Les trafiquants d'armes sévissaient à Alger, Blida, Bouira, Sétif, Batna et Tébessa. Le réseau était composé de douze individus faisant partie d'un vaste réseau de trafic de fusils de fabrication russe et artisanale qu'ils cédaient à 120 millions de centimes l'unité. Ces fusils étaient dissimulés dans un atelier clandestin à Bouira. Les trafiquants d'armes sévissaient à Alger, Blida, Bouira, Sétif, Batna et Tébessa. Le réseau était composé de douze individus faisant partie d'un vaste réseau de trafic de fusils de fabrication russe et artisanale qu'ils cédaient à 120 millions de centimes l'unité. Ces fusils étaient dissimulés dans un atelier clandestin à Bouira. Onze suspects on t été interpellés par les gendarmes enquêteurs de Douéra à travers six wilayas du pays. 6 fusils de fabrication russe ont pu être récupérés ainsi qu'une arme à feu artisanale, 5.000 munitions et des vêtements de chasse, a déclaré hier le capitaine Riadh Berkat, chef de la brigade de gendarmerie de Douéra. « Il s'agit d'un vaste réseau national qui a tissé ses tentacules pour atteindre les frontières Est, voire jusqu'à Tébessa là où des perquisitions ont permis d'interpeller des trafiquants, mais aussi des perquisitions effectuées à Batna, Sétif, Bouira, Blida et Alger qui se sont soldées par des interpellations des membres du réseau », explique-t-il. L'enquête des gendarmes a commencé le 14 décembre, le jour où la brigade de Dkakna relevant de la compagnie de Douéra a reçu des renseignements faisant état de la présence d'un suspect qui aurait vendu des fusils. Les investigations menées ont permis l'arrestation du suspect. La perquisition du domicile de ce dernier, sis à Alger, a permis la découverte de deux fusils russes cachés dans un coffre-fort. L'interrogatoire du suspect a permis de connaître les noms et adresses des 11 autres membres du réseau résidant dans différentes wilayas du pays. Les perquisitions des domiciles des onze suspects ont permis la saisie de trois fusils russes, un fusil artisanal et une arme automatique fabriquée dans un atelier clandestin à Bordj Khriss. Chaque membre du réseau avait en sa possession 4 à 5 puces anonymes, non-identifiées par les opérateurs de téléphonie mobile en Algérie. « C'est une technique très répandue dans les milieux des trafiquants, ces derniers utilisent des messages et des appels téléphoniques codés pour éviter qu'ils ne soient repérés par les services de sécurité », indique le conférencier. Toutefois, le grand travail accomplit par les spécialistes de la Gendarmerie nationale a permis de localiser tous les messages électroniques et les appels téléphoniques effectués. Les éléments spécialisés de la Gendarmerie nationale de Douéra ont réussi à localiser l'atelier clandestin où certaines armes étaient fabriquées et perfectionnées. Lors de la perquisition, les gendarmes enquêteurs ont découvert trois fusils automatiques et plus de 5.000 cartouches de 12 et 16 mm fabriquaient par le réseau. « C'est un atelier totalement isolé. Situé dans un endroit hautement discret auquel le réseau avait fabriqué autant des fusils avant de les vendre pour leurs clients », dira le capitaine Berkat. Les onze trafiquants d'armes ont été présentés, hier, devant le procureur de la République pour trois chef d'inculpation, association de malfaiteurs, trafic d'armes et de munitions et enfin possession d'armes sans autorisation. Onze suspects on t été interpellés par les gendarmes enquêteurs de Douéra à travers six wilayas du pays. 6 fusils de fabrication russe ont pu être récupérés ainsi qu'une arme à feu artisanale, 5.000 munitions et des vêtements de chasse, a déclaré hier le capitaine Riadh Berkat, chef de la brigade de gendarmerie de Douéra. « Il s'agit d'un vaste réseau national qui a tissé ses tentacules pour atteindre les frontières Est, voire jusqu'à Tébessa là où des perquisitions ont permis d'interpeller des trafiquants, mais aussi des perquisitions effectuées à Batna, Sétif, Bouira, Blida et Alger qui se sont soldées par des interpellations des membres du réseau », explique-t-il. L'enquête des gendarmes a commencé le 14 décembre, le jour où la brigade de Dkakna relevant de la compagnie de Douéra a reçu des renseignements faisant état de la présence d'un suspect qui aurait vendu des fusils. Les investigations menées ont permis l'arrestation du suspect. La perquisition du domicile de ce dernier, sis à Alger, a permis la découverte de deux fusils russes cachés dans un coffre-fort. L'interrogatoire du suspect a permis de connaître les noms et adresses des 11 autres membres du réseau résidant dans différentes wilayas du pays. Les perquisitions des domiciles des onze suspects ont permis la saisie de trois fusils russes, un fusil artisanal et une arme automatique fabriquée dans un atelier clandestin à Bordj Khriss. Chaque membre du réseau avait en sa possession 4 à 5 puces anonymes, non-identifiées par les opérateurs de téléphonie mobile en Algérie. « C'est une technique très répandue dans les milieux des trafiquants, ces derniers utilisent des messages et des appels téléphoniques codés pour éviter qu'ils ne soient repérés par les services de sécurité », indique le conférencier. Toutefois, le grand travail accomplit par les spécialistes de la Gendarmerie nationale a permis de localiser tous les messages électroniques et les appels téléphoniques effectués. Les éléments spécialisés de la Gendarmerie nationale de Douéra ont réussi à localiser l'atelier clandestin où certaines armes étaient fabriquées et perfectionnées. Lors de la perquisition, les gendarmes enquêteurs ont découvert trois fusils automatiques et plus de 5.000 cartouches de 12 et 16 mm fabriquaient par le réseau. « C'est un atelier totalement isolé. Situé dans un endroit hautement discret auquel le réseau avait fabriqué autant des fusils avant de les vendre pour leurs clients », dira le capitaine Berkat. Les onze trafiquants d'armes ont été présentés, hier, devant le procureur de la République pour trois chef d'inculpation, association de malfaiteurs, trafic d'armes et de munitions et enfin possession d'armes sans autorisation.