La cinémathèque Djamel-Chanderli de Tlemcen qui abrite, depuis lundi dernier, des journées cinématographiques et dont le coup d'envoi, a été donné en présence d'un public nombreux, et de figures emblématiques du 7e art national comme Said Hilmi. La cinémathèque Djamel-Chanderli de Tlemcen qui abrite, depuis lundi dernier, des journées cinématographiques et dont le coup d'envoi, a été donné en présence d'un public nombreux, et de figures emblématiques du 7e art national comme Said Hilmi. L'ouverture de cette manifestation culturelle, a permis au directeur de la culture, Hakim Miloud de mettre l'accent sur l'importance du cinéma en tant qu'art et la nécessité de le relancer à l'échelle locale et nationale. Ces journées visent, entre autres, à redynamiser le 7ème art et créer un ou plusieurs ciné-clubs qui seront à même d'activer au sein de la salle de cinéma Djamel-Chanderli complètement rénovée depuis 2011. Ayant pour thème principal "Regards croisés sur l'immigration, le déracinement et l'exil", la première soirée de cette manifestation a été marquée par la projection de deux films, "Demain, Alger ", d'Amine Sidi Boumediène, et Harraga Blues de Moussa Haddad. Ces journées cinématographiques qui poursuivront jusqu'au 6 mars vont permettre la projection de six films et l'organisation des ateliers de formation pour le jeune public au niveau de la maison de la culture Abdelkader-Alloula. Parmi ces cinéastes et critiques, on citera, entre autres, Benamar Bakhti, Chafik Allal, Amina Haddad et Yacine Djebbar, qui devront animer les débats sur les films proposés à cette manifestation cinématographique de quatre jours abordant le thème de l'exil et l'émigration dans le cinéma, a indiqué la même source. Selon le programme de ces journées organisées par la direction de la culture, plusieurs œuvres cinématographiques seront projetées, dont le court-métrage Demain, Alger d'Amine Sidi Boumediene et les longs-métrages Harraga Blues de Moussa Haddad, Le retour de Benamar Bakhti et Le bateau ivre de Chafik Allal et Claudio Capanna (produit en 2012 en Belgique). En plus de la projection de films et des séances de débats, sont prévus des ateliers sur le cinéma et la projection de documentaires. L'ouverture de cette manifestation culturelle, a permis au directeur de la culture, Hakim Miloud de mettre l'accent sur l'importance du cinéma en tant qu'art et la nécessité de le relancer à l'échelle locale et nationale. Ces journées visent, entre autres, à redynamiser le 7ème art et créer un ou plusieurs ciné-clubs qui seront à même d'activer au sein de la salle de cinéma Djamel-Chanderli complètement rénovée depuis 2011. Ayant pour thème principal "Regards croisés sur l'immigration, le déracinement et l'exil", la première soirée de cette manifestation a été marquée par la projection de deux films, "Demain, Alger ", d'Amine Sidi Boumediène, et Harraga Blues de Moussa Haddad. Ces journées cinématographiques qui poursuivront jusqu'au 6 mars vont permettre la projection de six films et l'organisation des ateliers de formation pour le jeune public au niveau de la maison de la culture Abdelkader-Alloula. Parmi ces cinéastes et critiques, on citera, entre autres, Benamar Bakhti, Chafik Allal, Amina Haddad et Yacine Djebbar, qui devront animer les débats sur les films proposés à cette manifestation cinématographique de quatre jours abordant le thème de l'exil et l'émigration dans le cinéma, a indiqué la même source. Selon le programme de ces journées organisées par la direction de la culture, plusieurs œuvres cinématographiques seront projetées, dont le court-métrage Demain, Alger d'Amine Sidi Boumediene et les longs-métrages Harraga Blues de Moussa Haddad, Le retour de Benamar Bakhti et Le bateau ivre de Chafik Allal et Claudio Capanna (produit en 2012 en Belgique). En plus de la projection de films et des séances de débats, sont prévus des ateliers sur le cinéma et la projection de documentaires.