Le tribunal correctionnel de première instance de Sidi M'hamed à Alger a condamné, hier, l'ancien P.-dg d'Union Bank, Brahim Hadjas, à 5 ans de prison ferme assortis d'une amende d'un million de dinars pour dilapidation de deniers publics au préjudice de la Banque d'agriculture et de développement rural (BADR). L'inculpé est, également, condamné à verser à la BADR une indemnisation de dix millions DA . Le tribunal correctionnel de première instance de Sidi M'hamed à Alger a condamné, hier, l'ancien P.-dg d'Union Bank, Brahim Hadjas, à 5 ans de prison ferme assortis d'une amende d'un million de dinars pour dilapidation de deniers publics au préjudice de la Banque d'agriculture et de développement rural (BADR). L'inculpé est, également, condamné à verser à la BADR une indemnisation de dix millions DA . Au cours de la même audience, la juge, Nesrine Zouaoui, a prononcé "un non lieu" envers Brahim Hadjas dans deux affaires d'escroquerie et d'abus de confiance liées également à Union Bank. Une peine de 10 ans de prison ferme assortie d'une amende d'un million DA a été requise le 9 février dernier par le procureur de la République près le tribunal de Sidi M'hamed à l'encontre de Brahim Hadjas et une peine de 3 ans de prison ferme dans les deux affaires d'escroquerie et d'abus de confiance. Brahim Hadjas avait nié, lors du procès, le chef d'accusation retenu contre lui, précisant qu'il occupait alors le poste de président du conseil d'administration, étant actionnaire et que sa mission principale au sein de la banque était de prospecter les investisseurs à l'étranger. Une peine de 10 ans de prison ferme a été prononcée par le tribunal de Chéraga à l'encontre de Brahim Hadjas pour "atteinte à propriété immobilière et dilapidation de deniers publics." Au cours de la même audience, la juge, Nesrine Zouaoui, a prononcé "un non lieu" envers Brahim Hadjas dans deux affaires d'escroquerie et d'abus de confiance liées également à Union Bank. Une peine de 10 ans de prison ferme assortie d'une amende d'un million DA a été requise le 9 février dernier par le procureur de la République près le tribunal de Sidi M'hamed à l'encontre de Brahim Hadjas et une peine de 3 ans de prison ferme dans les deux affaires d'escroquerie et d'abus de confiance. Brahim Hadjas avait nié, lors du procès, le chef d'accusation retenu contre lui, précisant qu'il occupait alors le poste de président du conseil d'administration, étant actionnaire et que sa mission principale au sein de la banque était de prospecter les investisseurs à l'étranger. Une peine de 10 ans de prison ferme a été prononcée par le tribunal de Chéraga à l'encontre de Brahim Hadjas pour "atteinte à propriété immobilière et dilapidation de deniers publics."