Les pays du Sahel considèrent que la coordination et la concertation avec l'Algérie sont une question « essentielle » pour réaliser la stabilité et le développement dans la région. Les pays du Sahel considèrent que la coordination et la concertation avec l'Algérie sont une question « essentielle » pour réaliser la stabilité et le développement dans la région. L'Algérie a un rôle "moteur" à jouer dans la stabilité et le développement de la région du Sahel. Ce sont là les éléments essentiels à tirer de la visite du chef de la diplomatie algérienne en Mauritanie, Mali et au Niger. En outre, il est attendu, prochainement, la visite du SG de l'Onu dans la région. Les pays du champ, Algérie, Mauritanie, Mali et le Niger se mobilisent pour se réapproprier l'initiative dans la région du Sahel. La diplomatie algérienne se déploie dans la région à la faveur de la visite du ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra qui a clos son périple, lundi, dans les trois pays. L'Algérie, puissance régionale développe une approche globale pour résoudre la crise qui secoue ces vastes territoires, en proie à des convulsions multiformes. Au Niger, dernière étape de sa tournée, il a été mis en exergue le rôle essentiel de l'Algérie dans le processus du retour à la paix et à la stabilité dans la région. De Niamey, le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a affirmé que les pays du Sahel considéraient que la coordination et la concertation avec l'Algérie sont une question « essentielle » pour réaliser la stabilité et le développement dans la région. Dans une déclaration à la presse, le chef de la diplomatie algérienne a confié : "Les dirigeants de la Mauritanie, du Mali et du Niger avec lesquels je me suis entretenus et auxquels j'ai remis des messages verbaux du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, ont accueilli avec satisfaction le principe, le but et le timing de l'initiative. Ils ont estimé que la coordination et la concertation avec l'Algérie sont une question essentielle, car partageant une vision commune concernant la sécurité, la stabilité et le développement dans la région". Il a en outre souligné que les dirigeants de ces pays estimaient que l'initiative du Président Bouteflika a pour objectif "d'amener la région à assumer ses responsabilités, à définir les actions devant être accomplies par ses partenaires étrangers et à limiter l'ingérence étrangère dans les affaires internes de la région". Ceci devrait conférer, selon Ramtane Lamamra, davantage d'efficacité et de crédibilité à l'action commune. Dans ce contexte, précise Lamamra, les présidents de ces trois pays ont affirmé que les évènements qui surviennent dans la région "nécessitent une concertation permanente et un échange d'informations et d'analyses pour prendre les mesures nécessaires à la coordination de l'action commune". Une initiative qui eu un écho favorable des présidents de la Mauritanie, du Mali et du Niger qui "ont été très favorables à l'initiative du président Bouteflika qui appelle à la concertation et à la coordination sur les questions relatives à la sécurité et au développement dans la région du Sahel", relevant des points de vue "en parfaite synergie avec les orientations de l'Algérie et nos actions communes, en tant qu'Africains et pays influents dans la région". Selon lui, cette synergie est à même d'ouvrir la voie à "des contributions qualitatives dans l'intérêt de tous les pays de la région et de leurs peuples", à la faveur de l'établissement d'un partenariat entre ces pays et les partenaires étrangers, dans le cadre de la stratégie intégrée de l'Onu sur la sécurité et la stabilité et le développement de la région du Sahel. Dans ce cadre, Ratmane Lamamra estime que la prochaine visite du secrétaire général de l'Onu dans la région constituera une occasion pour entamer la mise en œuvre de cette stratégie. Pour sa part le président nigérien, Mahamadou Issoufou, dans une déclaration à la presse à l'issue de l'audience qu'il a accordée à Ratmane Lamara a indiqué que l'Algérie a un rôle "moteur" à jouer dans la stabilité et le développement de la région du Sahel. Il a mis en exergue le fait que "L'Algérie est un grand pays et elle a un très grand rôle à jouer aussi bien au plan de la sécurité que celui de développement de notre sous-région". Selon lui "les projets structurants comme le gazoduc et la route transsaharienne sont de nature à sécuriser la région et je pense que l'Algérie peut jouer un rôle très important dans ce domaine". Qualifiant les relations algéro-nigériennes d'"excellentes", le président Issoufou a indiqué que les deux pays qui partagent de vastes frontières et font face aux même défis et au même menaces, "partagent la même vision sur les grandes questions". Dans ce cadre, le président nigérien a préconisé de créer les conditions favorables pour la sécurité et le développement de la région, estimant que cela passe par le conjugaison des efforts et la dynamisation des moyens en vue de "sécuriser et rassurer nos populations". De son côté, Ramtane Lamamra a relevé l'intérêt accordé par le président Bouteflika pour la région du Sahel, soulignant la nécessité d'échanger les points de vue et de se consulter sur les problèmes de la région et les perspectives du renforcement de l'action commune entre