Surprenante est la liste des candidats à la candidature arrêtée définitivement pour l'élection présidentielle du 17 avril prochain. Des surprises. D'illustres inconnus sont dans le lot. Surprenante est la liste des candidats à la candidature arrêtée définitivement pour l'élection présidentielle du 17 avril prochain. Des surprises. D'illustres inconnus sont dans le lot. Ils sont finalement 12 candidats à la candidature à l‘élection présidentielle du 17 avril prochain à avoir déposé leurs dossiers de postulant au Conseil constitutionnel avant l‘heure fatidique à minuit dans la nuit du mardi à mercredi. Pour invraisemblable que cela puisse paraître, l‘heure de clôture de dépôt de dossier a été repoussée d‘une heure pour permettre à un retardataire en l‘occurrence l‘émigré Rachid Nekkaz d‘apporter les signatures exigées par la loi électorale et enregistrer sa candidature. Problème pour notre compatriote de l‘autre rive de la Méditerranée. Rachid Nekkaz n‘avait pas les signatures avec lui. Son frère accompagné d‘un chauffeur devaient les lui apporter, en voiture, au Conseil constitutionnel. Point de voiture, point de signatures, après une heure d‘attente supplémentaire accordée par l‘auguste Conseil présidé par Mourad Medelci. Rachid Nekkaz s‘est rendu à l‘évidence. Il ne sera pas sur la liste des candidats à la candidature. Aussi invraisemblable est l‘exploit réussi par d‘illustres inconnus. Dans les dernières secondes, Mahfoud Adou (Ennasr El-watani), Sadek Temache et Abdelhakim Hamadi (indépendants), ont composté leurs billets leur donnant droit, si le Conseil constitutionnel valide leurs dossiers, à l‘élection présidentielle d‘avril prochain. Le président du parti Ennasr El watani, Mahfoud Adoul, inconnu au bataillon, sans ancrage populaire ni base militante active, a révélé que «la phase de collecte des signatures a été difficile». Une opération qui a néanmoins réussi et ce «malgré de nombreuses entraves au niveau des communes» a révélé Mahfoud Adoul qui affirme avoir pu collecter plus de 65.000 signatures qui lui permettent de participer à la présidentielle. Le parti Ennasr est né à la faveur de la vague des formations politiques agréées par l‘ex-ministre de l‘Intérieur et des Collectivité locales, l‘année dernière. Il a tenu son congrès constitutif le 25 janvier 2013 à Zeralda. Le président est à créditer d‘un véritable prouesse pour avoir collecté le parrainage d‘élus ou de citoyens et ce, dans 25 wilayas du pays, chose que des personnalités autrement plus présentes sur la scène nationale se sont révélées incapables de relever le défi. La manière dont se serait pris Mahfoud Adoul pour parvenir à cette fin relève du mystère. Il est vrai que le président d‘Ennasr a été très discret durant toute l‘opération de collecte de signatures. Ni permanence du parti, ni sorties médiatiques dans quelque support que ce soit ! Rien ! Autant dire que le candidat à la candidature a bénéficié des faveurs du ciel. Idem pour les Sadek Temache et Abdelkrim Hamadi qui ont dû, eux aussi, bénéficier des mêmes faveurs. Inconnus au bataillon et sans siège de parti, sans moyens humains et matériels, ils ont tiré leur épingle du jeu. Une victoire qui mériterait d‘être inscrite dans les annales de l‘élection présidentielle, cuvée 2014. Inédite est cette échéance majeure dans la vie du pays pour son suspense qui a tenu en haleine l‘opinion publique et par ses ... surprises de dernière minute. En tout état de cause, les douze postulants ont reçu un accusé de réception de leur dossier du Conseil. Il doit statuer sur la validité de leurs candidatures à l‘élection présidentielle par décision, dans un délai de 10 jours francs, selon la loi électorale. Le Conseil constitutionnel rendra publique la liste des candidats définitivement retenus selon l‘ordre alphabétique de leurs noms en langue arabe. Les douze (12) candidats à la candidature sont dans l‘ordre de dépôt de dossier au Conseil constitutionnel, Moussa Touati, (Front national algérien), Abdelaziz Belaïd, (Front El-Moustakbel), Ali Zaghdoud, (Rassemblement algérien), Louisa Hanoune, (Parti des travailleurs), le président sortant Abdelaziz Bouteflika, l‘ancien chef du gouvernement Ali