Achalandés de mille corbeilles, se déclinant en une foison de variétés et de couleurs, les stands ont manifestement ravi. Achalandés de mille corbeilles, se déclinant en une foison de variétés et de couleurs, les stands ont manifestement ravi. Jeudi dernier, 160 exposants ont pris part à l'ouverture de la 11e édition de la fête de la figue de Béni-Maouche (80 km au sud de Béjaïa), inaugurée dans une ambiance festive et devant une foule des grands jours qui a afflué des quatre coins de la wilaya et d'ailleurs. C'est ainsi que des passionnés du ce fruit rustique sont venus également de M'sila, Boumerdès, Bouira, Tizi-ouzou et de Béchar. Selon l'APS, la réjouissance était, en effet, visible sur tous les visages, notamment des producteurs qui, pour l'occasion, ont pris leur revanche sur la fête de l'année dernière, annulée au dernier moment pour cause de manque de production et qui reviennent cette année avec un double contentement celui de festoyer, mais aussi d'offrir une large gamme de fruits secs ou verts, en quantité et en qualité. Achalandés de mille corbeilles, se déclinant en une foison de variétés et de couleurs, les stands ont manifestement ravi, d'autant que la production collectée a déjà atteint avant la fin de campagne, officiellement prévue vers la fin du mois courant, quelque 188.000 quintaux, cueillis au terme d'un mois de septembre climatiquement très capricieux et qui a fini par avoir raison d'un grand nombre de vergers. Mais le retour du beau temps en octobre a permis de compenser les pertes et permis au fruit de se regorger de nouveau de soleil et de s'améliorer en qualité. Béjaïa, bon an mal an, produit près de 300.000 quintaux/an, considéré comme la meilleure performance nationale. Mais depuis quelques années, avec un verger vieillissant, accablé de surcroît par des incendies de forêts répétitifs, la production a baissé fortement. Seulement, ces aléas au lieu d'affecter le moral des producteurs les a incités plutôt à investir dans ce domaine, chacun ayant senti l'urgence de se mobiliser pour pérenniser cette culture ancestrale et emblématique. Des replantations tous azimuts, une meilleure prise en charge des vergers (taille, caprification, croissance des plants et irrigation) et surtout une meilleure organisation professionnelle ont permis de stopper le déclin mais aussi de repartir vers le haut, a souligné l'APS. La revalorisation vénale du fruit aidant, les perspectives s'annoncent, désormais, plus prometteuses et d'ores et déjà, l'association des figuiculteurs, fignole ses plans pour un projet d'exportation collectif, dès la saison 2014. Pour cela, l'occasion de cette fête constitue une réelle opportunité pour ses adhérents, afin d'échanger et d'entrevoir ces projets sous les meilleurs auspices, d'autant que pas moins d'une dizaine de conférences-débats, sur les moyens de renforcer le niveau et la qualité de production de la figue y est retenu en effet. Jeudi dernier, 160 exposants ont pris part à l'ouverture de la 11e édition de la fête de la figue de Béni-Maouche (80 km au sud de Béjaïa), inaugurée dans une ambiance festive et devant une foule des grands jours qui a afflué des quatre coins de la wilaya et d'ailleurs. C'est ainsi que des passionnés du ce fruit rustique sont venus également de M'sila, Boumerdès, Bouira, Tizi-ouzou et de Béchar. Selon l'APS, la réjouissance était, en effet, visible sur tous les visages, notamment des producteurs qui, pour l'occasion, ont pris leur revanche sur la fête de l'année dernière, annulée au dernier moment pour cause de manque de production et qui reviennent cette année avec un double contentement celui de festoyer, mais aussi d'offrir une large gamme de fruits secs ou verts, en quantité et en qualité. Achalandés de mille corbeilles, se déclinant en une foison de variétés et de couleurs, les stands ont manifestement ravi, d'autant que la production collectée a déjà atteint avant la fin de campagne, officiellement prévue vers la fin du mois courant, quelque 188.000 quintaux, cueillis au terme d'un mois de septembre climatiquement très capricieux et qui a fini par avoir raison d'un grand nombre de vergers. Mais le retour du beau temps en octobre a permis de compenser les pertes et permis au fruit de se regorger de nouveau de soleil et de s'améliorer en qualité. Béjaïa, bon an mal an, produit près de 300.000 quintaux/an, considéré comme la meilleure performance nationale. Mais depuis quelques années, avec un verger vieillissant, accablé de surcroît par des incendies de forêts répétitifs, la production a baissé fortement. Seulement, ces aléas au lieu d'affecter le moral des producteurs les a incités plutôt à investir dans ce domaine, chacun ayant senti l'urgence de se mobiliser pour pérenniser cette culture ancestrale et emblématique. Des replantations tous azimuts, une meilleure prise en charge des vergers (taille, caprification, croissance des plants et irrigation) et surtout une meilleure organisation professionnelle ont permis de stopper le déclin mais aussi de repartir vers le haut, a souligné l'APS. La revalorisation vénale du fruit aidant, les perspectives s'annoncent, désormais, plus prometteuses et d'ores et déjà, l'association des figuiculteurs, fignole ses plans pour un projet d'exportation collectif, dès la saison 2014. Pour cela, l'occasion de cette fête constitue une réelle opportunité pour ses adhérents, afin d'échanger et d'entrevoir ces projets sous les meilleurs auspices, d'autant que pas moins d'une dizaine de conférences-débats, sur les moyens de renforcer le niveau et la qualité de production de la figue y est retenu en effet.