La grogne des travailleurs de la direction de wilaya de Tizi Ouzou des transports ne semble pas vouloir s'estomper. La grogne des travailleurs de la direction de wilaya de Tizi Ouzou des transports ne semble pas vouloir s'estomper. C'est le moins qu'on puisse dire après le préavis de grève rendu public, hier, par la setion syndicale de la Direction des transports de la wilaya de Tizi-Ouzou, dépendant de l'union de wilaya de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA). Les concernés, via leur section syndicale, parlent d'entrave au libre exercice du droit syndical et de l'exclusion du membre de la commission paritaire du jury de proclamation des résultas définitifs des concours sur titre, organisé par la direction durant l'année 2013. Deux gouttes qui ont fait déborder le vase. Mais d'autres points viennent s'ajouter aux sources de ce mécontentement comme la non satisfaction de la plate forme de revendications déposée le 4 juillet 2013 et examinée le 20 octobre 2013. Les contestataires soulèvent le point inhérent à la prorogation du mandat de la commission paritaire « en violation de l'article 68 de l'ordonnance n°06-03 du 15 juillet 2006, portant statut général de la fonction publique ». Il est également question de « non-respect de l'accord conclu le 28/05/2013 relatif à la périodicité des réunions périodiques ». La section syndicale UGTA de la direction de wilaya de Tizi-Ouzou des travailleurs évoquent, en outre, la négligence du recrutement d'un inspecteur des transports et d'une femme de ménage (PGRH 2013) et parle d'une gestion « inique et unilatérale ». les concernés qualifient les méthodes de travail d'approximatives basées sur le verbalisme des instructions. De même qu'on déplore « la substitution des prérogatives du chef de service et du chef de bureau par un agent du pré-emploi ». Une autre raison de cette colère est liée à ce qui est qualifié de rétention de l'information par la non-notification de l'instruction n°186/PM du 18/06/2013 relative à la dynamisation du dialogue social et la non-notification de l'envoi n°07/SG/2014 du 08/01/2014 relatif au renouvellement de la commission de recours de wilaya invitant les membres titulaires représentants le personnel aux différentes commissions paritaires à déposer leur candidature aux élections de ladite commission avant le 30 janvier 2014. Sur un autre registre, la section syndicale invoque l'absence de respect de la voie hiérarchique et parle de présence de personnes étrangères au sein de la direction sans aucun statut. « L'assemblée générale décide de deux jours de grève. A cet effet, un préavis de grève de huit jours est déposé à compter du 03 mars 2014 conformément aux dispositions de la loi n°90-02 du 06/02/1990 relative à la prévention et au règlement des conflits collectifs de travail et à l'exercice du droit de grève, modifiée et complétée », souligne la section syndicale UGTA. Il y a lieu de rappeler enfin que le secteur des transports est en ébullition ces derniers mois dans la région, notamment avec les mouvements de grèves et les actions de protestations que ne cessent de mener les chauffeurs de taxis urbains, qui déplorent également de leur côté l'absence de dialogue avec la même direction de wilaya. C'est le moins qu'on puisse dire après le préavis de grève rendu public, hier, par la setion syndicale de la Direction des transports de la wilaya de Tizi-Ouzou, dépendant de l'union de wilaya de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA). Les concernés, via leur section syndicale, parlent d'entrave au libre exercice du droit syndical et de l'exclusion du membre de la commission paritaire du jury de proclamation des résultas définitifs des concours sur titre, organisé par la direction durant l'année 2013. Deux gouttes qui ont fait déborder le vase. Mais d'autres points viennent s'ajouter aux sources de ce mécontentement comme la non satisfaction de la plate forme de revendications déposée le 4 juillet 2013 et examinée le 20 octobre 2013. Les contestataires soulèvent le point inhérent à la prorogation du mandat de la commission paritaire « en violation de l'article 68 de l'ordonnance n°06-03 du 15 juillet 2006, portant statut général de la fonction publique ». Il est également question de « non-respect de l'accord conclu le 28/05/2013 relatif à la périodicité des réunions périodiques ». La section syndicale UGTA de la direction de wilaya de Tizi-Ouzou des travailleurs évoquent, en outre, la négligence du recrutement d'un inspecteur des transports et d'une femme de ménage (PGRH 2013) et parle d'une gestion « inique et unilatérale ». les concernés qualifient les méthodes de travail d'approximatives basées sur le verbalisme des instructions. De même qu'on déplore « la substitution des prérogatives du chef de service et du chef de bureau par un agent du pré-emploi ». Une autre raison de cette colère est liée à ce qui est qualifié de rétention de l'information par la non-notification de l'instruction n°186/PM du 18/06/2013 relative à la dynamisation du dialogue social et la non-notification de l'envoi n°07/SG/2014 du 08/01/2014 relatif au renouvellement de la commission de recours de wilaya invitant les membres titulaires représentants le personnel aux différentes commissions paritaires à déposer leur candidature aux élections de ladite commission avant le 30 janvier 2014. Sur un autre registre, la section syndicale invoque l'absence de respect de la voie hiérarchique et parle de présence de personnes étrangères au sein de la direction sans aucun statut. « L'assemblée générale décide de deux jours de grève. A cet effet, un préavis de grève de huit jours est déposé à compter du 03 mars 2014 conformément aux dispositions de la loi n°90-02 du 06/02/1990 relative à la prévention et au règlement des conflits collectifs de travail et à l'exercice du droit de grève, modifiée et complétée », souligne la section syndicale UGTA. Il y a lieu de rappeler enfin que le secteur des transports est en ébullition ces derniers mois dans la région, notamment avec les mouvements de grèves et les actions de protestations que ne cessent de mener les chauffeurs de taxis urbains, qui déplorent également de leur côté l'absence de dialogue avec la même direction de wilaya.