de Khenchela par une visite de la station thermale de Hammam El Knif en voie de réhabilitation, unique dans son genre, où les vapeurs jaillissant à une température de 70° sur un site de nature rocheuse sont indiquées pour soigner, notamment, les rhumatismes et l'insuffisance respiratoire. L'opération de réhabilitation de ce hammam construit en 1928, moyennant un investissement public de 40 millions de dinars, sera entamée, selon les explications fournies au ministre, dans le courant de l'année 2014. Hadj Saïd a souligné, sur place, la nécessité d'élargir le champ des possibilités d'investissement dans cette région aux panoramas splendides en réfléchissant à l'inscription d'une zone d'expansion touristique dans cette zone. Le ministre du Tourisme et de l'artisanat devait également se rendre, dans le cadre de cette visite de travail, sur le site de la station thermale de Hammam Essalihine dont l'exploitation remonte à l'époque romaine, pour s'enquérir des services touristiques proposés, avant d'inspecter, à Tabergda, au sud de la commune de Chechar, la station climatique du mont Chélia.