Le trafic ferroviaire reliant la capitale à l'est du pays a été paralysé, une nouvelle fois ce week-end, par des manifestants à Réghaia à l'est d'Alger. Les habitants du quartier haï Karouche, ont bloqué, avant-hier, le trafic ferroviaire en procédant à enlever des rails du chemin de fer à hauteur de leur localité pour réclamer l'annulation de projet portant réalisation d'un Centre d'Enfouissement Technique (CET). Le trafic ferroviaire reliant la capitale à l'est du pays a été paralysé, une nouvelle fois ce week-end, par des manifestants à Réghaia à l'est d'Alger. Les habitants du quartier haï Karouche, ont bloqué, avant-hier, le trafic ferroviaire en procédant à enlever des rails du chemin de fer à hauteur de leur localité pour réclamer l'annulation de projet portant réalisation d'un Centre d'Enfouissement Technique (CET). Cette décharge sera implantée sur une terre agricole et non loin des habitations de la cité précitée. C'est pour cela que les manifestants exigent le transfert de projet vers une zone inhabitable car selon, eux, ce genre d'installations, provoque des désagréments sur leur quotidien notamment d'hygiène et des nausées. Ils ont recouru à cette action, la deuxième durant la semaine écoulée, afin de réitérer leur opposition exprimée à la fin de l'année écoulée concernant la réalisation dudit centre dans la périphérie. Le trafic ferroviaire a été paralysé, en décembre dernier, durant une semaine où même des rails y avaient été enlevés par les protestataires qui dénonçaient alors le laxisme des responsables. «Ces derniers n'ont pas tenu leur promesse de transférer le projet ailleurs, nous diront certains d'entre eux, avant d'ajouter qu'ils veulent coûte que coûte nous empoisonner la vie ». Cette action de protestation, la deuxième du genre, a provoqué colère et indignation parmi les usagers de l'automotrice. Ils ont été bloqués dans plusieurs gares ferroviaires avant de rallier les gares routières pour prendre le bus. Hier, la voie ferrée a été libérée, mais tout laisse entendre qu'elle sera fermée encore une fois, car une source locale précise que la réalisation dudit projet est toujours maintenue par les autorités de wilaya. Par ailleurs plusieurs citoyens notamment des communes de Boumerdès et Corso se sont plaints des odeurs nauséabondes dégagées par le CET de Corso qui est entré en fonction récemment. Cette décharge sera implantée sur une terre agricole et non loin des habitations de la cité précitée. C'est pour cela que les manifestants exigent le transfert de projet vers une zone inhabitable car selon, eux, ce genre d'installations, provoque des désagréments sur leur quotidien notamment d'hygiène et des nausées. Ils ont recouru à cette action, la deuxième durant la semaine écoulée, afin de réitérer leur opposition exprimée à la fin de l'année écoulée concernant la réalisation dudit centre dans la périphérie. Le trafic ferroviaire a été paralysé, en décembre dernier, durant une semaine où même des rails y avaient été enlevés par les protestataires qui dénonçaient alors le laxisme des responsables. «Ces derniers n'ont pas tenu leur promesse de transférer le projet ailleurs, nous diront certains d'entre eux, avant d'ajouter qu'ils veulent coûte que coûte nous empoisonner la vie ». Cette action de protestation, la deuxième du genre, a provoqué colère et indignation parmi les usagers de l'automotrice. Ils ont été bloqués dans plusieurs gares ferroviaires avant de rallier les gares routières pour prendre le bus. Hier, la voie ferrée a été libérée, mais tout laisse entendre qu'elle sera fermée encore une fois, car une source locale précise que la réalisation dudit projet est toujours maintenue par les autorités de wilaya. Par ailleurs plusieurs citoyens notamment des communes de Boumerdès et Corso se sont plaints des odeurs nauséabondes dégagées par le CET de Corso qui est entré en fonction récemment.