Plus de trois jours après la disparition de l'avion, des dizaines de navires, d'avions et d'hélicoptères de neuf pays (notamment Chine, Etats-Unis, Vietnam, Malaisie, Philippines, Singapour) participent aux recherches. Plus de trois jours après la disparition de l'avion, des dizaines de navires, d'avions et d'hélicoptères de neuf pays (notamment Chine, Etats-Unis, Vietnam, Malaisie, Philippines, Singapour) participent aux recherches. La Chine, dont 153 ressortissants se trouvaient à bord de l'appareil et qui reproche à la Malaisie de n'avoir pas immédiatement engagé tous les moyens nécessaires, a annoncé le redéploiement de dix satellites à haute résolution pour l'aide à la navigation, l'observation des conditions météorologiques, les communications. Le vol MH370, parti de Kuala Lumpur à destination de Pékin, a brusquement disparu des radars dans les premières heures de samedi, alors qu'il se trouvait quelque part entre la côte orientale de la Malaisie et le sud du Vietnam. Menées depuis sans aucun résultat, les recherches ont été étendues lundi en mer de Chine méridionale de 50 milles marins (environ 90 km) à 100 milles de rayon autour du lieu où le contrôle aérien a perdu le contact avec l'appareil. Les opérations avaient déjà été étendues la veille à la côte ouest de la Malaisie et à la terre, alors que l'hypothèse d'un demi-tour de l'avion a été avancée. Egalement très mobilisés, les Etats-Unis ont envoyé deux destroyers transportant des hélicoptères et un avion de surveillance. Le FBI et l'agence américaine de la sécurité dans les transports (NTSB) ont envoyé des techniciens et enquêteurs auxquels se sont joints des spécialistes de Boeing. A plusieurs reprises depuis samedi les secours ont fait état de la découverte en mer d'éléments susceptibles d'appartenir à l'avion. A chaque fois, néanmoins, les vérifications ont infirmé ces découvertes, que ce soit un possible radeau de survie qui n'était qu'"une couverture moisie pour enrouleur de câble" ou une nappe de carburant qui ne provenait pas de l'avion. Le Vietnam a annoncé mardi également étendre ses opérations "vers l'est et le nord-est", précisant avoir demandé l'aide des pêcheurs de la région. En attendant de connaître le sort de l'avion, les familles des passagers arrivées à Kuala Lumpur oscillaient entre espoir et résignation. Le Boeing 777-200 transportait 239 personnes, dont deux enfants en bas âge. 153 Chinois et quatre Français 38 Malaisiens, sept Indonésiens, six Australiens, trois Américains et deux Canadiens, mais également des Russes et des Ukrainiens se trouvaient à bord. Si l'avion s'est abîmé en mer, il pourrait s'agir de la catastrophe aérienne la plus meurtrière d'un avion de ligne depuis 2001, date de l'accident d'un Airbus A300 d'American Airlines qui avait fait 265 morts aux Etats-Unis. La Chine, dont 153 ressortissants se trouvaient à bord de l'appareil et qui reproche à la Malaisie de n'avoir pas immédiatement engagé tous les moyens nécessaires, a annoncé le redéploiement de dix satellites à haute résolution pour l'aide à la navigation, l'observation des conditions météorologiques, les communications. Le vol MH370, parti de Kuala Lumpur à destination de Pékin, a brusquement disparu des radars dans les premières heures de samedi, alors qu'il se trouvait quelque part entre la côte orientale de la Malaisie et le sud du Vietnam. Menées depuis sans aucun résultat, les recherches ont été étendues lundi en mer de Chine méridionale de 50 milles marins (environ 90 km) à 100 milles de rayon autour du lieu où le contrôle aérien a perdu le contact avec l'appareil. Les opérations avaient déjà été étendues la veille à la côte ouest de la Malaisie et à la terre, alors que l'hypothèse d'un demi-tour de l'avion a été avancée. Egalement très mobilisés, les Etats-Unis ont envoyé deux destroyers transportant des hélicoptères et un avion de surveillance. Le FBI et l'agence américaine de la sécurité dans les transports (NTSB) ont envoyé des techniciens et enquêteurs auxquels se sont joints des spécialistes de Boeing. A plusieurs reprises depuis samedi les secours ont fait état de la découverte en mer d'éléments susceptibles d'appartenir à l'avion. A chaque fois, néanmoins, les vérifications ont infirmé ces découvertes, que ce soit un possible radeau de survie qui n'était qu'"une couverture moisie pour enrouleur de câble" ou une nappe de carburant qui ne provenait pas de l'avion. Le Vietnam a annoncé mardi également étendre ses opérations "vers l'est et le nord-est", précisant avoir demandé l'aide des pêcheurs de la région. En attendant de connaître le sort de l'avion, les familles des passagers arrivées à Kuala Lumpur oscillaient entre espoir et résignation. Le Boeing 777-200 transportait 239 personnes, dont deux enfants en bas âge. 153 Chinois et quatre Français 38 Malaisiens, sept Indonésiens, six Australiens, trois Américains et deux Canadiens, mais également des Russes et des Ukrainiens se trouvaient à bord. Si l'avion s'est abîmé en mer, il pourrait s'agir de la catastrophe aérienne la plus meurtrière d'un avion de ligne depuis 2001, date de l'accident d'un Airbus A300 d'American Airlines qui avait fait 265 morts aux Etats-Unis.