Le rideau est tombé, samedi dernier dans la soirée, sur la 3e édition du Festival national de la création théâtrale féminine. La cérémonie de clôture a été marquée par la remise des prix aux lauréats. Ainsi, la pièce El Icha el akhir (Le dernier dîner), du Théâtre national algérien (TNA) a décroché, le prix de la meilleure œuvre théâtrale. Le rideau est tombé, samedi dernier dans la soirée, sur la 3e édition du Festival national de la création théâtrale féminine. La cérémonie de clôture a été marquée par la remise des prix aux lauréats. Ainsi, la pièce El Icha el akhir (Le dernier dîner), du Théâtre national algérien (TNA) a décroché, le prix de la meilleure œuvre théâtrale. La pièce, adaptée par Haïder Benhassine à partir d'un texte de Hassen Errachid, et mise en scène par Amel Menghad, réunit deux comédiens sur scène, Warda Saïm et Wael Bouzida. Il s'agit d'une confrontation entre un ancien officier sanguinaire et sa femme qui ne veut plus se taire et qui entend se libérer des pratiques de son époux. Le jeu des acteurs et la mise en scène d'Amel Menghad ont semblé avoir charmé le jury autant, qu'ils ont "transporté" les spectateurs, nombreux à suivre ce festival organisé au théâtre régional Azzedine-Medjoubi d'Annaba. Le prix du jury est revenu à la comédienne Aïda Kechoud "en reconnaissance de ses efforts pour promouvoir le mouvement théâtral en Algérie". Warda Saïm, pour son rôle dans "El Icha el akhir" s'est vue décerner le prix de la meilleure interprétation féminine, tandis que le comédien Mohamed-Tahar Zaoui, du Théâtre régional de Batna a été récompensé du prix du meilleur acteur masculin pour son rôle dans la pièce "L'otage". Le prix de la meilleure scénographie a été attribué au Théâtre régional d'Annaba pour la pièce "Les mimosas d'Algérie", tandis que le prix du meilleur texte est revenu à Haïder Benhassine ("El Icha el akhir") et celui de la partition musicale à Houari Mesri ("Aourak hayati", de la coopérative théâtrale d'Oran). La jeune comédienne Faten Bounamous a été auréolée du prix du meilleur espoir féminin ("Les mimosas d'Algérie"), en même temps que le jeune Rafik Cheima qui a reçu celui du meilleur espoir masculin ("Le retour de Shakespeare", de la coopérative du printemps culturel de Batna). Neuf (9) pièces étaient en lice lors de ce festival dédié à la comédienne disparue Yasmina qui reçu, à l'ouverture de la manifestation, dimanche dernier, un émouvant hommage posthume. La pièce, adaptée par Haïder Benhassine à partir d'un texte de Hassen Errachid, et mise en scène par Amel Menghad, réunit deux comédiens sur scène, Warda Saïm et Wael Bouzida. Il s'agit d'une confrontation entre un ancien officier sanguinaire et sa femme qui ne veut plus se taire et qui entend se libérer des pratiques de son époux. Le jeu des acteurs et la mise en scène d'Amel Menghad ont semblé avoir charmé le jury autant, qu'ils ont "transporté" les spectateurs, nombreux à suivre ce festival organisé au théâtre régional Azzedine-Medjoubi d'Annaba. Le prix du jury est revenu à la comédienne Aïda Kechoud "en reconnaissance de ses efforts pour promouvoir le mouvement théâtral en Algérie". Warda Saïm, pour son rôle dans "El Icha el akhir" s'est vue décerner le prix de la meilleure interprétation féminine, tandis que le comédien Mohamed-Tahar Zaoui, du Théâtre régional de Batna a été récompensé du prix du meilleur acteur masculin pour son rôle dans la pièce "L'otage". Le prix de la meilleure scénographie a été attribué au Théâtre régional d'Annaba pour la pièce "Les mimosas d'Algérie", tandis que le prix du meilleur texte est revenu à Haïder Benhassine ("El Icha el akhir") et celui de la partition musicale à Houari Mesri ("Aourak hayati", de la coopérative théâtrale d'Oran). La jeune comédienne Faten Bounamous a été auréolée du prix du meilleur espoir féminin ("Les mimosas d'Algérie"), en même temps que le jeune Rafik Cheima qui a reçu celui du meilleur espoir masculin ("Le retour de Shakespeare", de la coopérative du printemps culturel de Batna). Neuf (9) pièces étaient en lice lors de ce festival dédié à la comédienne disparue Yasmina qui reçu, à l'ouverture de la manifestation, dimanche dernier, un émouvant hommage posthume.