Les Occidentaux n'ont pas tardé à réagir après le discours offensif de Vladimir Poutine, mardi, qui considère que la péninsule de Crimée est déjà rattachée à la Russie. Les Occidentaux n'ont pas tardé à réagir après le discours offensif de Vladimir Poutine, mardi, qui considère que la péninsule de Crimée est déjà rattachée à la Russie. François Hollande a "condamné" la décision du président russe et souligné que la France ne reconnaît "ni le référendum illégal", qui s'est tenu dans "cette région d'Ukraine", ni son rattachement à la Russie. "Le prochain Conseil européen les 20 et 21 mars prochains doit fournir l'occasion d'une réponse européenne forte et coordonnée à la nouvelle étape qui vient d'être franchie", a poursuivi le chef de l'Etat français dans un communiqué. Même son de cloche du côté de la chancelière allemande Angela Merkel. "L'intégration (de la Crimée) dans la Fédération de Russie est, nous en sommes absolument convaincus, contre le droit international", a souligné la chancelière allemande lors d'une conférence de presse avec son homologue portugais Pedro Passos Coelho, quelques minutes après le discours de Vladimir Poutine. Sans surprise, le président par intérim Ukrainien Olexandre Tourtchinov s'est également fendu d'une déclaration. "L'Ukraine et le monde entier ne reconnaîtront jamais l'annexion du territoire ukrainien. C'est une décision dangereuse qui n'a aucune conséquence juridique. C'est une provocation dangereuse pour l'Europe et le monde", a-t-il déclaré. Barack Obama a lui invité les dirigeants du G7 et de l'Union européenne à se réunir la semaine prochaine à La Haye, en marge du Sommet sur la sécurité nucléaire. "Cette réunion sera centrée sur la situation en Ukraine et les prochaines décisions que le G7 pourrait prendre pour répondre à l'évolution de la situation et soutenir l'Ukraine", indique la porte-parole du Conseil de sécurité nationale (NSC), rappelant que les dirigeants du G7 ont suspendu leur participation au G8 initialement prévu à Sotchi, en Russie. François Hollande a "condamné" la décision du président russe et souligné que la France ne reconnaît "ni le référendum illégal", qui s'est tenu dans "cette région d'Ukraine", ni son rattachement à la Russie. "Le prochain Conseil européen les 20 et 21 mars prochains doit fournir l'occasion d'une réponse européenne forte et coordonnée à la nouvelle étape qui vient d'être franchie", a poursuivi le chef de l'Etat français dans un communiqué. Même son de cloche du côté de la chancelière allemande Angela Merkel. "L'intégration (de la Crimée) dans la Fédération de Russie est, nous en sommes absolument convaincus, contre le droit international", a souligné la chancelière allemande lors d'une conférence de presse avec son homologue portugais Pedro Passos Coelho, quelques minutes après le discours de Vladimir Poutine. Sans surprise, le président par intérim Ukrainien Olexandre Tourtchinov s'est également fendu d'une déclaration. "L'Ukraine et le monde entier ne reconnaîtront jamais l'annexion du territoire ukrainien. C'est une décision dangereuse qui n'a aucune conséquence juridique. C'est une provocation dangereuse pour l'Europe et le monde", a-t-il déclaré. Barack Obama a lui invité les dirigeants du G7 et de l'Union européenne à se réunir la semaine prochaine à La Haye, en marge du Sommet sur la sécurité nucléaire. "Cette réunion sera centrée sur la situation en Ukraine et les prochaines décisions que le G7 pourrait prendre pour répondre à l'évolution de la situation et soutenir l'Ukraine", indique la porte-parole du Conseil de sécurité nationale (NSC), rappelant que les dirigeants du G7 ont suspendu leur participation au G8 initialement prévu à Sotchi, en Russie.