La prochaine élection présidentielle et l'éventuelle révision de la Constitution, ont dominé, tout le long de l'année 2013, les discours des partis politiques, qui n'ont raté aucune sortie médiatique pour se prononcer sur ces deux questions cruciales et combien importantes pour l'avenir de l'Algérie et son développement. La prochaine élection présidentielle et l'éventuelle révision de la Constitution, ont dominé, tout le long de l'année 2013, les discours des partis politiques, qui n'ont raté aucune sortie médiatique pour se prononcer sur ces deux questions cruciales et combien importantes pour l'avenir de l'Algérie et son développement. Qu'elles soient de gauche, de centre ou de tendance islamique, de nombreuses formations politiques ont affiché, à différentes occasions, leurs positions favorables à une révision, partielle ou élargie, de la loi fondamentale du pays. Les leaders de ces partis n'ont pas manqué, cependant, de souligner dans leurs allocutions, la nécessité d'organiser la présidentielle du mois d'avril prochain, dans la "transparence" et la "démocratie". Même si l'échéance d'une possible révision de la Constitution et son déroulement les divisent, les partis politiques ont été, dans leur majorité, unanimes sur la nécessité d'organiser, dans les plus brefs délais, cette opération. Les quelques personnalités politiques qui ont annoncé, jusqu'à présent, leur candidature à la magistrature suprême devront attendre la convocation du corps électoral et l'annonce de la date du dépôt de candidatures auprès du Conseil constitutionnel pour pouvoir prendre part, officiellement, à la course vers le palais d'El Mouradia. Plusieurs formations politiques et personnalités nationales ont décidé d'accorder de nouveau leur "pleine confiance" au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, le sollicitant "vivement" de briguer un quatrième mandat. A cet effet, le Comité central du parti du Front de libération nationale (FLN) a appelé le président Bouteflika, à parachever dans "les plus brefs délais" son programme politique à travers une révision de la Constitution consacrant le principe de séparation des pouvoirs, une nécessité pour la consolidation d'un Etat de droit. Appel à un quatrième mandat... Le FLN, à travers son secrétaire général, Amar Saâdani, a appelé le chef de l'Etat à se présenter à l'élection présidentielle de 2014 pour garantir "la finalisation des nombreux chantiers engagés dans divers secteurs de développement". De son côté, le président du parti "Tajamoua Amel El Djazair" (TAJ), Amar Ghoul, a qualifié la prochaine échéance électorale de "décisive" et de "déterminante", en réitérant le soutien "absolu" de son parti au président Bouteflika, au cas où il se porterait candidat. Le secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), Abdelkader Bensalah, a lui aussi réitéré l'appui de sa formation politique à une éventuelle candidature du président Bouteflika. "Le RND n'a pas changé. Nous ne faisons ni surenchère ni troc politique. Nous sommes aux côtés des préoccupations du peuple et de ceux qui contribuent à préserver les constantes nationales et à renforcer les institutions", a affirmé récemment, M. Bensalah, dans une allocution. Le Parti des travailleurs (PT) estime, quant à lui, nécessaire d'amorcer un "renouveau politique" par l'engagement d'un processus associant le peuple dans un débat libre, susceptible d'aboutir à une réforme constitutionnelle. La leader du PT a tenu, toutefois, à préciser que son parti "ne soutiendra" aucun candidat de l'opposition lors de la prochaine présidentielle. Par ailleurs, le Mouvement Ennahda a estimé que la mise en place d'un gouvernement de coalition, impliquant l'ensemble des courants politiques et les forces vives de la Nation, était "essentielle" pour veiller à la promulgation des lois organiques et, en premier lieu, la Constitution. Une révision à la hauteur des attentes... Pour sa part, le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), a préconisé la construction d'un consensus autour d'un "minimum républicain" en vue d'"assainir" le climat politique en Algérie. Il est nécessaire, de l'avis du RCD, d'ouvrir le débat autour de la création d'une "Commission nationale permanente chargée de la gestion des élections" et d'un "Observatoire national des élections". Les deux structures "institutionnellement indépendantes", auront pour missions, selon ce parti, l'organisation, la gestion et la supervision des élections dans leurs différentes phases. De son côté, le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Abderrezak Mokri, a exprimé, au cours de l'année 2013, la volonté de son parti de participer à la prochaine élection présidentielle avec son propre candidat ou en soutenant un "candidat commun" issu d'un consensus avec d'autres formations politiques de l'opposition. "Si consensus il y a avec les autres partis politiques de l'opposition