Les frontières algéro-marocaines "seront rouvertes une fois disparues les causes à l'origine de leur fermeture. A ce moment-là, les choses reprendront leur cours normal", a affirmé dimanche le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra. Les frontières algéro-marocaines "seront rouvertes une fois disparues les causes à l'origine de leur fermeture. A ce moment-là, les choses reprendront leur cours normal", a affirmé dimanche le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra. Dans un entretien accordé à la chaîne France 24, Ramtane Lamamra a souligné que "cette question concerne le principe algérien qui veut que les frontières algéro-marocaines ne seront rouvertes qu'une fois disparues les causes à l'origine de leur fermeture. A ce moment là, les choses reprendront leur cours normal avec le voisin marocain". Concernant l'avenir des relations algéro-marocaines, Lamamra s'est contenté de rappeler l'incident de la profanation, en novembre dernier, du drapeau national au consulat général à Casablanca. Cet incident "a profondément heurté la conscience collective algérienne", a-t-il dit, soulignant qu'il "ne s'agit pas d'un incident anodin pouvant survenir n'importe où mais d'une grave et flagrante atteinte aux symboles et valeurs auxquels nous croyons et que nous pensons encore partager avec les frères dans la région". Dans un entretien accordé à la chaîne France 24, Ramtane Lamamra a souligné que "cette question concerne le principe algérien qui veut que les frontières algéro-marocaines ne seront rouvertes qu'une fois disparues les causes à l'origine de leur fermeture. A ce moment là, les choses reprendront leur cours normal avec le voisin marocain". Concernant l'avenir des relations algéro-marocaines, Lamamra s'est contenté de rappeler l'incident de la profanation, en novembre dernier, du drapeau national au consulat général à Casablanca. Cet incident "a profondément heurté la conscience collective algérienne", a-t-il dit, soulignant qu'il "ne s'agit pas d'un incident anodin pouvant survenir n'importe où mais d'une grave et flagrante atteinte aux symboles et valeurs auxquels nous croyons et que nous pensons encore partager avec les frères dans la région".