Depuis dimanche dernier, la zone de recherches a été étendue pour s'étendre sur 7,7 millions de km2. Deux corridors ont été définis, du nord de la Thaïlande à l'Asie centrale pour le "corridor Nord", de l'Indonésie au sud de l'océan Indien pour le "corridor Sud". 25 pays sont désormais concernés par les recherches, contre 14 jusqu'alors. Depuis dimanche dernier, la zone de recherches a été étendue pour s'étendre sur 7,7 millions de km2. Deux corridors ont été définis, du nord de la Thaïlande à l'Asie centrale pour le "corridor Nord", de l'Indonésie au sud de l'océan Indien pour le "corridor Sud". 25 pays sont désormais concernés par les recherches, contre 14 jusqu'alors. Deux axes d'investigation se définissent, 11 jours après la disparition de l'appareil qui transportait 239 personnes dont quatre Français : localiser l'avion et comprendre ce qui s'est passé à bord. Les enquêteurs cherchent notamment à établir une chronologie précise des événements survenus dans l'heure qui a suivi le décollage. Dès la disparition de l'appareil, la Malaisie a mobilisé sa Marine et son armée de l'air. Rapidement, une coopération internationale a été mise en place pour effectuer des recherches en mer. Les opérations sont coordonnées par Kuala Lumpur. Avant l'élargissement de la zone de recherches, 43 bateaux et 58 avions étaient mobilisés, explique le Washington Post. Parmi les premiers mobilisés, les Etats-Unis ont mis à disposition deux destroyers, deux avions de surveillance et deux hélicoptères. Plusieurs pays voisins de la Malaisie comme la Chine — dont 154 ressortissants étaient à bord —, l'Inde, le Vietnam, les Philippines ou Singapour ont rapidement envoyé des navires pour sillonner les eaux. De son côté, l'Australie a mis des avions à disposition. Lundi, la Malaisie a demandé à Melbourne de coordonner les recherches sur la côte ouest de l'île, avec le soutien des Etats-Unis et de la Nouvelle-Zélande. En vol, les appareils quadrillent des zones à basse altitude au dessus de la mer de Chine méridionale et de l'océan Indien, en faisant des allers et retours, un peu comme on tondrait une pelouse. Les observateurs embarqués recherchent tout ce qui pourrait s'apparenter à un morceau d'appareil, un bagage, un gilet de sauvetage... Essentiellement, des objets marrons ou noirs, le bleu et le banc étant très difficiles à distinguer sur la mer. Les équipes ont déjà scruté 52.000 km2 mais l'élargissement de la zone de recherche et les courants marins ne facilitent pas les recherches. Deux axes d'investigation se définissent, 11 jours après la disparition de l'appareil qui transportait 239 personnes dont quatre Français : localiser l'avion et comprendre ce qui s'est passé à bord. Les enquêteurs cherchent notamment à établir une chronologie précise des événements survenus dans l'heure qui a suivi le décollage. Dès la disparition de l'appareil, la Malaisie a mobilisé sa Marine et son armée de l'air. Rapidement, une coopération internationale a été mise en place pour effectuer des recherches en mer. Les opérations sont coordonnées par Kuala Lumpur. Avant l'élargissement de la zone de recherches, 43 bateaux et 58 avions étaient mobilisés, explique le Washington Post. Parmi les premiers mobilisés, les Etats-Unis ont mis à disposition deux destroyers, deux avions de surveillance et deux hélicoptères. Plusieurs pays voisins de la Malaisie comme la Chine — dont 154 ressortissants étaient à bord —, l'Inde, le Vietnam, les Philippines ou Singapour ont rapidement envoyé des navires pour sillonner les eaux. De son côté, l'Australie a mis des avions à disposition. Lundi, la Malaisie a demandé à Melbourne de coordonner les recherches sur la côte ouest de l'île, avec le soutien des Etats-Unis et de la Nouvelle-Zélande. En vol, les appareils quadrillent des zones à basse altitude au dessus de la mer de Chine méridionale et de l'océan Indien, en faisant des allers et retours, un peu comme on tondrait une pelouse. Les observateurs embarqués recherchent tout ce qui pourrait s'apparenter à un morceau d'appareil, un bagage, un gilet de sauvetage... Essentiellement, des objets marrons ou noirs, le bleu et le banc étant très difficiles à distinguer sur la mer. Les équipes ont déjà scruté 52.000 km2 mais l'élargissement de la zone de recherche et les courants marins ne facilitent pas les recherches.