Les démissionnaires du parti du Front des forces Socialistes (FFS) regroupés au sein d'une instance transitoire, appelée "Forum Socialiste pour la liberté et la démocratie" ont pris, ce vendredi, la résolution, de ne pas créer leur propre parti politique mais de se fondre dans une formation déjà existante. Les démissionnaires du parti du Front des forces Socialistes (FFS) regroupés au sein d'une instance transitoire, appelée "Forum Socialiste pour la liberté et la démocratie" ont pris, ce vendredi, la résolution, de ne pas créer leur propre parti politique mais de se fondre dans une formation déjà existante. "Nous n'allons pas ajouter un sigle de plus. Mais nous allons adhérer à un parti qui fera sienne la charte du forum", a souligné le député Khaled Tazaghart, animateur principal de ce forum à l'issue d'un meeting, tenu au théâtre régional de Béjaïa, n'excluant pas de conclure matériellement cette démarche dés la semaine prochaine. M. Tazaghart, qui conduit la fronde depuis janvier dernier, a révélé que des discussions sont en cours avec au moins trois formations politiques, notamment le PT de Louisa Hanoune, le MPA d'Amara Benyounès, et l'UDS, en gestation, de Karim Tabou, ex- premier secrétaire du FFS, estimant que l'adhésion se décidera en fonction des convergences sur des principes cardinaux tels contenus dans la charte du forum. Ce document, adopté lors d'une récente réunion tenue à Tazmalt, au-delà de l'unité et l'intégrité nationale, considérées au dessus de toute discussion, énumère 13 axes, parmi lesquels figurent la construction d'un état de droit garantissant la répartition équitable des richesses nationales, la séparation des pouvoirs et la promotion des droits de la personne humaine. La reconnaissance de tamazight comme langue nationale et officielle et l'officialisation de Yennayer font partie également de ce document, dont la philosophie, y souligne-t-on, "s'inspire de la déclaration de l'appel du 1er Novembre 1954, et des résolutions du Congrès de la Soummam". Dans son allocution Khaled Tazaghart, a estimé, que la page du militantisme au sein du FFS est désormais tourné et qu'une autre est ouverte pour l'écriture d'un engagement plus passionnant, réitérant en fait que "le divorce n'est pas fait avec le FFS ni avec ses idéaux mais avec sa nouvelle direction, totalement fourvoyée", a-t-il affirmé. Quelque 300 personnes ont pris part à cette réunion, qui a également regroupé, une dizaine d'anciens militants du FFS-1963, et de représentants de quelques partis politiques, notamment du PT et du RCD rapporte l'APS. Lors du dernier conseil de la fédération de Béjaïa, tenu en janvier dernier. Le premier secrétaire national du FFS, Ahmed Bettatache, avait estimé que "les démissions enregistrées sont non seulement réduites mais n'ont impacté en aucune manière l'état du parti". "Le parti se porte très bien", avait-il clamé. Pour Khaled Tazagahart, ce sont plus de 800 militants de la fédération de Béjaïa et Bouira dont des élus APC et APW, qui ont restitué leur carte. "Nous n'allons pas ajouter un sigle de plus. Mais nous allons adhérer à un parti qui fera sienne la charte du forum", a souligné le député Khaled Tazaghart, animateur principal de ce forum à l'issue d'un meeting, tenu au théâtre régional de Béjaïa, n'excluant pas de conclure matériellement cette démarche dés la semaine prochaine. M. Tazaghart, qui conduit la fronde depuis janvier dernier, a révélé que des discussions sont en cours avec au moins trois formations politiques, notamment le PT de Louisa Hanoune, le MPA d'Amara Benyounès, et l'UDS, en gestation, de Karim Tabou, ex- premier secrétaire du FFS, estimant que l'adhésion se décidera en fonction des convergences sur des principes cardinaux tels contenus dans la charte du forum. Ce document, adopté lors d'une récente réunion tenue à Tazmalt, au-delà de l'unité et l'intégrité nationale, considérées au dessus de toute discussion, énumère 13 axes, parmi lesquels figurent la construction d'un état de droit garantissant la répartition équitable des richesses nationales, la séparation des pouvoirs et la promotion des droits de la personne humaine. La reconnaissance de tamazight comme langue nationale et officielle et l'officialisation de Yennayer font partie également de ce document, dont la philosophie, y souligne-t-on, "s'inspire de la déclaration de l'appel du 1er Novembre 1954, et des résolutions du Congrès de la Soummam". Dans son allocution Khaled Tazaghart, a estimé, que la page du militantisme au sein du FFS est désormais tourné et qu'une autre est ouverte pour l'écriture d'un engagement plus passionnant, réitérant en fait que "le divorce n'est pas fait avec le FFS ni avec ses idéaux mais avec sa nouvelle direction, totalement fourvoyée", a-t-il affirmé. Quelque 300 personnes ont pris part à cette réunion, qui a également regroupé, une dizaine d'anciens militants du FFS-1963, et de représentants de quelques partis politiques, notamment du PT et du RCD rapporte l'APS. Lors du dernier conseil de la fédération de Béjaïa, tenu en janvier dernier. Le premier secrétaire national du FFS, Ahmed Bettatache, avait estimé que "les démissions enregistrées sont non seulement réduites mais n'ont impacté en aucune manière l'état du parti". "Le parti se porte très bien", avait-il clamé. Pour Khaled Tazagahart, ce sont plus de 800 militants de la fédération de Béjaïa et Bouira dont des élus APC et APW, qui ont restitué leur carte.