Benflis, Mahfoud Adou (Ennasr El-watani), l‘ancien ministre Ali Benouari, Ali Fawzi Rebaïne (Ahd 54), Mohamed Benhamou (parti Karama), Sadek Temache et Abdelhakim Hamadi (indépendants). Ils sont finalement 12 candidats à la candidature à l‘élection présidentielle du 17 avril prochain à avoir déposé leurs dossiers de postulant au Conseil constitutionnel avant l‘heure fatidique à minuit dans la nuit du mardi à mercredi. Pour invraisemblable que cela puisse paraître, l‘heure de clôture de dépôt de dossier a été repoussée d‘une heure pour permettre à un retardataire en l‘occurrence l‘émigré Rachid Nekkaz d‘apporter les signatures exigées par la loi électorale et enregistrer sa candidature. Problème pour notre compatriote de l‘autre rive de la Méditerranée. Rachid Nekkaz n‘avait pas les signatures avec lui. Son frère accompagné d‘un chauffeur devaient les lui apporter, en voiture, au Conseil constitutionnel. Point de voiture, point de signatures, après une heure d‘attente supplémentaire accordée par l‘auguste Conseil présidé par Mourad Medelci. Rachid Nekkaz s‘est rendu à l‘évidence. Il ne sera pas sur la liste des candidats à la candidature. Aussi invraisemblable est l‘exploit réussi par d‘illustres inconnus. Dans les dernières secondes, Mahfoud Adou (Ennasr El-watani), Sadek Temache et Abdelhakim Hamadi (indépendants), ont composté leurs billets leur donnant droit, si le Conseil constitutionnel valide leurs dossiers, à l‘élection présidentielle d‘avril prochain. Le président du parti Ennasr El watani, Mahfoud Adoul, inconnu au bataillon, sans ancrage populaire ni base militante active, a révélé que «la phase de collecte des signatures a été difficile». Une opération qui a néanmoins réussi et ce «malgré de nombreuses entraves au niveau des communes» a révélé Mahfoud Adoul qui affirme avoir pu collecter plus de 65.000 signatures qui lui permettent de participer à la présidentielle. Le parti Ennasr est né à la faveur de la vague des formations politiques agréées par l‘ex-ministre de l‘Intérieur et des Collectivité locales, l‘année dernière. Il a tenu son congrès constitutif le 25 janvier 2013 à Zeralda. Le président est à créditer d‘un véritable prouesse pour avoir collecté le parrainage d‘élus ou de citoyens et ce, dans 25 wilayas du pays, chose que des personnalités autrement plus présentes sur la scène nationale se sont révélées incapables de relever le défi. La manière dont se serait pris Mahfoud Adoul pour parvenir à cette fin relève du mystère. Il est vrai que le président d‘Ennasr a été très discret durant toute l‘opération de collecte de signatures. Ni permanence du parti, ni sorties médiatiques dans quelque support que ce soit ! Rien ! Autant dire que le candidat à la candidature a bénéficié des faveurs du ciel. Idem pour les Sadek Temache et Abdelkrim Hamadi qui ont dû, eux aussi, bénéficier des mêmes faveurs. Inconnus au bataillon et sans siège de parti, sans moyens humains et matériels, ils ont tiré leur épingle du jeu. Une victoire qui mériterait d‘être inscrite dans les annales de l‘élection présidentielle, cuvée 2014. Inédite est cette échéance majeure dans la vie du pays pour son suspense qui a tenu en haleine l‘opinion publique et par ses ... surprises de dernière minute. En tout état de cause, les douze postulants ont reçu un accusé de réception de leur dossier du Conseil. Il doit statuer sur la validité de leurs candidatures à l‘élection présidentielle par décision, dans un délai de 10 jours francs, selon la loi électorale. Le Conseil constitutionnel rendra publique la liste des candidats définitivement retenus selon l‘ordre alphabétique de leurs noms en langue arabe. Les douze (12) candidats à la candidature sont dans l‘ordre de dépôt de dossier au Conseil constitutionnel, Moussa Touati, (Front national algérien), Abdelaziz Belaïd, (Front El-Moustakbel), Ali Zaghdoud, (Rassemblement algérien), Louisa Hanoune, (Parti des travailleurs), le président sortant Abdelaziz Bouteflika, l‘ancien chef du gouvernement Ali Benflis, Mahfoud Adou (Ennasr El-watani), l‘ancien ministre Ali Benouari, Ali Fawzi Rebaïne (Ahd 54), Mohamed Benhamou (parti Karama), Sadek Temache et Abdelhakim Hamadi (indépendants).