La réussite de toute politique ou action de réforme du service public demeure tributaire de l'implication "pleine et entière" de l'administration publique, a souligné, hier, à Alger le ministre auprès du Premier ministre chargé de la Réforme du service public, Mohamed El-Ghazi. La réussite de toute politique ou action de réforme du service public demeure tributaire de l'implication "pleine et entière" de l'administration publique, a souligné, hier, à Alger le ministre auprès du Premier ministre chargé de la Réforme du service public, Mohamed El-Ghazi. "Il est évident qu'au regard des objectifs et de la finalité de la réforme du service public, la réussite de toute politique ou action de cette réforme reste tributaire de l'implication pleine et entière de l'administration publique, en l'occurrence la Fonction publique, et à travers elle sa ressource humaine qui demeure l'élément déterminant dans la mise en œuvre de la réforme et dans la concrétisation de ses objectifs", a indiqué le ministre à l'ouverture d'une rencontre avec les chefs d'inspection de la Fonction publique. Il a relevé que la Fonction publique "qui occupe une place particulière dans la vie du pays, constitue l'élément privilégié par lequel l'Etat est appelé à exprimer son rôle de service public et puissance publique". D'autre part, et au regard de ses effectifs qui sont près de deux millions d'agents, la Fonction publique constitue, selon M. El-Ghazi, "le plus grand employeur et contribue, de façon prépondérante, à l'occupation de la population active". C'est pourquoi, a-t-il dit, "une attention particulière doit être accordée à la gestion de la ressource humaine de la Fonction publique et à son évolution tant au plan qualitatif que quantitatif", tout en précisant que la gestion des ressources humaines dans les administrations "doit évoluer en accompagnement de ce mouvement". Pour le ministre en charge du secteur, la gestion des ressources humaines "ne peut rester à l'écart du processus de réforme engagé et de la recherche de la performance". Cela implique, a-t-il expliqué, "le besoin de valoriser les qualifications et les compétences au sein de l'administration publique, ainsi qu'un meilleur ajustement des compétences et des qualifications aux emplois nécessaires eu fonctionnement des services publics et de l'administration". A cet égard, le ministre a appelé les inspections de la Fonction publique au niveau des différentes wilayas à jouer un "rôle majeur et déterminant dans la modernisation des méthodes et des instruments de gestion des ressources humaines et contribuer pleinement à la réussite de la réforme du service public et au développement du pays". D'autre part, le recentrage des missions des services de la Direction générale de la Fonction publique sur les attributions de réglementation, de régulation, d'assistance, d'orientation, d'évaluation et d'audit de la gestion des effectifs de l'administration publique "doit se traduire par une amélioration qualitative des moyens et des procédures d'intervention de ces services", a encore insisté le ministre. Il a fait savoir que cette nouvelle approche "implique une plus grande mobilisation des services de la Fonction publique et une participation plus active au processus de réforme du service public, à travers leur contribution pleine et entière à la conception et la mise en œuvre des politiques de rationalisation, de régulation et de valorisation des ressources humaines de l'administration publique". Ces actions devront trouver leur traduction dans le cadre du parachèvement du dispositif réglementaire relatif à la mise en œuvre des dispositions du statut général de la Fonction publique, par l'élaboration des textes d'application de ce statut et qui sont actuellement en cours de finalisation, a-t-il souligné. Revenant sur la rencontre avec les chefs d'inspections de la Fonction publique, le ministre a insisté sur la nécessité de "redoubler d'efforts pour relever le défi de la réforme du service public et de l'administration dont la réussite assure le renforcement de la confiance du citoyen en l'Etat, la restauration de son autorité et de sa crédibilité, garants du développement de notre pays et de sa croissance". "Il est évident qu'au regard des objectifs et de la finalité de la réforme du service public, la réussite de toute politique ou action de cette réforme reste tributaire de l'implication pleine et entière de l'administration publique, en l'occurrence la Fonction publique, et à travers elle sa ressource humaine qui demeure l'élément déterminant dans la mise en œuvre de la réforme et dans la concrétisation de ses objectifs", a indiqué le ministre à l'ouverture d'une rencontre avec les chefs d'inspection de la Fonction publique. Il a relevé que la Fonction publique "qui occupe une place particulière dans la vie du pays, constitue l'élément privilégié par lequel l'Etat est appelé à exprimer son rôle de service public et puissance publique". D'autre part, et au regard de ses effectifs qui sont près de deux millions d'agents, la Fonction publique constitue, selon M. El-Ghazi, "le plus grand employeur et contribue, de façon prépondérante, à l'occupation de la population active". C'est pourquoi, a-t-il dit, "une attention particulière doit être accordée à la gestion de la ressource humaine de la Fonction publique et à son évolution tant au plan qualitatif que quantitatif", tout en précisant que la gestion des ressources humaines dans les administrations "doit évoluer en accompagnement de ce mouvement". Pour le ministre en charge du secteur, la gestion des ressources humaines "ne peut rester à l'écart du processus de réforme engagé et de la recherche de la performance". Cela implique, a-t-il expliqué, "le besoin de valoriser les qualifications et les compétences au sein de l'administration publique, ainsi qu'un meilleur ajustement des compétences et des qualifications aux emplois nécessaires eu fonctionnement des services publics et de l'administration". A cet égard, le ministre a appelé les inspections de la Fonction publique au niveau des différentes wilayas à jouer un "rôle majeur et déterminant dans la modernisation des méthodes et des instruments de gestion des ressources humaines et contribuer pleinement à la réussite de la réforme du service public et au développement du pays". D'autre part, le recentrage des missions des services de la Direction générale de la Fonction publique sur les attributions de réglementation, de régulation, d'assistance, d'orientation, d'évaluation et d'audit de la gestion des effectifs de l'administration publique "doit se traduire par une amélioration qualitative des moyens et des procédures d'intervention de ces services", a encore insisté le ministre. Il a fait savoir que cette nouvelle approche "implique une plus grande mobilisation des services de la Fonction publique et une participation plus active au processus de réforme du service public, à travers leur contribution pleine et entière à la conception et la mise en œuvre des politiques de rationalisation, de régulation et de valorisation des ressources humaines de l'administration publique". Ces actions devront trouver leur traduction dans le cadre du parachèvement du dispositif réglementaire relatif à la mise en œuvre des dispositions du statut général de la Fonction publique, par l'élaboration des textes d'application de ce statut et qui sont actuellement en cours de finalisation, a-t-il souligné. Revenant sur la rencontre avec les chefs d'inspections de la Fonction publique, le ministre a insisté sur la nécessité de "redoubler d'efforts pour relever le défi de la réforme du service public et de l'administration dont la réussite assure le renforcement de la confiance du citoyen en l'Etat, la restauration de son autorité et de sa crédibilité, garants du développement de notre pays et de sa croissance".