les Etats de la région. Il a estimé que "le moment est venu pour ouvrir de nouvelles perspectives en vue d'une coopération plus renforcée" pour la paix et la stabilité de la région. L'Algérie a un rôle "moteur" à jouer dans la stabilité et le développement de la région du Sahel. Ce sont là les éléments essentiels à tirer de la visite du chef de la diplomatie algérienne en Mauritanie, Mali et au Niger. En outre, il est attendu, prochainement, la visite du SG de l'Onu dans la région. Les pays du champ, Algérie, Mauritanie, Mali et le Niger se mobilisent pour se réapproprier l'initiative dans la région du Sahel. La diplomatie algérienne se déploie dans la région à la faveur de la visite du ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra qui a clos son périple, lundi, dans les trois pays. L'Algérie, puissance régionale développe une approche globale pour résoudre la crise qui secoue ces vastes territoires, en proie à des convulsions multiformes. Au Niger, dernière étape de sa tournée, il a été mis en exergue le rôle essentiel de l'Algérie dans le processus du retour à la paix et à la stabilité dans la région. De Niamey, le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a affirmé que les pays du Sahel considéraient que la coordination et la concertation avec l'Algérie sont une question « essentielle » pour réaliser la stabilité et le développement dans la région. Dans une déclaration à la presse, le chef de la diplomatie algérienne a confié : "Les dirigeants de la Mauritanie, du Mali et du Niger avec lesquels je me suis entretenus et auxquels j'ai remis des messages verbaux du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, ont accueilli avec satisfaction le principe, le but et le timing de l'initiative. Ils ont estimé que la coordination et la concertation avec l'Algérie sont une question essentielle, car partageant une vision commune concernant la sécurité, la stabilité et le développement dans la région". Il a en outre souligné que les dirigeants de ces pays estimaient que l'initiative du Président Bouteflika a pour objectif "d'amener la région à assumer ses responsabilités, à définir les actions devant être accomplies par ses partenaires étrangers et à limiter l'ingérence étrangère dans les affaires internes de la région". Ceci devrait conférer, selon Ramtane Lamamra, davantage d'efficacité et de crédibilité à l'action commune. Dans ce contexte, précise Lamamra, les présidents de ces trois pays ont affirmé que les évènements qui surviennent dans la région "nécessitent une concertation permanente et un échange d'informations et d'analyses pour prendre les mesures nécessaires à la coordination de l'action commune". Une initiative qui eu un écho favorable des présidents de la Mauritanie, du Mali et du Niger qui "ont été très favorables à l'initiative du président Bouteflika qui appelle à la concertation et à la coordination sur les questions relatives à la sécurité et au développement dans la région du Sahel", relevant des points de vue "en parfaite synergie avec les orientations de l'Algérie et nos actions communes, en tant qu'Africains et pays influents dans la région". Selon lui, cette synergie est à même d'ouvrir la voie à "des contributions qualitatives dans l'intérêt de tous les pays de la région et de leurs peuples", à la faveur de l'établissement d'un partenariat entre ces pays et les partenaires étrangers, dans le cadre de la stratégie intégrée de l'Onu sur la sécurité et la stabilité et le développement de la région du Sahel. Dans ce cadre, Ratmane Lamamra estime que la prochaine visite du secrétaire général de l'Onu dans la région constituera une occasion pour entamer la mise en œuvre de cette stratégie. Pour sa part le président nigérien, Mahamadou Issoufou, dans une déclaration à la presse à l'issue de l'audience qu'il a accordée à Ratmane Lamara a indiqué que l'Algérie a un rôle "moteur" à jouer dans la stabilité et le développement de la région du Sahel. Il a mis en exergue le fait que "L'Algérie est un grand pays et elle a un très grand rôle à jouer aussi bien au plan de la sécurité que celui de développement de notre sous-région". Selon lui "les projets structurants comme le gazoduc et la route transsaharienne sont de nature à sécuriser la région et je pense que l'Algérie peut jouer un rôle très important dans ce domaine". Qualifiant les relations algéro-nigériennes d'"excellentes", le président Issoufou a indiqué que les deux pays qui partagent de vastes frontières et font face aux même défis et au même menaces, "partagent la même vision sur les grandes questions". Dans ce cadre, le président nigérien a préconisé de créer les conditions favorables pour la sécurité et le développement de la région, estimant que cela passe par le conjugaison des efforts et la dynamisation des moyens en vue de "sécuriser et rassurer nos populations". De son côté, Ramtane Lamamra a relevé l'intérêt accordé par le président Bouteflika pour la région du Sahel, soulignant la nécessité d'échanger les points de vue et de se consulter sur les problèmes de la région et les perspectives du renforcement de l'action commune entre les Etats de la région. Il a estimé que "le moment est venu pour ouvrir de nouvelles perspectives en vue d'une coopération plus renforcée" pour la paix et la stabilité de la région.