La santé des consommateurs est menacée par la contrefaçon de certains équipements électroménagers. Le ministère du Commerce a annoncé que plus de 40.000 appareils de chauffage répartis sur 18 containers sont bloqués actuellement aux ports du pays pour non conformité aux normes de sécurité. Un cas qui sonne le glas sur l'utilisation de ces appareils qui ont causé des dommages aux citoyens. La santé des consommateurs est menacée par la contrefaçon de certains équipements électroménagers. Le ministère du Commerce a annoncé que plus de 40.000 appareils de chauffage répartis sur 18 containers sont bloqués actuellement aux ports du pays pour non conformité aux normes de sécurité. Un cas qui sonne le glas sur l'utilisation de ces appareils qui ont causé des dommages aux citoyens. Le ministre du Commerce dans une tournée à Sidi Bel-Abbès, a indiqué que «des dysfonctionnements entachent le marché avec l'exposition de produits non-conformes à la sécurité et contrefaits». Pour l'heure, le ministre n'a pas révélé l'origine de ces appareils de chauffage et comment pouvaient-ils être importés et quels sont les importateurs ? Les services de contrôle du ministère vont probablement mener une enquête autour de cette affaire. Cela étant, Mustapha Benbada s'est contenté de louer les efforts des pouvoirs publics et les associations de protection des consommateurs pour défendre les intérêts des citoyens et les protéger contre les dangers de produits non-conformes. Le ministre a déploré que les risques de l'utilisation des ces équipements importés frauduleusement qui continuent d'enregistrer des blessés et même des décès. Les services de la Protection civile, cités par le ministre, "ont enregistré plus de 452.000 interventions durant l'année 2012 et plus de 335.000 dans les neuf premiers mois de l'année 2013 dont 231 décès contre 397 en 2012". Ces accidents domestiques sont la plupart causés par « l'utilisation de ces appareils qui dégagent du gaz de monoxyde de carbone » qui est fatal pour les consommateurs. Pour contrer les effets dévastateurs de ces équipements contrefaits et nuisibles, le ministre a affirmé publiquement que « des décrets exécutifs seront promulgués pour la protection du consommateur et l'obligation du producteur ou de l'importateur à être responsable de ce qu'il étale au marché ». Outre les aspects de prévention contre les produits contrefaits qui sont mis en avant, le département de Benbada envisage de renforcer le cadre juridique et des sanctions à l'encontre des contrevenants. En rappelant que si un client signale des produits de contrefaçon ou des articles périmés dans une surface commerciale, le responsable de la vente de ces produits est mis en demeure avec une prescription d'amendes. Pour les importateurs des produits destinés à la revente en l'état, il y a actuellement l'obligation d'être domicilié dans une banque algérienne pour la déclaration des revenus. Les certificats de garantie, l'origine des produits et la déclaration phytosanitaire pour les produits agro-alimentaires ou produits frais sont exigés durant la procédure de fouille ou d'inspection douanière. En outre, le ministre du Commerce avait réitéré l'importance du dispositif de contrôle qui comprend 20 laboratoires d'analyses des produits, annonçant au passage un projet de réalisation d'un laboratoire national qui prend en charge le contrôle de conformité des produits industriels. Le ministre du Commerce dans une tournée à Sidi Bel-Abbès, a indiqué que «des dysfonctionnements entachent le marché avec l'exposition de produits non-conformes à la sécurité et contrefaits». Pour l'heure, le ministre n'a pas révélé l'origine de ces appareils de chauffage et comment pouvaient-ils être importés et quels sont les importateurs ? Les services de contrôle du ministère vont probablement mener une enquête autour de cette affaire. Cela étant, Mustapha Benbada s'est contenté de louer les efforts des pouvoirs publics et les associations de protection des consommateurs pour défendre les intérêts des citoyens et les protéger contre les dangers de produits non-conformes. Le ministre a déploré que les risques de l'utilisation des ces équipements importés frauduleusement qui continuent d'enregistrer des blessés et même des décès. Les services de la Protection civile, cités par le ministre, "ont enregistré plus de 452.000 interventions durant l'année 2012 et plus de 335.000 dans les neuf premiers mois de l'année 2013 dont 231 décès contre 397 en 2012". Ces accidents domestiques sont la plupart causés par « l'utilisation de ces appareils qui dégagent du gaz de monoxyde de carbone » qui est fatal pour les consommateurs. Pour contrer les effets dévastateurs de ces équipements contrefaits et nuisibles, le ministre a affirmé publiquement que « des décrets exécutifs seront promulgués pour la protection du consommateur et l'obligation du producteur ou de l'importateur à être responsable de ce qu'il étale au marché ». Outre les aspects de prévention contre les produits contrefaits qui sont mis en avant, le département de Benbada envisage de renforcer le cadre juridique et des sanctions à l'encontre des contrevenants. En rappelant que si un client signale des produits de contrefaçon ou des articles périmés dans une surface commerciale, le responsable de la vente de ces produits est mis en demeure avec une prescription d'amendes. Pour les importateurs des produits destinés à la revente en l'état, il y a actuellement l'obligation d'être domicilié dans une banque algérienne pour la déclaration des revenus. Les certificats de garantie, l'origine des produits et la déclaration phytosanitaire pour les produits agro-alimentaires ou produits frais sont exigés durant la procédure de fouille ou d'inspection douanière. En outre, le ministre du Commerce avait réitéré l'importance du dispositif de contrôle qui comprend 20 laboratoires d'analyses des produits, annonçant au passage un projet de réalisation d'un laboratoire national qui prend en charge le contrôle de conformité des produits industriels.