La Commission d'organisation et de surveillance des opérations de bourse (Cosob) et l'organisation Paris Europlace vont signer mercredi à Alger un accord de coopération visant à promouvoir la place financière d'Alger. La Commission d'organisation et de surveillance des opérations de bourse (Cosob) et l'organisation Paris Europlace vont signer mercredi à Alger un accord de coopération visant à promouvoir la place financière d'Alger. "Le protocole d'accord vise à renforcer les relations entre les deux places financières et à développer le marché financier algérien", précise-t-on auprès de la Cosob, l'autorité en charge de la régulation du marché financier algérien. L'accord porte principalement sur deux axes de coopération, à savoir le soutien au développement de la place financière d'Alger, en particulier de sa bourse des valeurs mobilières, et l'accompagnement des entreprises vers la cotation en bourse rapporte l'APS. Selon les termes de cet accord, Paris Europlace, l'organisation en charge de promouvoir la place financière de Paris, s'engage à apporter une assistance à la Cosob dans les domaines de la recherche, de l'innovation et de la prospective financière. Le marché financier en Algérie est encore à la traîne, ne contribuant pratiquement pas au financement de l'économie, essentiellement supporté par les banques, le budget de l'Etat ainsi que par le recours aux avoirs du Fonds de régulation des recettes, alimenté par les revenus supplémentaires du pétrole. La Bourse d'Alger compte seulement quatre titres cotés, à savoir ceux de la chaîne EGH El Aurassi, du groupe Saidal, d'Alliance Assurance et de NCA Rouiba. Une étude sur la réforme du marché financier algérien menée conjointement par la Cosob, la Bourse d'Alger et le Pnud (Programme des Nations unies pour le développement) a fait état d'un déséquilibre entre le niveau de la capitalisation boursière de l'Algérie et la taille de son économie. Selon les résultats de cette étude, le marché algérien devrait atteindre, comme objectif cible, une capitalisation boursière de 40 milliards de dollars avec la cotation de 150 sociétés en Bourse. Mais il a été proposé de retenir comme objectif dans cinq ans le quart de cette capitalisation boursière, soit 10 mds de dollars, ce qui représente environ 5% du PIB de l'Algérie. Une source proche de la Cosob a affirmé à l'APS que le gouvernement a entamé la mise en œuvre de cette réforme, en donnant, en septembre dernier au cours du dernier conseil des participations de l'Etat, son feu vert à l'introduction en bourse de 8 entreprises publiques, dont l'opérateur de la téléphonie mobile Mobilis. "Le protocole d'accord vise à renforcer les relations entre les deux places financières et à développer le marché financier algérien", précise-t-on auprès de la Cosob, l'autorité en charge de la régulation du marché financier algérien. L'accord porte principalement sur deux axes de coopération, à savoir le soutien au développement de la place financière d'Alger, en particulier de sa bourse des valeurs mobilières, et l'accompagnement des entreprises vers la cotation en bourse rapporte l'APS. Selon les termes de cet accord, Paris Europlace, l'organisation en charge de promouvoir la place financière de Paris, s'engage à apporter une assistance à la Cosob dans les domaines de la recherche, de l'innovation et de la prospective financière. Le marché financier en Algérie est encore à la traîne, ne contribuant pratiquement pas au financement de l'économie, essentiellement supporté par les banques, le budget de l'Etat ainsi que par le recours aux avoirs du Fonds de régulation des recettes, alimenté par les revenus supplémentaires du pétrole. La Bourse d'Alger compte seulement quatre titres cotés, à savoir ceux de la chaîne EGH El Aurassi, du groupe Saidal, d'Alliance Assurance et de NCA Rouiba. Une étude sur la réforme du marché financier algérien menée conjointement par la Cosob, la Bourse d'Alger et le Pnud (Programme des Nations unies pour le développement) a fait état d'un déséquilibre entre le niveau de la capitalisation boursière de l'Algérie et la taille de son économie. Selon les résultats de cette étude, le marché algérien devrait atteindre, comme objectif cible, une capitalisation boursière de 40 milliards de dollars avec la cotation de 150 sociétés en Bourse. Mais il a été proposé de retenir comme objectif dans cinq ans le quart de cette capitalisation boursière, soit 10 mds de dollars, ce qui représente environ 5% du PIB de l'Algérie. Une source proche de la Cosob a affirmé à l'APS que le gouvernement a entamé la mise en œuvre de cette réforme, en donnant, en septembre dernier au cours du dernier conseil des participations de l'Etat, son feu vert à l'introduction en bourse de 8 entreprises publiques, dont l'opérateur de la téléphonie mobile Mobilis.