Deux ans après la mort de Maâmmar Kadhafi, sa veuve Safia Farkech a lancé un appel à l'Onu afin de récupérer la dépouille de son mari et de son fils, dans une lettre révélée par The Voice of Russia. Maâmmar Khadafi et Mouatassim ont été tués par des rebelles le 20 octobre 2011 à Syrte dans le centre de la Libye. Le cadavre de l'ancien dictateur avait même été exposé à Misrata avant d'être enterré dans un endroit secret. Deux ans après la mort de Maâmmar Kadhafi, sa veuve Safia Farkech a lancé un appel à l'Onu afin de récupérer la dépouille de son mari et de son fils, dans une lettre révélée par The Voice of Russia. Maâmmar Khadafi et Mouatassim ont été tués par des rebelles le 20 octobre 2011 à Syrte dans le centre de la Libye. Le cadavre de l'ancien dictateur avait même été exposé à Misrata avant d'être enterré dans un endroit secret. Injustifiable du point de vue de la religion "Je demande au Conseil de sécurité de l'Onu et à l'Union européenne de dévoiler le lieu où se trouvent les dépouilles de ces martyrs (son mari, son fils et leurs compagnons) et de les remettre à leurs familles pour les enterrer à l'endroit et de la manière qu'elles souhaiteront", écrit donc Safia Farkech, dans ce courrier révélé par cette radio russe. "Ce qui a été fait à mon mari et à mon fils ne peuvent pas être justifiés du point de vue de la religion, poursuit sa veuve qui réclame également d'enquêter sur les conditions dans lesquelles Mouammar Kadhafi et ses compagnons ont été tués ce jour-là." Et la veuve de rappeler que son mari était justement le fondateur de l'Union africaine. 5 morts dans des affrontements liés à l'allocation de logements à Tripoli Cinq personnes ont été tuées et quatre autres blessées lors d'affrontements dans le sillage d'une dispute sur l'allocation d'appartements dans un nouveau complexe résidentiel en Libye, ont annoncé lundi des sources sécuritaires. "Des affrontements armés ont éclaté il y a deux jours entre des résidents de la ville de Touche, suite à une dispute sur l'allocation des appartements dans le complexe résidentiel récemment construit par le gouvernement", a expliqué un officier des forces de sécurité nationale sous couvert d'anonymat. "Au cours des deux jours d'affrontements, cinq personnes auraient été tuées et quatre blessées", a-t-il précisé. La situation sécuritaire en Libye s'est détériorée, et le pays a connu une escalade de la violence au cours des derniers mois. Par ailleurs plusieurs dizaines de chauffeurs égyptiens retenus depuis jeudi dernier par un groupe armé dans l'Est de la Libye ont été libérés dimanche passépar leurs ravisseurs qui réclamaient la libération de Libyens détenus en Egypte, ont indiqué une source de sécurité libyenne et l'ambassadeur égyptien. "Les chauffeurs au nombre ne dépassant pas les 80 qui étaient retenus par des hommes armés à Ajdabiya ont été relâchés par leurs ravisseurs", a indiqué la source de sécurité à des médias, précisant que "les camionneurs avaient pu partir". L'ambassadeur égyptien à Tripoli, Mohamed Abou Bakr, a confirmé la libération des chauffeurs, précisant que ces derniers étaient "retenus et non enlevés". L'ambassadeur a ajouté que les "chauffeurs étaient retenus dans leurs camions et avaient été bien traités". Les autorités égyptiennes avaient indiqué qu'une vingtaine de chauffeurs avait été "enlevée" par des groupes armés. Une importante communauté de travailleurs égyptiens vit toujours en Libye. Deux ans après le renversement du dirigeant libyen Maâmmar Khadafi, les autorités de transition en Libye peinent à mettre sur pied des forces de sécurité efficaces et sont engagées dans un bras de fer avec des milices armées qu'elles n'arrivent pas à contrôler. Synthèse R. I./Agences Injustifiable du point de vue de la religion "Je demande au Conseil de sécurité de l'Onu et à l'Union européenne de dévoiler le lieu où se trouvent les dépouilles de ces martyrs (son mari, son fils et leurs compagnons) et de les remettre à leurs familles pour les enterrer à l'endroit et de la manière qu'elles souhaiteront", écrit donc Safia Farkech, dans ce courrier révélé par cette radio russe. "Ce qui a été fait à mon mari et à mon fils ne peuvent pas être justifiés du point de vue de la religion, poursuit sa veuve qui réclame également d'enquêter sur les conditions dans lesquelles Mouammar Kadhafi et ses compagnons ont été tués ce jour-là." Et la veuve de rappeler que son mari était justement le fondateur de l'Union africaine. 5 morts dans des affrontements liés à l'allocation de logements à Tripoli Cinq personnes ont été tuées et quatre autres blessées lors d'affrontements dans le sillage d'une dispute sur l'allocation d'appartements dans un nouveau complexe résidentiel en Libye, ont annoncé lundi des sources sécuritaires. "Des affrontements armés ont éclaté il y a deux jours entre des résidents de la ville de Touche, suite à une dispute sur l'allocation des appartements dans le complexe résidentiel récemment construit par le gouvernement", a expliqué un officier des forces de sécurité nationale sous couvert d'anonymat. "Au cours des deux jours d'affrontements, cinq personnes auraient été tuées et quatre blessées", a-t-il précisé. La situation sécuritaire en Libye s'est détériorée, et le pays a connu une escalade de la violence au cours des derniers mois. Par ailleurs plusieurs dizaines de chauffeurs égyptiens retenus depuis jeudi dernier par un groupe armé dans l'Est de la Libye ont été libérés dimanche passépar leurs ravisseurs qui réclamaient la libération de Libyens détenus en Egypte, ont indiqué une source de sécurité libyenne et l'ambassadeur égyptien. "Les chauffeurs au nombre ne dépassant pas les 80 qui étaient retenus par des hommes armés à Ajdabiya ont été relâchés par leurs ravisseurs", a indiqué la source de sécurité à des médias, précisant que "les camionneurs avaient pu partir". L'ambassadeur égyptien à Tripoli, Mohamed Abou Bakr, a confirmé la libération des chauffeurs, précisant que ces derniers étaient "retenus et non enlevés". L'ambassadeur a ajouté que les "chauffeurs étaient retenus dans leurs camions et avaient été bien traités". Les autorités égyptiennes avaient indiqué qu'une vingtaine de chauffeurs avait été "enlevée" par des groupes armés. Une importante communauté de travailleurs égyptiens vit toujours en Libye. Deux ans après le renversement du dirigeant libyen Maâmmar Khadafi, les autorités de transition en Libye peinent à mettre sur pied des forces de sécurité efficaces et sont engagées dans un bras de fer avec des milices armées qu'elles n'arrivent pas à contrôler. Synthèse R. I./Agences