Le procès de l'ex-président de l'Assemblée populaire communale (APC) de Birkhadem, Rabah Djanki, impliqué avec dix neuf (19) autres accusés dans l'affaire de faux en écritures publiques, dilapidation de deniers publics et conclusuin de marchés contraires à la législation, aura lieu le 12 décembre prochain devant le tribunal criminel d'Alger, a-t-on appris dimanche auprès de la cour d' Alger. Le procès de l'ex-président de l'Assemblée populaire communale (APC) de Birkhadem, Rabah Djanki, impliqué avec dix neuf (19) autres accusés dans l'affaire de faux en écritures publiques, dilapidation de deniers publics et conclusuin de marchés contraires à la législation, aura lieu le 12 décembre prochain devant le tribunal criminel d'Alger, a-t-on appris dimanche auprès de la cour d' Alger. Parmi les inculpés dans cette affaire, un inspecteur des impôts, un groupe de cadres de la même commune et des entrepreneurs. L'affaire a éclaté suite à une plainte déposée auprès des autorités concernées faisant état de marchés contraires à la législation par le président de l'APC avec les autres accusés notamment pour une prétendue réhabilitation d'établissements scolaires et du siège de la garde communale. Selon l'arrêt de renvoi, le dossier concerne la conclusion de plusieurs marchés dans le territoire de la commune de Birkhadem et les enquêtes ont révélé que ces transactions douteuses ont occasionné des préjudices matériels à la commune. Parmi ces transactions, le document cite les projets de réalisation d'une maternité, une fourrière automobile et un complexe sportif. L'arrêt de renvoi comporte également des faits lies à l'attribution de 17 parcelles de terrain situées à proxximité du réservoir d'eau. Parmi les inculpés dans cette affaire, un inspecteur des impôts, un groupe de cadres de la même commune et des entrepreneurs. L'affaire a éclaté suite à une plainte déposée auprès des autorités concernées faisant état de marchés contraires à la législation par le président de l'APC avec les autres accusés notamment pour une prétendue réhabilitation d'établissements scolaires et du siège de la garde communale. Selon l'arrêt de renvoi, le dossier concerne la conclusion de plusieurs marchés dans le territoire de la commune de Birkhadem et les enquêtes ont révélé que ces transactions douteuses ont occasionné des préjudices matériels à la commune. Parmi ces transactions, le document cite les projets de réalisation d'une maternité, une fourrière automobile et un complexe sportif. L'arrêt de renvoi comporte également des faits lies à l'attribution de 17 parcelles de terrain situées à proxximité du réservoir d'eau.