Une étude sur la défluoration des eaux potables par le charbon actif préparé à partir du bois du palmier-dattier, effectuée recemment au niveau de l'université de Ouargla, a obtenu des resultats encourageants, selon des chercheurs de cette université. Une étude sur la défluoration des eaux potables par le charbon actif préparé à partir du bois du palmier-dattier, effectuée recemment au niveau de l'université de Ouargla, a obtenu des resultats encourageants, selon des chercheurs de cette université. L'étude menée par le professeur Abass Kamarcho, chercheur au niveau du laboratoire de la valorisation et de promotion des ressources sahariennes (VPRS), relevant de la faculté des sciences et de la technologie et des sciences de la matière, a conclu à la possibilité de diminuer la quantité du fluor dans l'eau rapporte l'APS. "L'objectif ciblé à travers cette étude est l'évaluation de l'efficacité du charbon actif préparé à partir des dérivés du palmier-dattier (ghars), notamment les noyaux de dattes et les feuilles de ce palmier (Kernaf) dans la défluoration des eaux", a précisé M. Kamarcho. "Des expériences détaillées ont été élaborées sur la capacité du charbon actif du palmier-dattier, d'absorber des fluorures contenus dans les eaux, en prenant en considération les facteurs temps, le potentiel hydrogène du milieu, la température, et la concentration. La capacité d'absorption maximale effectuée par le charbon actif est située à une valeur de 3,73 mg/litre, pour une concentration de fluorure dans l'eau de 5 mg/l". Le charbon actif préparé à partir des noyaux de dattes a enregistré un taux d'adsorption de 44,6%, selon un test effectué sur les eaux froides du quartier El-Chouhada à El-Oued. Selon le programme national de la santé scolaire, la région d'El-Oued a été recensée parmi les plus infectées au niveau national par le degré élevé du fluorure dans ses eaux (1,8 mg/), a-t-on fait savoir. Cette étude a été présentée lors du séminaire International sur l'hydrogéologie et l'environnement (Sihe 2013), organisé dernièrement à Ouargla. Le laboratoire de VPRS de l'université de Ouargla compte actuellement pas moins de sept autres projets scientifiques sur le traitement des eaux usées urbaines par des procédés naturels L'étude menée par le professeur Abass Kamarcho, chercheur au niveau du laboratoire de la valorisation et de promotion des ressources sahariennes (VPRS), relevant de la faculté des sciences et de la technologie et des sciences de la matière, a conclu à la possibilité de diminuer la quantité du fluor dans l'eau rapporte l'APS. "L'objectif ciblé à travers cette étude est l'évaluation de l'efficacité du charbon actif préparé à partir des dérivés du palmier-dattier (ghars), notamment les noyaux de dattes et les feuilles de ce palmier (Kernaf) dans la défluoration des eaux", a précisé M. Kamarcho. "Des expériences détaillées ont été élaborées sur la capacité du charbon actif du palmier-dattier, d'absorber des fluorures contenus dans les eaux, en prenant en considération les facteurs temps, le potentiel hydrogène du milieu, la température, et la concentration. La capacité d'absorption maximale effectuée par le charbon actif est située à une valeur de 3,73 mg/litre, pour une concentration de fluorure dans l'eau de 5 mg/l". Le charbon actif préparé à partir des noyaux de dattes a enregistré un taux d'adsorption de 44,6%, selon un test effectué sur les eaux froides du quartier El-Chouhada à El-Oued. Selon le programme national de la santé scolaire, la région d'El-Oued a été recensée parmi les plus infectées au niveau national par le degré élevé du fluorure dans ses eaux (1,8 mg/), a-t-on fait savoir. Cette étude a été présentée lors du séminaire International sur l'hydrogéologie et l'environnement (Sihe 2013), organisé dernièrement à Ouargla. Le laboratoire de VPRS de l'université de Ouargla compte actuellement pas moins de sept autres projets scientifiques sur le traitement des eaux usées urbaines par des procédés naturels