Le plus jeune candidat à la présidentielle du 17 avril prochain, Abdelaziz Belaïd, président du Front El Moustakbal, a entamé sa campagne électorale hier dimanche à Djelfa par une activité de proximité. Le plus jeune candidat à la présidentielle du 17 avril prochain, Abdelaziz Belaïd, président du Front El Moustakbal, a entamé sa campagne électorale hier dimanche à Djelfa par une activité de proximité. Abdelaziz Belaïd s‘est rendu dans La commune d‘Aïn El Maâbed, où il a rencontré les citoyens avec lesquels il a abordé les grandes lignes de son programme. Après avoir relevé qu‘il a choisi d‘entamer sa campagne électorale à partir de cette ville qu‘il adore, explique-t-il, puisque c‘est dans cette ville qu‘il a entamé sa carrière de médecin, et parce qu‘elle porte le matricule 17 qui coïncide avec la date du scrutin, le candidat du Front El Moustakbal, s‘est attardé, lors du grand meeting organisé à la salle de l‘office culturel et touristique pleine à craquer, sise au centre-ville, à mettre l‘accent sur les fondements de son parti, qui est représenté dans sa majorité par la jeunesse, qui s‘inspire de la Déclaration du 1er Novembre 1954, des principes de la Constitution et des lois de la République . S‘adressant aux jeunes qu‘il a incité à s‘investir sur le terrain et de ne pas le laisser vide. Car, "l‘Algérie a besoin de sa jeunesse". Tout en insistant sur la nécessité de "renforcer les rangs pour réaliser nos voeux, car tout est possible", a-t-il indiqué. L‘unique candidat de l‘après-Indépendance, a recommandé aux jeunes de "mettre leur savoir-faire au service de l‘Algérie", soulignant que son parti a toujours appelé à investir dans l‘Homme et la ressource humaine qui restent une richesse impérissable et inestimable. "Vous représentez l‘avenir de l‘Algérie et vous avez cette obligation de provoquer un changement à travers le dialogue et la vulgarisation des objectifs tracés qui consistent en la lutte contre la corruption sous toutes ses formes, la sauvegarde de la souveraineté nationale et le rejet de toute intervention étrangère qu‘elle qu‘en soit la nature". Le jeune candidat du Front El Moustakbal rejette la violence, l‘extrémisme, le régionalisme et le favoritisme et d‘indiquer : "Si vous voulez le changement, il faut y croire et surtout en soi. Alors, vous pouvez !" Abdelaziz Belaïd s‘est rendu dans La commune d‘Aïn El Maâbed, où il a rencontré les citoyens avec lesquels il a abordé les grandes lignes de son programme. Après avoir relevé qu‘il a choisi d‘entamer sa campagne électorale à partir de cette ville qu‘il adore, explique-t-il, puisque c‘est dans cette ville qu‘il a entamé sa carrière de médecin, et parce qu‘elle porte le matricule 17 qui coïncide avec la date du scrutin, le candidat du Front El Moustakbal, s‘est attardé, lors du grand meeting organisé à la salle de l‘office culturel et touristique pleine à craquer, sise au centre-ville, à mettre l‘accent sur les fondements de son parti, qui est représenté dans sa majorité par la jeunesse, qui s‘inspire de la Déclaration du 1er Novembre 1954, des principes de la Constitution et des lois de la République . S‘adressant aux jeunes qu‘il a incité à s‘investir sur le terrain et de ne pas le laisser vide. Car, "l‘Algérie a besoin de sa jeunesse". Tout en insistant sur la nécessité de "renforcer les rangs pour réaliser nos voeux, car tout est possible", a-t-il indiqué. L‘unique candidat de l‘après-Indépendance, a recommandé aux jeunes de "mettre leur savoir-faire au service de l‘Algérie", soulignant que son parti a toujours appelé à investir dans l‘Homme et la ressource humaine qui restent une richesse impérissable et inestimable. "Vous représentez l‘avenir de l‘Algérie et vous avez cette obligation de provoquer un changement à travers le dialogue et la vulgarisation des objectifs tracés qui consistent en la lutte contre la corruption sous toutes ses formes, la sauvegarde de la souveraineté nationale et le rejet de toute intervention étrangère qu‘elle qu‘en soit la nature". Le jeune candidat du Front El Moustakbal rejette la violence, l‘extrémisme, le régionalisme et le favoritisme et d‘indiquer : "Si vous voulez le changement, il faut y croire et surtout en soi. Alors, vous pouvez !"