Enfin, après cinq jours de blocage, les usagers et les voyageurs sont soulagés après la reprise du trafic ferroviaire Alger-Thénia. Ils ont vécu le calvaire particulièrement le premier jour de la protestation initiée par des citoyens réclamant l'annulation du projet de réalisation d'un Centre d'enfouissement technique (CET) à Hai Karouche. Enfin, après cinq jours de blocage, les usagers et les voyageurs sont soulagés après la reprise du trafic ferroviaire Alger-Thénia. Ils ont vécu le calvaire particulièrement le premier jour de la protestation initiée par des citoyens réclamant l'annulation du projet de réalisation d'un Centre d'enfouissement technique (CET) à Hai Karouche. Plusieurs habitants de la wilaya de Boumerdès n'ont pas pu, pendant le mouvement de protestation, joindre leurs destinations. Cette situation a été accentuée par le manque de moyens de transports routiers qui se sont fait rares notamment en début de soirée. Cela a contraint des voyageurs à chercher d'autres moyens en recourant à des clandestins qui desservaient les voyageurs à des tarifs exorbitants car Ils profitent de telles occasions pour se faire de l'argent. Certains voyageurs ont dénoncé ces "clandos", mais d'autres préfèrent rallier leur destination ou leur domicile familial quel que soit le prix. Mais à part la paralysie du transport ferroviaire, celui du routier a été, également, perturbé en raison de la fermeture de plusieurs axes routiers dans la localité de Réghaia par les mêmes manifestants. Par ailleurs, l'intervention de la force publique pour libérer la circulation routière et remettre sur les rails les trains et l'automotrice de banlieue, a permis l'arrestation d'une vingtaine de personnes dont la moitié a été présentée devant le tribunal de Rouiba tandis que le reste des manifestants ont été relâchés. Selon une source locale, près de treize manifestants sont poursuivis pour «attroupement illégal, fermeture et paralysie de la voie publique causant de désagréments aux usagers et voyageurs». Plusieurs habitants de la wilaya de Boumerdès n'ont pas pu, pendant le mouvement de protestation, joindre leurs destinations. Cette situation a été accentuée par le manque de moyens de transports routiers qui se sont fait rares notamment en début de soirée. Cela a contraint des voyageurs à chercher d'autres moyens en recourant à des clandestins qui desservaient les voyageurs à des tarifs exorbitants car Ils profitent de telles occasions pour se faire de l'argent. Certains voyageurs ont dénoncé ces "clandos", mais d'autres préfèrent rallier leur destination ou leur domicile familial quel que soit le prix. Mais à part la paralysie du transport ferroviaire, celui du routier a été, également, perturbé en raison de la fermeture de plusieurs axes routiers dans la localité de Réghaia par les mêmes manifestants. Par ailleurs, l'intervention de la force publique pour libérer la circulation routière et remettre sur les rails les trains et l'automotrice de banlieue, a permis l'arrestation d'une vingtaine de personnes dont la moitié a été présentée devant le tribunal de Rouiba tandis que le reste des manifestants ont été relâchés. Selon une source locale, près de treize manifestants sont poursuivis pour «attroupement illégal, fermeture et paralysie de la voie publique causant de désagréments aux usagers et voyageurs».