Les participants au 3e colloque international sur Okba Bnou Nafaa El-Fihri, clôturé lundi dernier dans la soirée à Sidi Okba (Biskra), ont appelé unanimement à "jeter les passerelles d'une coopération culturelle entre l'Algérie et le reste de l'Afrique". Les participants au 3e colloque international sur Okba Bnou Nafaa El-Fihri, clôturé lundi dernier dans la soirée à Sidi Okba (Biskra), ont appelé unanimement à "jeter les passerelles d'une coopération culturelle entre l'Algérie et le reste de l'Afrique". Cet appel était assorti de recommandations suggérant, notamment, la création d'un Institut des études africaines à Alger et l'édition d'une revue spécialisée dans les études africaines. Les participants au colloque ont également insisté sur l'importance d'élever l'Institut de formation des imams de Sidi Okba au rang d'institut des études islamiques et des langues, ouvert sur une dimension africaine. Il a aussi été mis l'accent sur la nécessité d'enseigner et de diffuser la culture de la paix et de la tolérance dans le Sahel africain, en dénonçant la violence religieuse et ethnique dans la région. Les intervenants préconisent également dans leurs recommandations l'institution d'un prix national annuel, à décerner aux meilleurs travaux sur Okba Bnou Naffa El-Fihri et les Foutouhate, ainsi qu'un prix récompensant les meilleurs travaux présentés au colloque. Les chercheurs présents au colloque de Sidi Okba ont demandé que la prochaine édition de la rencontre soit consacrée aux "savants algériens dans le monde arabe et en Afrique". La 3e édition du Colloque international sur Okba Bnou Nafaa El Fihri, ouvert samedi dernier par le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Boubdallah Ghlamallah, a été consacrée aux "pôles de rayonnement scientifique d'Algérie et d'Afrique". Cet appel était assorti de recommandations suggérant, notamment, la création d'un Institut des études africaines à Alger et l'édition d'une revue spécialisée dans les études africaines. Les participants au colloque ont également insisté sur l'importance d'élever l'Institut de formation des imams de Sidi Okba au rang d'institut des études islamiques et des langues, ouvert sur une dimension africaine. Il a aussi été mis l'accent sur la nécessité d'enseigner et de diffuser la culture de la paix et de la tolérance dans le Sahel africain, en dénonçant la violence religieuse et ethnique dans la région. Les intervenants préconisent également dans leurs recommandations l'institution d'un prix national annuel, à décerner aux meilleurs travaux sur Okba Bnou Naffa El-Fihri et les Foutouhate, ainsi qu'un prix récompensant les meilleurs travaux présentés au colloque. Les chercheurs présents au colloque de Sidi Okba ont demandé que la prochaine édition de la rencontre soit consacrée aux "savants algériens dans le monde arabe et en Afrique". La 3e édition du Colloque international sur Okba Bnou Nafaa El Fihri, ouvert samedi dernier par le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Boubdallah Ghlamallah, a été consacrée aux "pôles de rayonnement scientifique d'Algérie et d'Afrique".