L'Algérie et la Tunisie sont déterminées à renforcer leurs relations dans tous les domaines notamment sur les plans sécuritaire et économique. L'Algérie et la Tunisie sont déterminées à renforcer leurs relations dans tous les domaines notamment sur les plans sécuritaire et économique. La visite officielle de deux jours du Chef du gouvernement tunisien, Mehdi Jomaa, en Algérie, à l'invitation du Premier ministre Abdelmalek Sellal, s'inscrit, d'ailleurs, dans ce sens. Au-delà des questions sécuritaires, des incidents meurtriers menés par des islamistes près de la frontière algérienne, dans le Mont Chaamba (Tunisie) avaient amené les deux pays ces derniers mois à renforcer leur collaboration sécuritaire avec des visites de part et d'autre à tous les niveaux, c'est la coopération économique qui est au cœur de cette visite. D'ailleurs en visitant, hier, la Société nationale des véhicules industriels (SNVI) de Rouiba (Alger) en compagnie des ministres du Développement industriel et de la Promotion de l'investissement et de l'Energie et des mines, respectivement, Amara Benyounes et Youcef Yousfi, le Chef du gouvernement tunisien, a affirmé que de « grandes » perspectives économiques s'offraient au partenariat entre l'Algérie et la Tunisie, appelant à créer une complémentarité économique entre les deux pays dans le secteur de l'industrie, notamment automobile. Mehdi Jomaa a précisé que la filière de l'industrie automobile figurait parmi celles où les deux pays pouvaient développer un partenariat, saluant « l'expérience industrielle » de l'Algérie dans ce domaine qui, a-t-il dit, est « complémentaire à la base industrielle tunisienne ». Il a, dans ce cadre, appelé à créer un tissu complémentaire entre les deux pays dans ce domaine, d'autant que l'Algérie a de grands projets dans l'industrie automobile, les véhicules lourds et les groupes électrogènes, évoquant les discussions qui ont lieu entre les deux parties -lors de sa visite en Algérie - pour renforcer les moyens de coopération «à l'avenir». Pour sa part, M. Benyounes a annoncé que la commission mixte algéro-tunisienne se réunirait prochainement, indiquant que les gouvernements des deux pays ont donné instruction pour examiner les moyens d'appuyer le partenariat industriel entre l'Algérie et la Tunisie. Samedi soir, l'hôte de l'Algérie a souligné dans une déclaration à la presse à son arrivée à l'aéroport d'Alger, que sa visite en Algérie qui intervient après son élection à la tête de l'exécutif de son pays, « traduit la solidité des relations historiques existant entre les deux pays frères ». Mehdi Jomaa a déclaré également que sa visite en Algérie confirme que la sécurité de la Tunisie est celle de l'Algérie et vice-versa. Il a indiqué que les deux pays ont entretenu un partenariat sécuritaire et économique de haut niveau, affichant ainsi sa volonté de renforcer encore les relations tuniso-algériennes lors de cette visite officielle. Pour le Chef du gouvernement tunisien, sa visite en Algérie qui intervient après son élection à la tête de l'exécutif de son pays, s'inscrit dans la perspective de voir les opportunités de coopération entre les deux pays s'élargir à tous les domaines, notamment économiques. Le printemps tunisien a bouclé son cycle Dans ce cadre, Mehdi Jomaâ a fait part du besoin de renforcer la coopération économique entre les deux pays du fait que son pays est confronté à de sérieuses difficultés économiques liées au contexte politique. Traditionnellement qualifiées de « privilégiées », les relations algéro-tunisiennes, selon les observateurs, sont promises à une nouvelle dynamique à l'aune de la nouvelle ère de la Tunisie post-révolution. La visite officielle de deux jours du Chef du gouvernement tunisien, Mehdi Jomaa, en Algérie, à l'invitation du Premier ministre Abdelmalek Sellal, s'inscrit, d'ailleurs, dans ce sens. Au-delà des questions sécuritaires, des incidents meurtriers menés par des islamistes près de la frontière algérienne, dans le Mont Chaamba (Tunisie) avaient amené les deux pays ces derniers mois à renforcer leur collaboration sécuritaire avec des visites de part et d'autre à tous les niveaux, c'est la coopération économique qui est au cœur de cette visite. D'ailleurs en visitant, hier, la Société nationale des véhicules industriels (SNVI) de Rouiba (Alger) en compagnie des ministres du Développement industriel et de la Promotion de l'investissement et de l'Energie et des mines, respectivement, Amara Benyounes et Youcef Yousfi, le Chef du gouvernement tunisien, a affirmé que de « grandes » perspectives économiques s'offraient au partenariat entre l'Algérie et la Tunisie, appelant à créer une complémentarité économique entre les deux pays dans le secteur de l'industrie, notamment automobile. Mehdi Jomaa a précisé que la filière de l'industrie automobile figurait parmi celles où les deux pays pouvaient développer un partenariat, saluant « l'expérience industrielle » de l'Algérie dans ce domaine qui, a-t-il dit, est « complémentaire à la base industrielle tunisienne ». Il a, dans ce cadre, appelé à créer un tissu complémentaire entre les deux pays dans ce domaine, d'autant que l'Algérie a de grands projets dans l'industrie automobile, les véhicules lourds et les groupes électrogènes, évoquant les discussions qui ont lieu entre les deux parties -lors de sa visite en Algérie - pour renforcer les moyens de coopération «à l'avenir». Pour sa part, M. Benyounes a annoncé que la commission mixte algéro-tunisienne se réunirait prochainement, indiquant que les gouvernements des deux pays ont donné instruction pour examiner les moyens d'appuyer le partenariat industriel entre l'Algérie et la Tunisie. Samedi soir, l'hôte de l'Algérie a souligné dans une déclaration à la presse à son arrivée à l'aéroport d'Alger, que sa visite en Algérie qui intervient après son élection à la tête de l'exécutif de son pays, « traduit la solidité des relations historiques existant entre les deux pays frères ». Mehdi Jomaa a déclaré également que sa visite en Algérie confirme que la sécurité de la Tunisie est celle de l'Algérie et vice-versa. Il a indiqué que les deux pays ont entretenu un partenariat sécuritaire et économique de haut niveau, affichant ainsi sa volonté de renforcer encore les relations tuniso-algériennes lors de cette visite officielle. Pour le Chef du gouvernement tunisien, sa visite en Algérie qui intervient après son élection à la tête de l'exécutif de son pays, s'inscrit dans la perspective de voir les opportunités de coopération entre les deux pays s'élargir à tous les domaines, notamment économiques. Le printemps tunisien a bouclé son cycle Dans ce cadre, Mehdi Jomaâ a fait part du besoin de renforcer la coopération économique entre les deux pays du fait que son pays est confronté à de sérieuses difficultés économiques liées au contexte politique. Traditionnellement qualifiées de « privilégiées », les relations algéro-tunisiennes, selon les observateurs, sont promises à une nouvelle dynamique à l'aune de la nouvelle ère de la Tunisie post-révolution.