Le SG de l'Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) avait indiqué récemment que le « Club 50 » regroupant les producteurs céréaliers s'est étoffé cette année pour compter 173 membres. Une nouvelle qui réjouit les responsables du secteur qui misent désormais sur l'apport du privé dans un domaine qui était auparavant du ressort de l'Etat. Le SG de l'Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) avait indiqué récemment que le « Club 50 » regroupant les producteurs céréaliers s'est étoffé cette année pour compter 173 membres. Une nouvelle qui réjouit les responsables du secteur qui misent désormais sur l'apport du privé dans un domaine qui était auparavant du ressort de l'Etat. Le secrétaire général de l'OAIC soulignait avec optimisme que «des céréaliculteurs sont arrivés même à produire 84 quintaux à l'hectare et ceci encourage beaucoup les agriculteurs à produire plus, motivés par leur esprit de compétitivité». Auparavant, il s'agissait de permettre d'encourager les producteurs pour un rendement égal ou supérieur à 50 quintaux à l'hectare, mais ces derniers temps beaucoup d'exploitants (EAI et EAC) ont rejoint ce club en optant pour les avantages accordés par les pouvoirs publics en termes d'achat ferme des récoltes, aide au soutien logistique et assistance technique accordée pour la mise en valeur des terres en jachère. Il s'avère que des régions de l'Est du pays à savoir Babar de Khenchela, Sétif, Oum El Bouaghi et Tébessa peuvent obtenir des records de production étant donné l'ampleur des champs cultivables qui s'offrent comme opportunité aux nouveaux producteurs. Pour cette année, le SG de l'OAIC a révélé que des mesures d'encouragement des producteurs vont permettre notamment « l'approvisionnement des agriculteurs en grains améliorés dans les meilleurs délais, à la bonne période et avec la quantité nécessaire» en faisant savoir que « la quantité de ces grains est passée de moins d'un million de quintaux à 1,8 millions en trois ans et notre objectif est d'arriver à fournir quatre millions de quintaux de grains améliorés aux agriculteurs ». Idem pour les engrais à acquérir. Le même responsable souligne que «des efforts ont été déployés pour arriver à une quantité qui dépasserait les 3 millions de quintaux, en affirmant que les quantités existantes aujourd'hui, sont déjà suffisantes ». De son côté, Mohamed Bouhadjar président de la Chambre nationale de l'agriculture veut «gagner la bataille de réduction de la dépendance alimentaire et diminuer la facture de l'importation». Toutes les cultures doivent, selon lui, être développées. Dans ce sillage, l'Algérie table sur les premières récoltes du maïs. M. Bouhedjar a insisté sur la conjugaison des efforts pour développer et intensifier la culture du maïs en grain et fourrager, afin de répondre aux besoins de production laitière et de viandes blanche et rouge et de réduire la dépendance en matière d'aliments de bétail. «En développant et intensifiant la culture du maïs en grain et fourrager, nous pouvons juguler les augmentations excessives des prix de l'aliment de bétail sur le marché international, réduire notre dépendance en la matière et permettre l'essor des filières lait et viandes (rouge et blanche) dans notre pays», a-t-il expliqué. D'ailleurs les premiers rendements du maïs ont livré des récoltes à Ghardaïa (Ménéa) avec 500 hectares exploitables dans la région de Hassi Ghanem qui prévoit une production de 60.000 quintaux pour cette campagne. Le secrétaire général de l'OAIC soulignait avec optimisme que «des céréaliculteurs sont arrivés même à produire 84 quintaux à l'hectare et ceci encourage beaucoup les agriculteurs à produire plus, motivés par leur esprit de compétitivité». Auparavant, il s'agissait de permettre d'encourager les producteurs pour un rendement égal ou supérieur à 50 quintaux à l'hectare, mais ces derniers temps beaucoup d'exploitants (EAI et EAC) ont rejoint ce club en optant pour les avantages accordés par les pouvoirs publics en termes d'achat ferme des récoltes, aide au soutien logistique et assistance technique accordée pour la mise en valeur des terres en jachère. Il s'avère que des régions de l'Est du pays à savoir Babar de Khenchela, Sétif, Oum El Bouaghi et Tébessa peuvent obtenir des records de production étant donné l'ampleur des champs cultivables qui s'offrent comme opportunité aux nouveaux producteurs. Pour cette année, le SG de l'OAIC a révélé que des mesures d'encouragement des producteurs vont permettre notamment « l'approvisionnement des agriculteurs en grains améliorés dans les meilleurs délais, à la bonne période et avec la quantité nécessaire» en faisant savoir que « la quantité de ces grains est passée de moins d'un million de quintaux à 1,8 millions en trois ans et notre objectif est d'arriver à fournir quatre millions de quintaux de grains améliorés aux agriculteurs ». Idem pour les engrais à acquérir. Le même responsable souligne que «des efforts ont été déployés pour arriver à une quantité qui dépasserait les 3 millions de quintaux, en affirmant que les quantités existantes aujourd'hui, sont déjà suffisantes ». De son côté, Mohamed Bouhadjar président de la Chambre nationale de l'agriculture veut «gagner la bataille de réduction de la dépendance alimentaire et diminuer la facture de l'importation». Toutes les cultures doivent, selon lui, être développées. Dans ce sillage, l'Algérie table sur les premières récoltes du maïs. M. Bouhedjar a insisté sur la conjugaison des efforts pour développer et intensifier la culture du maïs en grain et fourrager, afin de répondre aux besoins de production laitière et de viandes blanche et rouge et de réduire la dépendance en matière d'aliments de bétail. «En développant et intensifiant la culture du maïs en grain et fourrager, nous pouvons juguler les augmentations excessives des prix de l'aliment de bétail sur le marché international, réduire notre dépendance en la matière et permettre l'essor des filières lait et viandes (rouge et blanche) dans notre pays», a-t-il expliqué. D'ailleurs les premiers rendements du maïs ont livré des récoltes à Ghardaïa (Ménéa) avec 500 hectares exploitables dans la région de Hassi Ghanem qui prévoit une production de 60.000 quintaux pour cette campagne.