La visite officielle de trois jours que doit effectuer le Premier ministre français, Jean-Marc Ayrault, en Algérie, à partir de dimanche, à l'occasion de la tenue du 1er comité intergouvernemental de haut niveau, a pour objectif d'asseoir un dialogue politique "régulier" de "très bon niveau" entre les deux pays, a-t-on affirmé de source diplomatique à Paris. La visite officielle de trois jours que doit effectuer le Premier ministre français, Jean-Marc Ayrault, en Algérie, à partir de dimanche, à l'occasion de la tenue du 1er comité intergouvernemental de haut niveau, a pour objectif d'asseoir un dialogue politique "régulier" de "très bon niveau" entre les deux pays, a-t-on affirmé de source diplomatique à Paris. Cette rencontre, qui a été instituée par la Déclaration d'Alger ayant sanctionné la visite d'Etat du président français François Hollande en Algérie en décembre 2012, a un double objectif : d'une part, avoir un dialogue politique "régulier" de "très bon niveau" entre Alger et Paris et, d'autre part, se doter d'un mécanisme de suivi de la relation bilatérale, a indiqué la même source à l'APS. "Il s'agit de vérifier, une fois de plus, que tous les objectifs que les deux pays se sont fixés, sont atteints, et de fixer, à intervalle régulier, de nouveaux objectifs pour progresser et avancer ensemble", a-t-on expliqué. Pour sa première visite officielle en Algérie, M. Ayrault sera accompagné de neuf de ses ministres dont ceux de l'Intérieur, Manuel Valls, du Commerce extérieur, Nicole Bricq, du Redressement productif, Arnaud Montebourg, de l'Education, Vincent Peillon et de l'Enseignement supérieur, Geneviève Fioraso. Le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, sera représenté à l'occasion par son délégué aux Affaires européennes, Thierry Repentin, le chef de la diplomatie française devant représenter son pays, lundi à Bruxelles, au conseil d'affaires étrangères de l'Union européenne. Le ministre délégué chargé de la Ville, François Lamy, le ministre délégué aux Anciens combattants, Kader Arif, et celle chargée des Français de l'étranger et de la Francophonie, Yamina Benguigui, seront également du voyage, aux côtés de nombreux parlementaires et entrepreneurs, conduits par le président du Medef International, Jean Burelle Cette rencontre, qui a été instituée par la Déclaration d'Alger ayant sanctionné la visite d'Etat du président français François Hollande en Algérie en décembre 2012, a un double objectif : d'une part, avoir un dialogue politique "régulier" de "très bon niveau" entre Alger et Paris et, d'autre part, se doter d'un mécanisme de suivi de la relation bilatérale, a indiqué la même source à l'APS. "Il s'agit de vérifier, une fois de plus, que tous les objectifs que les deux pays se sont fixés, sont atteints, et de fixer, à intervalle régulier, de nouveaux objectifs pour progresser et avancer ensemble", a-t-on expliqué. Pour sa première visite officielle en Algérie, M. Ayrault sera accompagné de neuf de ses ministres dont ceux de l'Intérieur, Manuel Valls, du Commerce extérieur, Nicole Bricq, du Redressement productif, Arnaud Montebourg, de l'Education, Vincent Peillon et de l'Enseignement supérieur, Geneviève Fioraso. Le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, sera représenté à l'occasion par son délégué aux Affaires européennes, Thierry Repentin, le chef de la diplomatie française devant représenter son pays, lundi à Bruxelles, au conseil d'affaires étrangères de l'Union européenne. Le ministre délégué chargé de la Ville, François Lamy, le ministre délégué aux Anciens combattants, Kader Arif, et celle chargée des Français de l'étranger et de la Francophonie, Yamina Benguigui, seront également du voyage, aux côtés de nombreux parlementaires et entrepreneurs, conduits par le président du Medef International, Jean Burelle