L'accord de Genève sur le nucléaire iranien a fixé un nouveau cap, reste à le faire appliquer. C'est dans cette perspective que se tiendront le 9 et 10 décembre à Vienne des négociations entre des experts de Téhéran et du groupe P5 + 1, qui rassemble les membres permanents du Conseil de securité – Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni et Russie – et l'Allemagne. L'accord de Genève sur le nucléaire iranien a fixé un nouveau cap, reste à le faire appliquer. C'est dans cette perspective que se tiendront le 9 et 10 décembre à Vienne des négociations entre des experts de Téhéran et du groupe P5 + 1, qui rassemble les membres permanents du Conseil de securité – Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni et Russie – et l'Allemagne. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), installée dans la capitale autrichienne, a précisé qu'elle serait impliquée dans les discussions, sans donner plus de détail. L'accord de Genève prévoit que Téhéran mette un terme aux activités les plus susceptibles d'aboutir à la création d'une bombe atomique, comme l'enrichissement d'uranium à 20 % et la suspension des activités sur le site de construction du réacteur à eau lourde d'Arak, en échange d'un allégement des sanctions internationales. Le pacte ne précise cependant pas les modalités pratiques d'application de cet accord, et des diplomates occidentaux ont expliqué que les discussions de la semaine prochaine concerneraient notamment le calendrier et le fonctionnement des inspections de l'AIEA. Ils ont ajouté que l'accord, valable pour six mois, pourrait commencé à être appliqué en janvier. Parmi les principales incertitudes figure le sort précis d'Arak, où l'Iran compte poursuivre les travaux de construction pendant la période de transition de six mois, mais où le pays s'est engagé à ne pas augmenter la capacité de production du réacteur, ni à produire de nouveau combustible. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), installée dans la capitale autrichienne, a précisé qu'elle serait impliquée dans les discussions, sans donner plus de détail. L'accord de Genève prévoit que Téhéran mette un terme aux activités les plus susceptibles d'aboutir à la création d'une bombe atomique, comme l'enrichissement d'uranium à 20 % et la suspension des activités sur le site de construction du réacteur à eau lourde d'Arak, en échange d'un allégement des sanctions internationales. Le pacte ne précise cependant pas les modalités pratiques d'application de cet accord, et des diplomates occidentaux ont expliqué que les discussions de la semaine prochaine concerneraient notamment le calendrier et le fonctionnement des inspections de l'AIEA. Ils ont ajouté que l'accord, valable pour six mois, pourrait commencé à être appliqué en janvier. Parmi les principales incertitudes figure le sort précis d'Arak, où l'Iran compte poursuivre les travaux de construction pendant la période de transition de six mois, mais où le pays s'est engagé à ne pas augmenter la capacité de production du réacteur, ni à produire de nouveau combustible.