Générant 60 emplois directs et 200 indirects, la ferme Aqua Tafna, dont les travaux ont été lancés au mois d'août 2003 et qui devaient s'achever en décembre 2006 sur une superficie de 2,4 ha, constitue le premier projet du genre à l'échelle nationale à être lancé. Générant 60 emplois directs et 200 indirects, la ferme Aqua Tafna, dont les travaux ont été lancés au mois d'août 2003 et qui devaient s'achever en décembre 2006 sur une superficie de 2,4 ha, constitue le premier projet du genre à l'échelle nationale à être lancé. Dans la wilaya d'Aïn-Témouchent, l'Aqua Tafna, deuxième ferme aquacole, a été réceptionnée et n'attend que l'octroi d'un crédit d'exploitation pour entrer en production, a annoncé le directeur de la pêche et des ressources halieutiques (DPRH). Une fois mise en exploitation, cette ferme, qui est située à l'embouchure de la Tafna, à Rachegoune, dans la commune chef-lieu de daïra de Oulhaça (38 km d'Aïn-Témouchent), produira quelque 700 tonnes/an de produits de mer, notamment le loup de mer et la dorade, a précisé Zidi Abdelkader à l'APS, indiquant que la technologie employée devrait lui permettre d'entrer en production réelle 12 mois après les premières mises d'élevage. Générant 60 emplois directs et 200 indirects, la ferme "Aqua Tafna", dont les travaux ont été lancés au mois d'août 2003 et qui devaient s'achever en décembre 2006 sur une superficie de 2,4 ha, constitue le premier projet du genre à l'échelle nationale à être lancé. Les retards cumulés sont dus essentiellement à un problème de financement, a souligné l'APS, rappelant que les travaux de réalisation ont repris une fois une rallonge financière débloquée. L'enveloppe financière additive a permis, notamment, la construction d'un réseau d'assainissement, l'aménagement intérieur et l'amenée d'eau de mer. En septembre 2012, le défaut d'hygiène et le non-respect des conditions de filtration de l'eau de mer ont été également derrière la perte de 100.000 alevins de loups de mer au niveau de la ferme aquacole Aqua Tafna de Rachegoune. Suite à une visite effectuée sur place, le rapport de la commission du Centre national de recherche et de développement de la pêche et de l'aquaculture (CNRDPA) a tiré ces conclusions. Selon l'APS, le document a mis l'accent sur les mauvaises conditions de pompage qui doivent être effectuées par une équipe de plongeurs, surtout pour ce qui concerne la prise d'eau et l'absence d'un système de filtration mécanique. Cette commission, composée d'experts et de chercheurs, a également relevé l'absence d'actions visant la détermination des volumes d'eau avec un minimum de plus de 20%. Elle a, en outre, mis l'accent sur la nécessité, pour l'investisseur, d'élaborer un "plan de production" et de se doter de personnels qualifiés, a souligné le même responsable. Devant constituer le point de départ de la production de ce projet, 100.000 alevins, importés le 27 juillet dernier, ont péri en totalité le 23 septembre 2012 causant des pertes sèches considérables. Selon le DPRH, les lacunes ont été levées au niveau de cette ferme dotée de 64 bassins de grossissement et 50 autres de pré-grossissement, et une enveloppe de 490 millions DA, dont 196 millions au titre du soutien de l'Etat, a été allouée au projet, alors qu'un crédit de 80 millions DA lui a été également accordé. Une première ferme, Aquasole, réalisé à Sbiât, commune de M'saïd (40 km d'Aïn-Témouchent), est la première ferme à entrer en exploitation pour produire, à ce jour, 300 tonnes de poissons/an. Elle vient d'enregistrer un arrivage de 1,2 million d'alevins, dont 800.000 dorades et 400.000 loups de mer. Cette ferme, qui s'étend sur une superficie de 3,5 ha, doit produire quatre millions d'alevins/an au niveau de son écloserie et 1.000 