L'expérience de l'hospitalisation à domicile, adoptée depuis trois ans par l'Etablissement hospitalo-universitaire "1er Novembre 1954" d'Oran, a réalisé un succès en matière de prise en charge médicale des malades, ont affirmé ses promoteurs. L'expérience de l'hospitalisation à domicile, adoptée depuis trois ans par l'Etablissement hospitalo-universitaire "1er Novembre 1954" d'Oran, a réalisé un succès en matière de prise en charge médicale des malades, ont affirmé ses promoteurs. Initiée par le service de médecine interne et diabétologie de l'EHS, l' opération a été favorablement accueillie par les familles de malades qui ont valorisé l'initiative qui épargne au patient le déplacement vers l'hôpital pour des consultations et des soins. L'expérience, la première du genre au niveau de la wilaya d'Oran, contribue à réduire la durée d'hospitalisation du malade et les coûts d'hospitalisation, selon le professeur Belhadj Mohamed. L'hospitalisation à domicile (HAD), qui dure 20 jours de prise en charge renouvelable, est destinée à une catégorie de malades qui éprouve une grande difficulté de mobilité. La prestation profite aux malades alités et atteints de maladies chroniques et aigües à l'exception des cas psychiques et des nouveau-nés qui nécessitent un suivi par assistance. L'unité dispose d'une équipe dotée d'un véhicule, composée de deux médecins, des infirmiers, une assistante sociale qui mène au préalable une enquête sociale sur le malade pour s'enquérir des conditions de bénéfice du service HDA. L'équipe effectue des visites aux familles des quartiers de la ville d'Oran en prodiguant des soins aux malades leur assurant des médicaments à titre gracieux, a-t-on constaté lors d'une tournée effectuée par une journaliste de l'APS aux bénéficiaires à Hai Ghoualem (ex Médioni), Hai El Makkari et la localité d'El Menzeh (ex Canastel). L'unité d'hospitalisation à domicile prend en charge dix malades et peut atteindre même vingt en généralisant ses services aux autres communes d'Oran en cas d'apport d'un deuxième véhicule, a indiqué le chef de service de médecine interne et diabétologie. Par ailleurs, l'EHU "1er Novembre 1954" envisage de généraliser l'hospitalisation à domicile aux femmes souffrant d'une grossesse à risque, a indiqué le directeur général de la structure sanitaire. Initiée par le service de médecine interne et diabétologie de l'EHS, l' opération a été favorablement accueillie par les familles de malades qui ont valorisé l'initiative qui épargne au patient le déplacement vers l'hôpital pour des consultations et des soins. L'expérience, la première du genre au niveau de la wilaya d'Oran, contribue à réduire la durée d'hospitalisation du malade et les coûts d'hospitalisation, selon le professeur Belhadj Mohamed. L'hospitalisation à domicile (HAD), qui dure 20 jours de prise en charge renouvelable, est destinée à une catégorie de malades qui éprouve une grande difficulté de mobilité. La prestation profite aux malades alités et atteints de maladies chroniques et aigües à l'exception des cas psychiques et des nouveau-nés qui nécessitent un suivi par assistance. L'unité dispose d'une équipe dotée d'un véhicule, composée de deux médecins, des infirmiers, une assistante sociale qui mène au préalable une enquête sociale sur le malade pour s'enquérir des conditions de bénéfice du service HDA. L'équipe effectue des visites aux familles des quartiers de la ville d'Oran en prodiguant des soins aux malades leur assurant des médicaments à titre gracieux, a-t-on constaté lors d'une tournée effectuée par une journaliste de l'APS aux bénéficiaires à Hai Ghoualem (ex Médioni), Hai El Makkari et la localité d'El Menzeh (ex Canastel). L'unité d'hospitalisation à domicile prend en charge dix malades et peut atteindre même vingt en généralisant ses services aux autres communes d'Oran en cas d'apport d'un deuxième véhicule, a indiqué le chef de service de médecine interne et diabétologie. Par ailleurs, l'EHU "1er Novembre 1954" envisage de généraliser l'hospitalisation à domicile aux femmes souffrant d'une grossesse à risque, a indiqué le directeur général de la structure sanitaire.