Le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, prendra part mercredi à Niamey (Niger) à la 3e réunion ministérielle des pays membres du processus de Nouakchott, indique lundi le ministère dans un communiqué. Le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, prendra part mercredi à Niamey (Niger) à la 3e réunion ministérielle des pays membres du processus de Nouakchott, indique lundi le ministère dans un communiqué. "Ce processus de concertation et de coordination, sous la conduite de l'Union africaine (UA), a été lancé dans la capitale mauritanienne le 17 mars 2013", rappelle le communiqué qui précise qu'il inclut les pays de la région sahélo-saharienne, à savoir l'Algérie, le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire, la Guinée, la Libye, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Nigeria, le Sénégal et le Tchad. Le processus vise au "renforcement de la coopération régionale en matière de sécurité à travers, notamment, l'opérationnalisation de l'architeture africaine de paix et de sécurité dans la région sahélo-saharienne", ajoute-t-on de même source. Il comporte également des interactions avec les organisations régionales et sous-régionales, ainsi qu'avec les Nations unies et des partenaires internationaux, poursuit le communiqué qui indique que la réunion ministérielle sera précédée par une réunion des chefs des services de sécurité et renseignement des pays participants. "Ce processus de concertation et de coordination, sous la conduite de l'Union africaine (UA), a été lancé dans la capitale mauritanienne le 17 mars 2013", rappelle le communiqué qui précise qu'il inclut les pays de la région sahélo-saharienne, à savoir l'Algérie, le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire, la Guinée, la Libye, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Nigeria, le Sénégal et le Tchad. Le processus vise au "renforcement de la coopération régionale en matière de sécurité à travers, notamment, l'opérationnalisation de l'architeture africaine de paix et de sécurité dans la région sahélo-saharienne", ajoute-t-on de même source. Il comporte également des interactions avec les organisations régionales et sous-régionales, ainsi qu'avec les Nations unies et des partenaires internationaux, poursuit le communiqué qui indique que la réunion ministérielle sera précédée par une réunion des chefs des services de sécurité et renseignement des pays participants.