autour d'un projet politique et d'un candidat commun, nous opterons pour ce choix au lieu d'un candidat du MSP", avait précisé M. Mokri. S'agissant de la loi fondamentale, le MSP aspire, selon son premier responsable, à une Constitution qui "reflète les attentes réelles du peuple algérien et de sa classe politique". Qu'elles soient de gauche, de centre ou de tendance islamique, de nombreuses formations politiques ont affiché, à différentes occasions, leurs positions favorables à une révision, partielle ou élargie, de la loi fondamentale du pays. Les leaders de ces partis n'ont pas manqué, cependant, de souligner dans leurs allocutions, la nécessité d'organiser la présidentielle du mois d'avril prochain, dans la "transparence" et la "démocratie". Même si l'échéance d'une possible révision de la Constitution et son déroulement les divisent, les partis politiques ont été, dans leur majorité, unanimes sur la nécessité d'organiser, dans les plus brefs délais, cette opération. Les quelques personnalités politiques qui ont annoncé, jusqu'à présent, leur candidature à la magistrature suprême devront attendre la convocation du corps électoral et l'annonce de la date du dépôt de candidatures auprès du Conseil constitutionnel pour pouvoir prendre part, officiellement, à la course vers le palais d'El Mouradia. Plusieurs formations politiques et personnalités nationales ont décidé d'accorder de nouveau leur "pleine confiance" au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, le sollicitant "vivement" de briguer un quatrième mandat. A cet effet, le Comité central du parti du Front de libération nationale (FLN) a appelé le président Bouteflika, à parachever dans "les plus brefs délais" son programme politique à travers une révision de la Constitution consacrant le principe de séparation des pouvoirs, une nécessité pour la consolidation d'un Etat de droit. Appel à un quatrième mandat... Le FLN, à travers son secrétaire général, Amar Saâdani, a appelé le chef de l'Etat à se présenter à l'élection présidentielle de 2014 pour garantir "la finalisation des nombreux chantiers engagés dans divers secteurs de développement". De son côté, le président du parti "Tajamoua Amel El Djazair" (TAJ), Amar Ghoul, a qualifié la prochaine échéance électorale de "décisive" et de "déterminante", en réitérant le soutien "absolu" de son parti au président Bouteflika, au cas où il se porterait candidat. Le secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), Abdelkader Bensalah, a lui aussi réitéré l'appui de sa formation politique à une éventuelle candidature du président Bouteflika. "Le RND n'a pas changé. Nous ne faisons ni surenchère ni troc politique. Nous sommes aux côtés des préoccupations du peuple et de ceux qui contribuent à préserver les constantes nationales et à renforcer les institutions", a affirmé récemment, M. Bensalah, dans une allocution. Le Parti des travailleurs (PT) estime, quant à lui, nécessaire d'amorcer un "renouveau politique" par l'engagement d'un processus associant le peuple dans un débat libre, susceptible d'aboutir à une réforme constitutionnelle. La leader du PT a tenu, toutefois, à préciser que son parti "ne soutiendra" aucun candidat de l'opposition lors de la prochaine présidentielle. Par ailleurs, le Mouvement Ennahda a estimé que la mise en place d'un gouvernement de coalition, impliquant l'ensemble des courants politiques et les forces vives de la Nation, était "essentielle" pour veiller à la promulgation des lois organiques et, en premier lieu, la Constitution. Une révision à la hauteur des attentes... Pour sa part, le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), a préconisé la construction d'un consensus autour d'un "minimum républicain" en vue d'"assainir" le climat politique en Algérie. Il est nécessaire, de l'avis du RCD, d'ouvrir le débat autour de la création d'une "Commission nationale permanente chargée de la gestion des élections" et d'un "Observatoire national des élections". Les deux structures "institutionnellement indépendantes", auront pour missions, selon ce parti, l'organisation, la gestion et la supervision des élections dans leurs différentes phases. De son côté, le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Abderrezak Mokri, a exprimé, au cours de l'année 2013, la volonté de son parti de participer à la prochaine élection présidentielle avec son propre candidat ou en soutenant un "candidat commun" issu d'un consensus avec d'autres formations politiques de l'opposition. "Si consensus il y a avec les autres partis politiques de l'opposition autour d'un projet politique et d'un candidat commun, nous opterons pour ce choix au lieu d'un candidat du MSP", avait précisé M. Mokri. S'agissant de la loi fondamentale, le MSP aspire, selon son premier responsable, à une Constitution qui "reflète les attentes réelles du peuple algérien et de sa classe politique".