Le ministre de la Communication, Abdelkader Messahel a appelé mardi les médias publics à sensibiliser le citoyen à l'importance de participer à l'élection présidentielle du 17 avril prochain estimant qu'il s'agit d'un "devoir national important". Le ministre de la Communication, Abdelkader Messahel a appelé mardi les médias publics à sensibiliser le citoyen à l'importance de participer à l'élection présidentielle du 17 avril prochain estimant qu'il s'agit d'un "devoir national important". Invité de l'émission "Akhbar Edahira" (journal de l'après-midi) diffusée par la TV algérienne, M. Messahel a fait savoir que les médias publics notamment la Radio et la Télévision sont appelés à "sensibiliser le citoyen à l'importance de participer à l'élection, un devoir national à travers lequel le citoyen algérien exprime son avis et choisit le candidat qu'il juge digne de confiance" pour la présidence de la République. Les radios locales sont également concernées par la sensibilisation du citoyen à l'impératif d'accomplir son devoir électoral, a-t-il souligné. L'échéance du 17 avril sera une "date importante" pour l'Algérie, a-t-il fait remarquer exhortant l'ensemble des citoyens à être "optimistes et à accorder un intérêt particulier au devoir électoral en se rendant en force aux urnes afin de prouver au monde que l'Algérie est un Etat moderne et jouit réellement de la stabilité" rapporte l'APS. Il a, par ailleurs, invité tous les candidats à "respecter les règles du jeu", soulignant l'existence de mécanismes pour trancher d'éventuels dépassements par certains établissements médiatiques publics ou privés à l'encontre d'un candidat. Il s'agit de la Commission nationale de surveillance de l'élection présidentielle et de la Commission nationale de supervision de l'élection présidentielle. Le ministre a rappelé, dans ce contexte, que tous les moyens techniques et humains au niveau des médias publics notamment la Radio et la Télévision sont "prêts" pour assurer la couverture médiatique de cet évènement dans les trois langues (arabe, français et tamazight). Dans un souci de garantir le bon déroulement de la couverture médiatique, un "nouveau matériel" sera utilisé pour la première fois, a fait savoir M. Messahel affirmant que plus de 1.000 journalistes et techniciens de la Télévision ont été mobilisés pour couvrir la campagne électorale des candidats. La même mobilisation a eu lieu au niveau de la Radio nationale. Concernant la liberté d'expression, M. Messahel a cité parmi "les missions" de la commission nationale de surveillance de l'élection présidentielle, la répartition des plages horaires consacrées aux interventions des candidats et leurs représentants à la télévision et à la radio nationales. Au sujet de la couverture de la campagne électorale à l'extérieur du pays, eu égard à la "forte concentration" de la communauté algérienne en France, aux Etats Unis et dans certains pays arabes, M. Messahel a indiqué qu'elle sera assurée par "les médias publics et en une période bien déterminée, afin que les candidats et leurs représentants puissent s'exprimer". Quant aux demandes d'accréditation de journalistes étrangers formulées par les médias étrangers, le ministre a souligné que "des contacts sont en cours entre les ministères de la Communication et des Affaires étrangères, en prévision de la remise des accréditations dans les tout prochains jours pour leur permettre d'assurer la couverture médiatique". "Plusieurs demandes" ont été formulées par des médias internationaux (audiovisuels et écrits) de certains pays qui "s'intéressent à l'Algérie", dont des pays européens, américains et asiatiques et des pays arabes, a affirmé le ministre. Le centre international de presse sera ouvert prochainement au profit de la presse nationale et étrangère où des bureaux seront consacrés à la presse internationale, a-t-il ajouté. Il a, en outre, souligné que toutes "les facilités sont offertes" à la presse étrangère pour assurer "la couverture de cet évènement et une diffusion directe et en différé". Par ailleurs, le ministre a appelé les médias publics "à faire preuve de neutralité, d'équité et de transparence" stipulées par les lois, notamment les articles 179, 180 et 199 de la loi organique portant régime électoral, et exhorté "les candidats, de même que leurs représentants et la presse à respecter l'ethique professionnelle". Invité de l'émission "Akhbar Edahira" (journal de l'après-midi) diffusée par la TV algérienne, M. Messahel a fait savoir que les médias publics notamment la Radio et la Télévision sont appelés à "sensibiliser le citoyen à l'importance de participer à l'élection, un devoir national à travers lequel le citoyen algérien exprime son avis et choisit le candidat qu'il juge digne de confiance" pour la présidence de la République. Les radios locales sont également concernées par la sensibilisation du citoyen à l'impératif d'accomplir son devoir électoral, a-t-il souligné. L'échéance du 17 avril sera une "date importante" pour l'Algérie, a-t-il fait remarquer exhortant l'ensemble des citoyens à être "optimistes et à accorder un intérêt particulier au devoir électoral en se rendant en force aux urnes afin de prouver au monde que l'Algérie est un Etat moderne et jouit réellement de la stabilité" rapporte l'APS. Il a, par ailleurs, invité tous les candidats à "respecter les règles du jeu", soulignant l'existence de mécanismes pour trancher d'éventuels dépassements par certains établissements médiatiques publics ou privés à l'encontre d'un candidat. Il s'agit de la Commission nationale de surveillance de l'élection présidentielle et de la Commission nationale de supervision de l'élection présidentielle. Le ministre a rappelé, dans ce contexte, que tous les moyens techniques et humains au niveau des médias publics notamment la Radio et la Télévision sont "prêts" pour assurer la couverture médiatique de cet évènement dans les trois langues (arabe, français et tamazight). Dans un souci de garantir le bon déroulement de la couverture médiatique, un "nouveau matériel" sera utilisé pour la première fois, a fait savoir M. Messahel affirmant que plus de 1.000 journalistes et techniciens de la Télévision ont été mobilisés pour couvrir la campagne électorale des candidats. La même mobilisation a eu lieu au niveau de la Radio nationale. Concernant la liberté d'expression, M. Messahel a cité parmi "les missions" de la commission nationale de surveillance de l'élection présidentielle, la répartition des plages horaires consacrées aux interventions des candidats et leurs représentants à la télévision et à la radio nationales. Au sujet de la couverture de la campagne électorale à l'extérieur du pays, eu égard à la "forte concentration" de la communauté algérienne en France, aux Etats Unis et dans certains pays arabes, M. Messahel a indiqué qu'elle sera assurée par "les médias publics et en une période bien déterminée, afin que les candidats et leurs représentants puissent s'exprimer". Quant aux demandes d'accréditation de journalistes étrangers formulées par les médias étrangers, le ministre a souligné que "des contacts sont en cours entre les ministères de la Communication et des Affaires étrangères, en prévision de la remise des accréditations dans les tout prochains jours pour leur permettre d'assurer la couverture médiatique". "Plusieurs demandes" ont été formulées par des médias internationaux (audiovisuels et écrits) de certains pays qui "s'intéressent à l'Algérie", dont des pays européens, américains et asiatiques et des pays arabes, a affirmé le ministre. Le centre international de presse sera ouvert prochainement au profit de la presse nationale et étrangère où des bureaux seront consacrés à la presse internationale, a-t-il ajouté. Il a, en outre, souligné que toutes "les facilités sont offertes" à la presse étrangère pour assurer "la couverture de cet évènement et une diffusion directe et en différé". Par ailleurs, le ministre a appelé les médias publics "à faire preuve de neutralité, d'équité et de transparence" stipulées par les lois, notamment les articles 179, 180 et 199 de la loi organique portant régime électoral, et exhorté "les candidats, de même que leurs représentants et la presse à respecter l'ethique professionnelle".