À dix jours du premier tour des élections municipales, la candidate de l'UMP à Paris, Nathalie Kosciusko-Morizet, est toujours dans la course. Selon un sondage IFOP publié mercredi 12 mars, Anne Hidalgo, la candidate socialiste, arriverait en tête au premier tour avec 38% des voix. "Anne Hidalgo a incontestablement remporté la bataille de la crédibilité et de l'authenticité pour diriger Paris", juge d'ailleurs Bertrand Delanoë, le maire sortant. Mais NKM la talonne de seulement 2,5 points, à 35,5%. Le duel s'annonce plus serré que celui des dernières municipales. À dix jours du premier tour des élections municipales, la candidate de l'UMP à Paris, Nathalie Kosciusko-Morizet, est toujours dans la course. Selon un sondage IFOP publié mercredi 12 mars, Anne Hidalgo, la candidate socialiste, arriverait en tête au premier tour avec 38% des voix. "Anne Hidalgo a incontestablement remporté la bataille de la crédibilité et de l'authenticité pour diriger Paris", juge d'ailleurs Bertrand Delanoë, le maire sortant. Mais NKM la talonne de seulement 2,5 points, à 35,5%. Le duel s'annonce plus serré que celui des dernières municipales. En 2008, lors de la bataille qui opposait Bertrand Delanoë, maire sortant, à l'UMP Françoise de Panafieu, les sondeurs accordaient une avance bien plus considérable au candidat socialiste, dans une élection où l'UMP n'a finalement perdu aucun de "ses" arrondissements. Dans une étude Ipsos publiée le 3 mars 2008, à moins de deux semaines du premier tour, le maire de Paris était crédité de 41% des intentions de vote au premier tour, contre 33% à l'ancienne ministre, soit un écart de 8 points, plus de trois fois supérieur à l'écart annoncé entre Anne Hidalgo et Nathalie Kosciusko-Morizet. Bertrand Delanoë devait également écraser Françoise de Panafieu selon un sondage Sofres réalisé les 8 et 9 février. L'enquête donnait 15 points d'écart en faveur du maire dès le premier tour. Au soir du second tour, Bertrand Delanoë est largement élu avec 57% des voix. Les listes du centre et de la droite sont à 39,48%. En 2008, lors de la bataille qui opposait Bertrand Delanoë, maire sortant, à l'UMP Françoise de Panafieu, les sondeurs accordaient une avance bien plus considérable au candidat socialiste, dans une élection où l'UMP n'a finalement perdu aucun de "ses" arrondissements. Dans une étude Ipsos publiée le 3 mars 2008, à moins de deux semaines du premier tour, le maire de Paris était crédité de 41% des intentions de vote au premier tour, contre 33% à l'ancienne ministre, soit un écart de 8 points, plus de trois fois supérieur à l'écart annoncé entre Anne Hidalgo et Nathalie Kosciusko-Morizet. Bertrand Delanoë devait également écraser Françoise de Panafieu selon un sondage Sofres réalisé les 8 et 9 février. L'enquête donnait 15 points d'écart en faveur du maire dès le premier tour. Au soir du second tour, Bertrand Delanoë est largement élu avec 57% des voix. Les listes du centre et de la droite sont à 39,48%.