La wilaya d'Oum El-Bouaghi a bénéficié, ces trois dernières années la création de 241 projets d'investissement validés par le Calpiref. La wilaya d'Oum El-Bouaghi a bénéficié, ces trois dernières années la création de 241 projets d'investissement validés par le Calpiref. Cette annonce en a été faite, mercredi dernier, par le wali, Mohamed-Salah Manaâ. A terme, plus de 7.000 emplois seront générés par ces investissements à impact économique réel, devant être engagés dans divers secteurs d'activité dont les matériaux de construction, l'agriculture et les services, a précisé le wali au cours d'une réunion de l'exécutif élargie aux présidents d'APC. Selon l'APS, le chef de l'exécutif local a déclaré qu'une partie importante de ces projets est localisée dans la daïra d'Aïn M'lila et concerne les activités de production de pièces de rechange, de transformation de plastique, de production et de transformation de papier, de prêt-à-porter et d'agroalimentaire. Au chef-lieu de la wilaya et à Ain Beïda, le Calpiref a validé des projets d'investissement portant sur la création de biscuiteries, d'unités de lait et de ses dérivés, d'huileries, d'une conserverie de tomates et d'unités de transformation de marbre, a précisé l'APS. Le wali a fait état, dans le secteur agricole, de la concrétisation de nombre de projets ayant donné lieu à la création de 10 chambres froides, 7 fabriques d'aliment de bétail et 5 abattoirs avicoles. Relevant que le tissu industriel de la wilaya s'était comprimé d'une manière criante durant les années 90, M. Manaâ a souligné que le foncier de la plupart des zones industrielles et d'activités de la wilaya a été épuisé à 90% à l'exception des zones de Souk Naâmane et de Dhalaâ. Afin d'accompagner les investisseurs et lever toutes les entraves bureaucratiques, le Calpiref tient des réunions périodiques, ouvertes aux opérateurs porteurs de projets, aux chefs de daïra et aux présidents d'APC, a encore affirmé le wali exhortant les responsables des daïras et les élus locaux à "aplanir tous les écueils administratifs rencontrés par les investisseurs dans l'intérêt du développement local". Le wali d'Oum El-Bouaghi a également affirmé que les opérateurs disposent d'un délai de 6 mois pour lancer leurs projets, à compter de l'obtention de l'aval et des actes relatifs aux terrains d'implantation de leurs activités. Cette annonce en a été faite, mercredi dernier, par le wali, Mohamed-Salah Manaâ. A terme, plus de 7.000 emplois seront générés par ces investissements à impact économique réel, devant être engagés dans divers secteurs d'activité dont les matériaux de construction, l'agriculture et les services, a précisé le wali au cours d'une réunion de l'exécutif élargie aux présidents d'APC. Selon l'APS, le chef de l'exécutif local a déclaré qu'une partie importante de ces projets est localisée dans la daïra d'Aïn M'lila et concerne les activités de production de pièces de rechange, de transformation de plastique, de production et de transformation de papier, de prêt-à-porter et d'agroalimentaire. Au chef-lieu de la wilaya et à Ain Beïda, le Calpiref a validé des projets d'investissement portant sur la création de biscuiteries, d'unités de lait et de ses dérivés, d'huileries, d'une conserverie de tomates et d'unités de transformation de marbre, a précisé l'APS. Le wali a fait état, dans le secteur agricole, de la concrétisation de nombre de projets ayant donné lieu à la création de 10 chambres froides, 7 fabriques d'aliment de bétail et 5 abattoirs avicoles. Relevant que le tissu industriel de la wilaya s'était comprimé d'une manière criante durant les années 90, M. Manaâ a souligné que le foncier de la plupart des zones industrielles et d'activités de la wilaya a été épuisé à 90% à l'exception des zones de Souk Naâmane et de Dhalaâ. Afin d'accompagner les investisseurs et lever toutes les entraves bureaucratiques, le Calpiref tient des réunions périodiques, ouvertes aux opérateurs porteurs de projets, aux chefs de daïra et aux présidents d'APC, a encore affirmé le wali exhortant les responsables des daïras et les élus locaux à "aplanir tous les écueils administratifs rencontrés par les investisseurs dans l'intérêt du développement local". Le wali d'Oum El-Bouaghi a également affirmé que les opérateurs disposent d'un délai de 6 mois pour lancer leurs projets, à compter de l'obtention de l'aval et des actes relatifs aux terrains d'implantation de leurs activités.