Le ministre de la Pêche et des ressources halieutiques, Sid-Ahmed Ferroukhi, a souligné l'importance de la mise en place d'un réseau national de compétences à même de développer le secteur de la pêche, dans le cadre d'un développement durable. Le ministre de la Pêche et des ressources halieutiques, Sid-Ahmed Ferroukhi, a souligné l'importance de la mise en place d'un réseau national de compétences à même de développer le secteur de la pêche, dans le cadre d'un développement durable. Intervenant à l'ouverture des travaux d'un atelier international consacré à "l'approche socio-économique de la pêche et de l'aquaculture et les projets intégrés, comme outil d'aide à la décision", M. Ferroukhi a indiuqé qu'il était "nécessaire et indispensable de mettre en place un réseau national de compétences constitué d'universitaires, du mouvement associatif ainsi que d'autres partenaires et acteurs, susceptibles de booster le secteur de la pêche et de l'aquaculture, dans le cadre d'un développement harmonieux et durable, avec comme toile de fond, la préservation de la biodiversité". Le ministre a également souligné la nécessité d'instaurer un dialogue avec les professionnels de la mer, estimant qu' "il faut aller plus loin qu'une approche centrée uniquement sur la biodiversité". "Si préserver la biodiversité veut dire faire disparaître les pêcheurs, cela ne vaut pas le coup", a martelé M. Ferroukhi, jugeant "prépondérante la présence des professionnels dans la démarche initiée par le ministère". Cette rencontre, initiée par le ministère de la Pêche avec le concours du Centre national de recherche et de développement de la pêche et de l'aquaculture (CNRDPA), de l'université de Jijel et du Parc national de Taza (PNT), réunit pour deux journées d'éminents chercheurs algériens et étrangers, notamment de France, Grèce, Espagne et d'Italie. L'objectif de cet atelier international est de mettre en évidence la contribution des études socio-économiques à la prise de décision à travers la compréhension, l'identification et la modélisation des systèmes de pêche et d'aquaculture et l'analyse des filières, ainsi que la mise en exergue des opportunités favorisant le développement des projets intégrés. Cet atelier initiera un débat et une réflexion autour des outils méthodologiques devant servir de base à l'analyse économique et sociale du secteur à travers l'analyse de la filière pêche et d'aquaculture, en mettant en relief les spécificités et les caractéristiques de l'activité de pêche en Algérie. En marge de cet atelier, le ministre de la Pêche a procédé à la remise d'un titre d'attribution de concession à un promoteur en conchyliculture (élevage de moules et d'huîtres) dans une zone située entre El Aouana et Ziama-Mansouriah (Ouest). Ce projet, une fois opérationnel, permettra de produire cent (100) tonnes par an entre huîtres et moules. Intervenant à l'ouverture des travaux d'un atelier international consacré à "l'approche socio-économique de la pêche et de l'aquaculture et les projets intégrés, comme outil d'aide à la décision", M. Ferroukhi a indiuqé qu'il était "nécessaire et indispensable de mettre en place un réseau national de compétences constitué d'universitaires, du mouvement associatif ainsi que d'autres partenaires et acteurs, susceptibles de booster le secteur de la pêche et de l'aquaculture, dans le cadre d'un développement harmonieux et durable, avec comme toile de fond, la préservation de la biodiversité". Le ministre a également souligné la nécessité d'instaurer un dialogue avec les professionnels de la mer, estimant qu' "il faut aller plus loin qu'une approche centrée uniquement sur la biodiversité". "Si préserver la biodiversité veut dire faire disparaître les pêcheurs, cela ne vaut pas le coup", a martelé M. Ferroukhi, jugeant "prépondérante la présence des professionnels dans la démarche initiée par le ministère". Cette rencontre, initiée par le ministère de la Pêche avec le concours du Centre national de recherche et de développement de la pêche et de l'aquaculture (CNRDPA), de l'université de Jijel et du Parc national de Taza (PNT), réunit pour deux journées d'éminents chercheurs algériens et étrangers, notamment de France, Grèce, Espagne et d'Italie. L'objectif de cet atelier international est de mettre en évidence la contribution des études socio-économiques à la prise de décision à travers la compréhension, l'identification et la modélisation des systèmes de pêche et d'aquaculture et l'analyse des filières, ainsi que la mise en exergue des opportunités favorisant le développement des projets intégrés. Cet atelier initiera un débat et une réflexion autour des outils méthodologiques devant servir de base à l'analyse économique et sociale du secteur à travers l'analyse de la filière pêche et d'aquaculture, en mettant en relief les spécificités et les caractéristiques de l'activité de pêche en Algérie. En marge de cet atelier, le ministre de la Pêche a procédé à la remise d'un titre d'attribution de concession à un promoteur en conchyliculture (élevage de moules et d'huîtres) dans une zone située entre El Aouana et Ziama-Mansouriah (Ouest). Ce projet, une fois opérationnel, permettra de produire cent (100) tonnes par an entre huîtres et moules.