En souffrance depuis des années, les travaux du Musée d'arts modernes (Mamo) d'Oran ont été relancés après un arrêt de plusieurs mois, a annoncé le wali à l'issue des travaux de la 4e session ordinaire de l'Assemblée populaire de wilaya (APW). En souffrance depuis des années, les travaux du Musée d'arts modernes (Mamo) d'Oran ont été relancés après un arrêt de plusieurs mois, a annoncé le wali à l'issue des travaux de la 4e session ordinaire de l'Assemblée populaire de wilaya (APW). Situées à la rue Larbi Ben-M'hidi au centre-ville, les travaux de réhabilitation des locaux des ex-Galeries pour leur reconversion en musée d'arts modernes d'Oran ont été relancés après un arrêt de plusieurs mois avec l'ouverture d'une antenne à l'Agence nationale de réalisation et de gestion des projets culturels, a indiqué Abdelghani Zaâlane à l'issue des travaux de la session ordinaire de APW. Le chef de l'exécutif a fait également état de la réactivation, dans les prochaines semaines, de tous les projets culturels en souffrance depuis plusieurs années, dont ceux de confortement de la Maison de la culture, de restauration du minaret de la mosquée Djawhara, à Haï Sidi El-Houari, et de réalisation de l'annexe de la Bibliothèque nationale. Pour assurer le suivi de ces projets, les services techniques de la Direction de la culture de la wilaya seront étoffés, a-t-il annoncé dans ce sens. Un détachement de cadres techniques sera opéré dans les plus brefs délais en réponse aux préoccupations de la Direction de la culture qui peine à prendre en charge ces projets, dont la plupart ont été transférés à la Direction de l'urbanisme et de la construction (Duc), a ajouté le même responsable, soulignant que cet encadrement contribuera à l'amélioration de la gestion et la sauvegarde des biens culturels de la ville et à la mise en place d'un planning de suivi des projets de restauration de sites et monuments historiques, dont la Mosquée du Pacha, édifice construit entre 1792 et 1796 et classé patrimoine le 6 août 1952, et le palais du Bey, un monument classé édifié par le Bey Mohamed El-Kébir après la libération d'Oran de l'occupation espagnole en 1792, comme l'ont relevé les membres de l'APW. Ils ont insisté également sur la nécessaire coordination entre la Direction de la culture, la société civile et les instances concernées pour protéger ces biens culturels, tels que la mosquée Imam El- Houari, la Porte d'Espagne, la Casbah datant de l'époque ottomane, les ruines de Portus Magnus à Béthioua et l'abri Alain (grottes préhistoriques), selon l'APS qui précise que la wilaya d'Oran renferme un trésor inestimable de quelque 600 vestiges, dont certains datant de la préhistoire parmi lesquels 12 forteresses à l'image du Fort de Santa Cruz. S'agissant des salles de cinéma, qui sont dans un piteux état, seules trois ont fait l'objet de réhabilitation, à savoir la cinémathèque, les salles Essaâda et Maghreb. Les élus ont plaidé pour leur transfert au profit de la Direction de la culture de la wilaya. Rappelant que les salles de cinéma seront transférées au ministère de la Culture, le wali a instruit la directrice de culture à acquérir des ouvrages pour équiper les bibliothèques communales. La restructuration des bibliothèques de proximité et leur dotation en ouvrages pour satisfaire les besoins des lecteurs ainsi que l'ouverture de centres culturels, dont celui de haï Es-sabah (Bir El-Djir) ont été les recommandations formulées lors de cette session. Situées à la rue Larbi Ben-M'hidi au centre-ville, les travaux de réhabilitation des locaux des ex-Galeries pour leur reconversion en musée d'arts modernes d'Oran ont été relancés après un arrêt de plusieurs mois avec l'ouverture d'une antenne à l'Agence nationale de réalisation et de gestion des projets culturels, a indiqué Abdelghani Zaâlane à l'issue des travaux de la session ordinaire de APW. Le chef de l'exécutif a fait également état de la réactivation, dans les prochaines semaines, de tous les projets culturels en souffrance depuis plusieurs années, dont ceux de confortement de la Maison de la culture, de restauration du minaret de la mosquée Djawhara, à Haï Sidi El-Houari, et de réalisation de l'annexe de la Bibliothèque nationale. Pour assurer le suivi de ces projets, les services techniques de la Direction de la culture de la wilaya seront étoffés, a-t-il annoncé dans ce sens. Un détachement de cadres techniques sera opéré dans les plus brefs délais en réponse aux préoccupations de la Direction de la culture qui peine à prendre en charge ces projets, dont la plupart ont été transférés à la Direction de l'urbanisme et de la construction (Duc), a ajouté le même responsable, soulignant que cet encadrement contribuera à l'amélioration de la gestion et la sauvegarde des biens culturels de la ville et à la mise en place d'un planning de suivi des projets de restauration de sites et monuments historiques, dont la Mosquée du Pacha, édifice construit entre 1792 et 1796 et classé patrimoine le 6 août 1952, et le palais du Bey, un monument classé édifié par le Bey Mohamed El-Kébir après la libération d'Oran de l'occupation espagnole en 1792, comme l'ont relevé les membres de l'APW. Ils ont insisté également sur la nécessaire coordination entre la Direction de la culture, la société civile et les instances concernées pour protéger ces biens culturels, tels que la mosquée Imam El- Houari, la Porte d'Espagne, la Casbah datant de l'époque ottomane, les ruines de Portus Magnus à Béthioua et l'abri Alain (grottes préhistoriques), selon l'APS qui précise que la wilaya d'Oran renferme un trésor inestimable de quelque 600 vestiges, dont certains datant de la préhistoire parmi lesquels 12 forteresses à l'image du Fort de Santa Cruz. S'agissant des salles de cinéma, qui sont dans un piteux état, seules trois ont fait l'objet de réhabilitation, à savoir la cinémathèque, les salles Essaâda et Maghreb. Les élus ont plaidé pour leur transfert au profit de la Direction de la culture de la wilaya. Rappelant que les salles de cinéma seront transférées au ministère de la Culture, le wali a instruit la directrice de culture à acquérir des ouvrages pour équiper les bibliothèques communales. La restructuration des bibliothèques de proximité et leur dotation en ouvrages pour satisfaire les besoins des lecteurs ainsi que l'ouverture de centres culturels, dont celui de haï Es-sabah (Bir El-Djir) ont été les recommandations formulées lors de cette session.
