La Banque mondiale a approuvé vendredi un financement de 228,5 millions de dollars en faveur d'une nouvelle initiative destinée à améliorer la gestion des ressources en eau dans le bassin du Fleuve Sénégal, qui arrose le Mali, la Mauritanie et le Sénégal, et à stimuler les perspectives de développement de ces 3 pays ainsi que la Guinée. La Banque mondiale a approuvé vendredi un financement de 228,5 millions de dollars en faveur d'une nouvelle initiative destinée à améliorer la gestion des ressources en eau dans le bassin du Fleuve Sénégal, qui arrose le Mali, la Mauritanie et le Sénégal, et à stimuler les perspectives de développement de ces 3 pays ainsi que la Guinée. Plus de 4,5 millions d'habitants vivant le long du Fleuve Sénégal devraient bénéficier directement de ce projet à l'échelle de plusieurs pays. Les pays concernés figurent parmi les plus pauvres de la planète, avec 42% à 53% de leur population vivant au-dessous du seuil de pauvreté, pour l'essentiel des paysans pratiquant une agriculture vivrière et de petits exploitants. Selon les estimations, le taux de croissance démographique annuelle se situe à 2,7% et la population devrait doubler tous les 25 ans. Au cours d'une visite dans la région du Sahel effectuée en novembre dernier, le président de la BM, Jim Yong Kim, qui était accompagné du Secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, avait annoncé de nouvelles aides financières à hauteur de 1,5 milliard de dollars. Ces investissements serviront à soutenir des priorités clés du développement régional, telles que les filets de protection sociale, l'amélioration des infrastructures et la création de débouchés en zone rurale au moyen d'investissements dans le secteur hydroélectrique et dans de nouvelles sources d'énergie propre qui contribueront au développement de l'irrigation et à la transformation de l'agriculture. Ce projet, qui est le premier qui sera réalisé au titre de cette nouvelle initiative, est financé par l'Association internationale de développement (IDA) qui est le Fond de la BM pour les pays les plus pauvres. Après l'approbation de ce financement, le vice-président de la BM pour la région Afrique, Makhtar Diop, a déclaré que la réduction de l'impact dévastateur des sécheresses conduira à une ''amélioration spectaculaire'' des moyens de subsistance de millions de petits agriculteurs et éleveurs et des communautés de l'ensemble du Sahel, tout en contribuant à stimuler la paix et le développement dans l'ensemble de la région. ' 'Si l'on veut aider les gens du Sahel à mieux résister au changement climatique, la toute première chose à faire est de lutter contre la sécheresse'', a-t-il insisté . Plus de 4,5 millions d'habitants vivant le long du Fleuve Sénégal devraient bénéficier directement de ce projet à l'échelle de plusieurs pays. Les pays concernés figurent parmi les plus pauvres de la planète, avec 42% à 53% de leur population vivant au-dessous du seuil de pauvreté, pour l'essentiel des paysans pratiquant une agriculture vivrière et de petits exploitants. Selon les estimations, le taux de croissance démographique annuelle se situe à 2,7% et la population devrait doubler tous les 25 ans. Au cours d'une visite dans la région du Sahel effectuée en novembre dernier, le président de la BM, Jim Yong Kim, qui était accompagné du Secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, avait annoncé de nouvelles aides financières à hauteur de 1,5 milliard de dollars. Ces investissements serviront à soutenir des priorités clés du développement régional, telles que les filets de protection sociale, l'amélioration des infrastructures et la création de débouchés en zone rurale au moyen d'investissements dans le secteur hydroélectrique et dans de nouvelles sources d'énergie propre qui contribueront au développement de l'irrigation et à la transformation de l'agriculture. Ce projet, qui est le premier qui sera réalisé au titre de cette nouvelle initiative, est financé par l'Association internationale de développement (IDA) qui est le Fond de la BM pour les pays les plus pauvres. Après l'approbation de ce financement, le vice-président de la BM pour la région Afrique, Makhtar Diop, a déclaré que la réduction de l'impact dévastateur des sécheresses conduira à une ''amélioration spectaculaire'' des moyens de subsistance de millions de petits agriculteurs et éleveurs et des communautés de l'ensemble du Sahel, tout en contribuant à stimuler la paix et le développement dans l'ensemble de la région. ' 'Si l'on veut aider les gens du Sahel à mieux résister au changement climatique, la toute première chose à faire est de lutter contre la sécheresse'', a-t-il insisté .