Douze courts-métrages et 9 films documentaires seront en lice à la troisième édition des Journées du court-métrage et du film documentaire de Mostaganem, prévu entre le 7 et 11 décembre, a-t-on appris jeudi auprès des organisateurs. Pour la catégorie du court métrage, le jury a sélectionné 12 œuvres plus au moins récentes, produites entre 2010 et 2013, a indiqué à l'APS le directeur artistique de ces journées, Halim Rahmoune, précisant que l'Algérie sera représentée avec 10 films courts. Douze courts-métrages et 9 films documentaires seront en lice à la troisième édition des Journées du court-métrage et du film documentaire de Mostaganem, prévu entre le 7 et 11 décembre, a-t-on appris jeudi auprès des organisateurs. Pour la catégorie du court métrage, le jury a sélectionné 12 œuvres plus au moins récentes, produites entre 2010 et 2013, a indiqué à l'APS le directeur artistique de ces journées, Halim Rahmoune, précisant que l'Algérie sera représentée avec 10 films courts. La compétition de cette même catégorie compte une seule avant-première, en l'occurrence le film d'un jeune réalisateur algérien établi en France, Mahi Bela : Le derniers recours. Pour la catégorie documentaire, deux avant-premières feront le bonheur des cinéphiles mostaganémois, à savoir La lycéenne et le cordonnier d'Abderrezak Hellal et Djenet Larouah de Kousseila Djaouti, tous deux réalisateurs algériens. Hayaya min Ghaza du Palestinien Ibrahim Faiz, 1, 2, 3, 5, 6, 7 du Tunisien Bilal Bali et à Tignawitid de l'Algérienne Rahma Benhamou El Madani, seront également en lice pour le prix du meilleur film documentaire. Une "carte blanche" sera au programme des Journées de Mostaganem, avec quatre courts métrages représentant "un cinéma curieux et dynamique", une sélection du président des Rencontres cinématographiques de Béjaéa. Il s'agit de Archipel de l'Algérien Djamel Kerkar, du Sens de l'orientation du français Fabien Gorearp, de Mokhtar de la marocaine Halima Ouardari et enfin Edwige de l'Algérienne Mounia Meddour. C'est le comédien Hassen Kechache qui présidera l'unique jury, qui évaluera les courts-métrages et les films documentaires et qui sera composé, en outre, du critique algérien fraîchement rentré au pays Halim Mekhneche, du comédien Halim Zrebaa et l'artiste plasticien Sid-Ahmed Zerhouni. Pour les étudiants et débutants du septième art, les organisateurs ont programmé trois ateliers, à savoir l'écriture scénaristique, le montage et le sciptanat. Des conférences sur "La photographie et la révolution", "L'image, l'esthétique et l'idéologie" et d'autres thèmes en rapport avec le cinéma enrichiront en outre le programme de cette manifestation, qui vient d'avoir l'aval pour son institutionnalisation comme festival, a annoncé Halim Rahmoune. La compétition de cette même catégorie compte une seule avant-première, en l'occurrence le film d'un jeune réalisateur algérien établi en France, Mahi Bela : Le derniers recours. Pour la catégorie documentaire, deux avant-premières feront le bonheur des cinéphiles mostaganémois, à savoir La lycéenne et le cordonnier d'Abderrezak Hellal et Djenet Larouah de Kousseila Djaouti, tous deux réalisateurs algériens. Hayaya min Ghaza du Palestinien Ibrahim Faiz, 1, 2, 3, 5, 6, 7 du Tunisien Bilal Bali et à Tignawitid de l'Algérienne Rahma Benhamou El Madani, seront également en lice pour le prix du meilleur film documentaire. Une "carte blanche" sera au programme des Journées de Mostaganem, avec quatre courts métrages représentant "un cinéma curieux et dynamique", une sélection du président des Rencontres cinématographiques de Béjaéa. Il s'agit de Archipel de l'Algérien Djamel Kerkar, du Sens de l'orientation du français Fabien Gorearp, de Mokhtar de la marocaine Halima Ouardari et enfin Edwige de l'Algérienne Mounia Meddour. C'est le comédien Hassen Kechache qui présidera l'unique jury, qui évaluera les courts-métrages et les films documentaires et qui sera composé, en outre, du critique algérien fraîchement rentré au pays Halim Mekhneche, du comédien Halim Zrebaa et l'artiste plasticien Sid-Ahmed Zerhouni. Pour les étudiants et débutants du septième art, les organisateurs ont programmé trois ateliers, à savoir l'écriture scénaristique, le montage et le sciptanat. Des conférences sur "La photographie et la révolution", "L'image, l'esthétique et l'idéologie" et d'autres thèmes en rapport avec le cinéma enrichiront en outre le programme de cette manifestation, qui vient d'avoir l'aval pour son institutionnalisation comme festival, a annoncé Halim Rahmoune.