tonnes/an de maigres, loups de mer et dorades pour l'engraissement. Elle doit générer 240 postes d'emploi, dont 60 directs et 180 indirects. Incessamment, un projet visant son extension sera lancé par la mise en œuvre de cages flottantes de production piscicole. Dans la wilaya d'Aïn-Témouchent, l'Aqua Tafna, deuxième ferme aquacole, a été réceptionnée et n'attend que l'octroi d'un crédit d'exploitation pour entrer en production, a annoncé le directeur de la pêche et des ressources halieutiques (DPRH). Une fois mise en exploitation, cette ferme, qui est située à l'embouchure de la Tafna, à Rachegoune, dans la commune chef-lieu de daïra de Oulhaça (38 km d'Aïn-Témouchent), produira quelque 700 tonnes/an de produits de mer, notamment le loup de mer et la dorade, a précisé Zidi Abdelkader à l'APS, indiquant que la technologie employée devrait lui permettre d'entrer en production réelle 12 mois après les premières mises d'élevage. Générant 60 emplois directs et 200 indirects, la ferme "Aqua Tafna", dont les travaux ont été lancés au mois d'août 2003 et qui devaient s'achever en décembre 2006 sur une superficie de 2,4 ha, constitue le premier projet du genre à l'échelle nationale à être lancé. Les retards cumulés sont dus essentiellement à un problème de financement, a souligné l'APS, rappelant que les travaux de réalisation ont repris une fois une rallonge financière débloquée. L'enveloppe financière additive a permis, notamment, la construction d'un réseau d'assainissement, l'aménagement intérieur et l'amenée d'eau de mer. En septembre 2012, le défaut d'hygiène et le non-respect des conditions de filtration de l'eau de mer ont été également derrière la perte de 100.000 alevins de loups de mer au niveau de la ferme aquacole Aqua Tafna de Rachegoune. Suite à une visite effectuée sur place, le rapport de la commission du Centre national de recherche et de développement de la pêche et de l'aquaculture (CNRDPA) a tiré ces conclusions. Selon l'APS, le document a mis l'accent sur les mauvaises conditions de pompage qui doivent être effectuées par une équipe de plongeurs, surtout pour ce qui concerne la prise d'eau et l'absence d'un système de filtration mécanique. Cette commission, composée d'experts et de chercheurs, a également relevé l'absence d'actions visant la détermination des volumes d'eau avec un minimum de plus de 20%. Elle a, en outre, mis l'accent sur la nécessité, pour l'investisseur, d'élaborer un "plan de production" et de se doter de personnels qualifiés, a souligné le même responsable. Devant constituer le point de départ de la production de ce projet, 100.000 alevins, importés le 27 juillet dernier, ont péri en totalité le 23 septembre 2012 causant des pertes sèches considérables. Selon le DPRH, les lacunes ont été levées au niveau de cette ferme dotée de 64 bassins de grossissement et 50 autres de pré-grossissement, et une enveloppe de 490 millions DA, dont 196 millions au titre du soutien de l'Etat, a été allouée au projet, alors qu'un crédit de 80 millions DA lui a été également accordé. Une première ferme, Aquasole, réalisé à Sbiât, commune de M'saïd (40 km d'Aïn-Témouchent), est la première ferme à entrer en exploitation pour produire, à ce jour, 300 tonnes de poissons/an. Elle vient d'enregistrer un arrivage de 1,2 million d'alevins, dont 800.000 dorades et 400.000 loups de mer. Cette ferme, qui s'étend sur une superficie de 3,5 ha, doit produire quatre millions d'alevins/an au niveau de son écloserie et 1.000 tonnes/an de maigres, loups de mer et dorades pour l'engraissement. Elle doit générer 240 postes d'emploi, dont 60 directs et 180 indirects. Incessamment, un projet visant son extension sera lancé par la mise en œuvre de cages flottantes de production piscicole.